Le blog de gaydomibondage.erog.fr
Je le connais depuis longtemps; il a deux pseudos : d'une part "la pute", de l'autre "dresseur de batard". Et c'est en général avec le premier qu'il vient me voir; je l'ai souvent dominé et dressé sévèrement. Ce soir là il voulait être soumis mais n'était libre que très tard; j'étais crevé et je lui ai dit de ne pas venir; mais j'étais très excité et au bout de quelques instants je l'ai recontacté pour qu'il vienne mais en lui disant que j'avais envie de subir. Il n'a pas hésité. Sa réponse : l'attendre chez à poils, cagoulé, yeux bandés, menottes de cuir aux poignets et chevilles; et m'a assuré cette nuit j'allais être traité en salope et que j'allais déguster comme je le méritais.
J'ai donc fait comme il avait ordonné et ai sorti mon matériel pour lui. Quand il a sonné j'ai laissé la porte entrouverte et ai attendu debout dans le living, dans la tenue qu'il souhaitait, mains dans le dos, pieds joints et tête basse. J'ai entendu qu'il enlevait son pardessus et j'ai senti sa chaleur près de moi; je tremblais un peu mais je bandais. Il m'a attaché les menottes dans le dos puis les chevilles. J'ai entendu des bruits de vêtements et je compris qu'il se déshabillait partiellement. En fait il s'était mis torse nu; il revint près de moi et je sentis qu'il me fixait des pinces aux seins puis aux couilles et enfin une au bout de la queue; la douleur me fit gémir; il m'asséna un coup de le cravache que j'avais sortie : "ta gueule! tu es là pour déguster!" Son ton méprisant et la dureté qu'il affectait m'excitaient d'autant plus que je savais qu'il ne passerait pas certaines limites : j'allais sans aucun doute souffrir mais j'avais confiance. Et surtout l'humiliation d'obéir à un de mes soumis me faisait bander malgré les pinces. C'est alors qu'il me fit ouvrir la bouche et m'y fourra une de mes chaussettes roulées en boule.
Il me donna une série de coups de cravache sur les fesses en jouissant de mes gémissements étouffés.
Puis il me força à me mettre à genoux et enlevant mon baillon il me donna ses pompes à lécher. L'odeur du cuir était forte et très vite j'en oubliais les pinces et les coups qui continuaient sur mes cuisses. Je sentis qu'il défaisait son pantalon et il me fit changer de position pour mettre sa queue raide et humide dsans ma bouche, je ne me fis pas prier et la suçai avec avidité; je sentis qu'il détachait mes poignets pour les rattacher sur le devant; il guida mes mains vers ses seins. Je sias qu'il adore qu'on les lui travailler; tout en gardant sa queue à ma bouche j'entrepris de le satisfaire.
A un moment il se leva pour se mettre entièrement nu tandis que je l'attendais docilement à genoux, bouche ouverte. Il revint et me mit sa queue dans la bouche en me disant de ne pas sucer : je compris qu'il voulait me pisser dans la bouche : j'attendis tremblant de crainte et d'excitation en même temps mais n'a pas pu car il bandait trop.
Il s'assit de nouveau piur que je continue à le sucer en lui travaillant les seins; je sentais son excitation, sa queue frémissait dans ma bouche.
C'est alors qu'il me demanda à voix basse et frémissante si je voulais me venger. Comme il m'avait super excité et que j'avais oublié que j'étais crevé, j'ai eu envie de le reprendre en mains et j'ai dit oui il m'a donc libéré et s'est mis mon bandeau en signe de soumission.
j'ai pris les choses en mains en bandant bien dur et j'ai eu envie de bien me venger; je l'ai attaché solidement par les poignets en les reliant à ses couilles et
je lui ai bien travaillé les seins; je l'ia baillonné avec la chaussette qu'il avait utilisée pour moi et qui était ntoute humide de ma salive
puis je l'ai pris par les couilles et l'ai entrainé à l'extérieur de l'appartement et dans l'escalier (il était 1h du matin); il n'aime pas trop ça mais je l'ai tenu fermement et tiré; il n'a pas pu reculer
j'ai pris quelques photos de lui attaché à poils dans l'escalier et je me suis fait sucer; j'étais tellement excité que j'ai failli jouir; lui aussi était très excité, comme le montre sa queue.
Je l'ai ensuite ramené chez moi pour continuer à me faire sucer; mais comme je sentais que je tiendrais pas longtemps je l'ai détaché et ordonné de se débrouiller pour débander et mettre sa cage de chasteté
il l'a fait et je lui annoncé que ce soir il ne jouirait pas et repartirait avec sa cage aspergé de mon sperme : ce serait ma vengeance.
Je l'ai fait allonger sur le dos, jambes repliées, cul en l'air; je me suis branlé au dessus de lui et j'ai très vite giclé avec une intensité assez rare. Je l'ai arrosé de foutre partout je lui ai interdit de se nettoyer et lui ai ordonné de se rhabiller et repartir couilles pleines, avec la cage dont j'ai gardé la clé.