Le blog de gaydomibondage.erog.fr
J'avais fait sa connaissance il ya quelques années mais il avait déménagé et nos contacts s'étaioent limités à internet. Aujoud'hui il est venu à Paris dans le cadre d'un déplacement professionnel et il s'est trouvé que j'étais libre. Je l'ai donc retrouvé nu et à genoux, sa queue raide et pointée.
J'ai commencé par m'occuper un peu de lui -ou plutôt le faire s'occuper de moi-sans l'attacher; et comme je m'étais mis nu aussi je lui ai donné mon slip à garder...
Et c'est toujours avec mon slip en bouche qu'il a commencé à être ficelé pour que je puis m'en occuper de façon diverse et variée. Il avait l'air d'aimer; c'est du moins ce que semblait indiquer sa queue.
Je pus ainsi constater que même attaché il suçait toujours avec beaucoup d'envie et qu'il se mettait bien docilement en position pour offrir son cul à la fessée et lécher les pieds de son maître.
Avant de poursuivre et varier les situations je me dis qu'ne peite pause méditative lui ferait du bien : c'est avec une grande satisfaction que je constatai que sa queue rouge et humide marquait son approbation
Après ce moment de repos il fallit le reprendre en mains; il n'étais pas là pour passerr son temps con fortablement assis sur des chiottes : une paire de sévères pinces à seins japonaises le lui fit comprendre. Il n'apprécia que moyennement comme le suggère la grimace dasn sa cagoule
Après cet intermède j'eus recours à une de mes positions favorites :avec un aménagement pour jouer avec sa queue et profiter de sa bouche. Cela dura un bon moment, le conduisant (et me conduisant) à la limite de l'éjaculation.
je finis par le délivrer pour qu'il pût enfin se masturber à fond et tout cela se termina par une jolie flaque blanchâtre sur son bas ventre