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soumis débutant

   NOVICE

Je lui avais donné‚ mes ordres par téléphone. Il se disait timide et voulait essayer une séance de soumission mais sans que je voie son visage. Il disait avoir 26 ans et n'avoir aucune expérience de ce genre de jeu. Je ne comptais pas trop sur sa venue. Je craignais un "lapin" comme il y en a souvent dans ce type de rencontres. Pourtant à l'heure convenue mon interphone sonna ; c'était bien lui. Je lui donnai les indications pour trouver l'appartement; puis je disposai un bandeau de cuir bien en vue dans l'entrée et entrouvis la porte. Comme convenu, je passais dans une autre pièce.
J'entendis la porte s'ouvrir puis un bruit de vêtements qu'on enlevait ; enfin le silence avec seulement une respiration haletante. J'entrai. Il ‚tait là, yeux band‚s, mains sur la tête, vêtu d'un seul short blanc. Un corps jeune, aux poils blonds,  légèrement dodu. Je m'approchai sans rien dire, et je restais un instant à l'examiner en silence. Il sentait ma présence mais ne bougeait pas, frémissant légèrement et respirant à grand bruit. Je savourais son inquiétude et laissais le suspens durer à plaisir.
Puis je pris des menottes de cuir, les fixai à ses poignets et les attachai brusquement dans son dos. Je lui passai aussi un collier autour du cou. Le saisissant par ce collier, je l'entraînais, lui faisant faire plusieurs tours de la pièce afin qu'il soit totalement désorienté. Lorsque j'arrêtai, il ‚tait haletant, se tenant jambes écartées à la recherche de son ‚équilibre, bouche entrouverte. Une bosse avantageuse d‚formait son short. D'une main je saisis un de ses seins que je commençais à pincer doucement. Je passai l'autre sous l'élastique pour palper une queue toute chaude, assez petite mais déjà bien raidie. Immédiatement il se mit à gémir et à onduler. Satisfait de ce début, je le conduisis dans la pièce où j'avais prévu de m'occuper de lui.
Là j'avais dispos‚ tout mon mat‚riel. Je le remuais un moment pour qu'il entende bien le bruit du métal, le froissement des cordes. Je l'observais qui frémissait.
Tout à coup je m'approchai et brusquement, d'un coup je baissai son short. Sa queue jaillit, toute raide, mince, légèrement recourbée vers le haut, au milieu d'une touffe de poils blonds. Il poussa un cri de surprise. Je pris un cockring et le refermais à la base de son appareil. Puis j'enserrais ses couilles dans un "parachute" de cuir. Lorsque je refermais la pression, il g‚mit mais il se laissait faire docilement. Par moments je travaillais un peu ses seins ou j'effleurais sa peau avec le bout de mes ongles. Immanquablement, il se mettait à gémir, à balancer sa tête et à se tortiller. Je continuais à le harnacher en fixant des menottes de cuir à ses chevilles; puis je décidai de le baillonner. Je choisis un bâillon de cuir muni d'une sorte de boule de caoutchouc. Je le forçais à ouvrir grand la bouche et fourrais le bâillon entre ses dents; puis je l'attachai derrière sa nuque. Il ne pouvait plus que proférer des gémissements étouffés et le bâillon le faisait saliver. La salive coulait sur son menton et je ne l'essuyais pas jugeant que cela pouvait être pour lui une humiliation supplémentaire. Je le voulais totalement à ma merci. Je m'approchai de lui et me collais dans son dos, me frottant contre lui pour lui faire sentir la bosse de mon jean's contre ses fesses. Saisissant ses deux seins et les triturant un peu, je lui soufflais dans l'oreille :"A présent, attaché comme tu es, personne ne peut plus rien pour toi". Je le sentis gémir et onduler pour mieux frotter son cul contre mon ventre. Manifestement il aimait.
J'ai une barre métallique qui me sert à faire un peu d'exercice physique et que l'on peut fixer entre les montants d'une porte. Je la fixais à hauteur de ses ‚épaules. Je fis passer ses bras toujours menottés par derrière cette barre et les attachai avec une corde ‚paisse puis avec une autre corde je reliais les menottes de ses poignets à celles de ses chevilles. Je tendis la corde au maximum. Puis je le laissais un moment ainsi. Encore une fois je remuais mon mat‚riel en l'observant du coin de l'œil. Non seulement sa queue restait raide mais il gémissait et se tortillait comme il le faisait lorsque je le manipulais. Il devait se faire un sacré‚ cinéma dans sa tête et ça n'était pas pour me déplaire. Je choisis le mat‚riel nécessaire. Et je revins vers lui.
Je recommençais à manipuler son corps, ses seins, ses couilles, à le caresser, le palper. Soudain sans l'avertir je fixai une pince à son sein droit. Je le sentis se raidir de surprise. Je fixai l'autre pince. Il gémit, son corps resta tendu. Je réglais l'intensité des pinces. Je le sentis se détendre et laisser aller sa tête. Je pris un poids et l'attachai au parachute qui serrait ses couilles, puis je le laissai tomber. Là encore, il se raidit de surprise puis très vite essaya de se tortiller pour faire balancer le poids. Satisfait du résultat je lui en mis un autre, lui tirant quelques gémissements mais manifestement pour son plus grand plaisir.
Je me munis alors d'un solide martinet. Je le passais sous ses narines pour qu'il sente l'odeur des lanières de cuir puis je fis passer les lanières sur tout son corps et plus spécialement sur son appareil. Ce fut quasiment du d‚lire : il entrait en transes, ne retenant plus ses gémissements, tête renversée, tout son corps ondulant. Je passais derrière lui, effleurant ses fesses avec les lanières. Puis je levais mon martinet et sans avertissement je l'abattis sur son cul. Il poussa un cri étouffé à travers son bâillon. Je levais de nouveau l'engin et cinglais l'autre fesse. Un autre cri. Je continuais alternant la rudesse des coups. Très vite l'excitation reprit le dessus et il se mit de nouveau à se tordre de plaisir dans ses liens. Ses fesses blondes rougissaient à plaisir. Au bout d'un moment j'arrêtai, il se laissa aller comme ‚puis‚ haletant dans son baillon. Je repassais devant lui, manipulant ses couilles pour imprimer un balancement aux poids. J'effleurais sa queue de mes doigts. Subitement le sperme jaillit, inondant ma chemise. Il jouissait par saccades, tout seul, balançant sa tête en gémissant. On avait l'impression que les jets n'allaient pas s'arrêter. Ce ne fut qu'au bout d'un moment qu'il reprit son calme.
Je déliais ses poignets et lui dis qu'à présent il pouvait se libérer et partir. Je passais dans une autre pièce. Au bout d'un moment j'entendis la porte de l'appartement s'ouvrir puis se fermer.

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