Novembre 2024 | ||||||||||
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J'étais sur le réseau et je vois un pseudo d'un mec domi ; je le contacte à tout hasard ; il me répond, me demande quelques renseignements sur moi et mes goûts et me propose de me téléphoner. Je lui file mon numéro; il appelle; on discute un instant et me demande si je suis prêt à venir chez lui. Evidemment je réponds que oui; il me dit de mettre dans un sac du matériel de bondage (menottes cuir, collier, bâillon, cordes…), de lui donner mon numéro de portable et de partir en direction de Barbès où il m'appellera. En dépit du risque de lapin j'accepte. Je suis en train de rouler vers Barbès quand il m'appelle ;il me demande où je suis et m'indique une rue du côté du Boulevard Magenta; il me demande comment est ma voiture; je le lui indique et le voilà qui me dit de m'y garer d'enlever et mon jean's et mon slip, de déverrouiller la porte et d'attendre. Mon coeur bondit, ma queue aussi …j'hésite une fraction de seconde et je dis oui. J'arrive dans la rue, elle n'est pas vraiment animée mais pas totalement déserte; on voit des passants, des touristes (il y a un hôtel un peu plus loin) . Je me range contre un trottoir qui semble moins fréquenté. Je me baisse, enlève mes chaussures puis rapidement mes jean's et mon slip; ma queue est à demi-raide. Je suis à la fois excité et un peu inquiet; je vois des gens sortir de l'hôtel à quelques dizaines de mètres; je pose mon pantalon sur mes jambes pour me couvrir à la hâte. C'est alors que je vois dans le rétroviseur un mec qui s'approche; beau mec, apparemment plus jeune que moi. Je ne sais comment je comprends que c'est lui; il ouvre la porte, monte et sans rien dire prend mon jean's et le met à l'arrière. Ma queue bondit comme un ressort. "Démarre!" Je suis subjugué par son sang froid et son autorité; en même temps je me sens en confiance. J'obéis et me voici parti cul nu au volant de ma voiture, suivant ses indications sur le chemin. Je comprends qu'il me fait faire le tour du quartier, apparemment parce qu'il habite plus haut que l'endroit où je me suis garé. Les rues sont assez désertes sauf une où il y a des cafés et restaurants ouverts. Je dois y attendre un feu; un cycliste me dépasse: s'il a regardé il ne pouvait pas ne pas voir! Le dominateur, André, de temps à autre me tâte la queue et les couilles et me branle un peu si mon sexe mollit. Pas moyen de stationner devant chez lui; nous voici repartis pour un autre tour! Enfin on trouve un place proche. Je me demande si je vais devoir le suivre comme ça; je crois que j'aurais peut-être été prêt à le faire. Mais il est raisonnable et me dit de remettre mon pantalon et de le suivre. On arrive dans un immeuble ancien assez cossu. Je le suis au 3ème étage. Il commence à ouvrir sa porte et me dit de me déshabiller sur le palier. Inutile de dire que j'obtempère fébrilement. Me voici nu sur le palier, ma queue au garde à vous, attendant qu'il m'ordonne d'entrer; je le vois qui se déshabille dans l'entrée de son appartement, apparaît une splendide queue au bas d'un ventre plat et bronzé et il bande autant que moi! Soudain j'entends une porte qui s'ouvre quelque part à un autre étage. J'ai la trouille mais j'attends toujours. Heureusement il me fait entrer et referme. Il fouille mon sac, me tend le collier que je mets, prend les menottes et m'attache les poignets dans le dos, avec une corde il les relie au collier de façon à bien dégager mes fesses, puis me fait mettre à genoux, il me bâillonne, s'approche et commence à me claquer un peu les fesses. Il prend une autre corde et m'attache les couilles; il me travaille progressivement les seins. C'est super. Il enlève le bâillon et me présente sa splendide queue bien raide je la prends goulûment à la bouche et je m'applique de mon mieux. Il a l'air d'aimer…
Au bout d'un moment il me tire par la corde attachée à mes couilles, me fait me lever et avec cette laisse m'entraîne dans une autre pièce, un petit salon : il est dans l'obscurité ; la fenêtre est grand ouverte; elle donne sur une cour où l'on voit d'autres fenêtres, toutes éteintes. Me voici à genoux au milieu du salon face à la fenêtre (il m'expliquera ensuite que les voisins d'en face sont un couple gay) et de nouveau la queue à sucer, puis les couilles à lécher, puis le cul…MMMM….
De nouveau il m'entraîne par la corde ; on entre dans la salle de bains; il me fait monter dans le bac à douche et me dit de m'accroupir. Il se place devant moi la queue à hauteur du visage. Sa queue est toujours raide, on distingue bien son gland et sa fente J'imagine déjà la suite, je tends mon torse et ma langue. Immédiatement le jet tiède jaillit, il gicle sur ma langue, mon visage, mon torse. Je sens le goût acre de sa pisse, son odeur m'enveloppe. Il pisse longuement visant diverses parties de mon corps. Je dégouline, je bande. Enfin il me détache et m'ordonne de prendre une douche.
Une fois douché et séché il me lie les mains derrière la nuque à mon collier et m'emmène dans le salon. Il a à demi baissé le store. Il me fait mettre à genoux, me bande les yeux et me laisse. Je l'entends un moment dans la salle de bains. Puis il revient. Je sens encore sa queue devant ma bouche et je me mets encore à le sucer un bon moment. Il me fait me lever et m'emmène, yeux bandés dans une autre pièce. Je sens un lit, il m'y fait allonger. Je sens qu'il saisit une cheville et l'attache, manifestement à un pied du lit. Il attache l'autre à l'autre pied. Je suis à plat ventre, jambes écartés, mains derrière la nuque et j'imagine sans peine la suite… Effectivement un doigt me lubrifie le cul, j'entends le brut caractéristique d'une capote qu'on enfile et je le sens qui monte sur le lit; il me travaille un instant au doigt puis présente son gland contre ma rondelle. Ca fait longtemps que je n'ai pas été baisé, mon cul est serré et sa queue assez grosse. Il y va progressivement mais c'est assez douloureux. Il n'insiste pas ( peut être dommage!). Il enlève sa capote me détache les mains , s'installe devant ma tête jambes ouvertes et je recommence à le sucer ; c'est toujours aussi bon, il mouille bien. Ma queue, qui avait débandé, reprend vie.. Assez vite il retire sa queue et se met à se branler .De mes mains libres je lui fais les seins pendant que je prends l'initiative de lui bouffer les couilles, il accélère et gémit et je vois avec plaisir le foutre blanc qui jaillit de son ventre. Il reste un bon moment étendu contre moi à reprendre ses esprits tout en me caressant alors que je suis toujours attaché jambes écartées…