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durance

 
SOIREE EN PLEIN AIR
Il y a quelques années je me trouvais seul dans le sud de la France et je m'ennuyais ferme. Je me décidais à consulter le réseau. Chance! Un gars proposait un plan en extérieur. Il me donna son téléphone pour en discuter. Le temps n'était pas merveilleux mais c'était trop tentant. Je me décidai.
Le rendez-vous était à la sortie d'un village sur la route de Manosque : bref une grosse demi heure de voiture. Pendant tout le trajet je n'arrêtais pas de fantasmer sur ce qui m'attendait ; inutile de dire combien mon jean's était tendu. Je repérais tout de suite sa Range-Rover et me rangeais à côté. Il était grand, mince, nettement plus âgé‚ que moi et portait un collier de barbe poivre et sel ; c'est tout ce que j'en vis.
Il se contenta de me dire de le suivre et démarra. Il quitta très vite la nationale pour prendre une petite route qui semblait descendre vers la Durance. Nous roulames 4 ou 5 Km à vive allure: occupé à ne pas le perdre, je ne fantasmais plus. Tout à coup il prit un chemin de terre et nous arrivâmes sur une sorte de terre plein. Il s'arrêta et descendit : "Range ta voiture". J'obéis sans discuter et sortis. "Mets-toi devant la Range et déshabille-toi". Il monta dans sa voiture et alluma les codes. Les phares m'éblouissaient, je ne pouvais pas le voir. Tout frémissant je défis mon blouson, puis ma chemise. Je cherchais un endroit où les poser : le sol était fait d'argile sèche et de galets ronds ;je les posai par terre puis ôtai chaussures et chaussettes puis, me redressant, je degrafai ma ceinture et fis descendre d'un coup jean's et slip. Je me montrais nu, sexe bandé à la lumière des phares ; un vent léger me faisait frissonner mais je n'y pensais pas. Je pensais à ce mec que je ne pouvais pas voir et qui devait m'observer ainsi éclairé par les phares dans ce coin désert. Au bout d'un long moment il sortit, ramassa mes vêtements et les emporta, apparemment dans sa voiture. Puis, me montrant l'étendue éclairée par les phares : "Avance!" " Je tournais le dos et j'obéis. je commençais à marcher avec précautions : le sol était d'argile sèche et craquelée, avec des touffes d'herbe et de roseaux. En fait marcher nus pieds y était plutôt agréable.
J'avais fait une dizaine de mètres quand il démarra. Je sentis la voiture approcher, j'accélérai. Il fit de même. Je compris ce qu'il voulait : je me mis à courir dans la lumière des phares. Courir ainsi nu, poursuivi par une voiture, m'excita au plus haut point. Mes couilles et ma queue ballottaient entre mes jambes et cela me faisait l'effet d'une masturbation (j'ai su après qu'il avait bien apprécié le spectacle). J'avançais sans me soucier des buissons qui égratignaient mes mollets. Tout à coup je me trouvais devant un talus : j'arrêtais ; il rangea sa voiture derrière moi et éteignit ses phares.
Je le vis sortir muni d'une torche électrique et d'une grosse corde ; il portait des bottes de caoutchouc. Il me fit me retourner, ramena mes poignets dans le dos et entreprit de les lier solidement puis il me passa la corde autour du cou,  lui fit faire plusieurs tours, fit redescendre le bout qui restait dans mon dos et l'attacha à mes poignets. Pendant qu'il me ficelait ainsi je me mis à fantasmer : et s'il allait m'abandonner ainsi ? Je voyais au loin passer l'autoroute et je m'imaginais grimpant sur le bord de la chaussée, à poils et ligoté pour qu'un automobiliste me porte secours. Etre dépouillé‚ par des pirates de la route fait parfois partie de mes fantasmes(une fois j'avais lu un article sur un camionneur abandonné‚ nu attaché à un arbre) et je bandais.
Une douleur me sortit de mes fantasmes : sa main solide avait saisi mon sein gauche et le tordait durement. Je grimaçai, puis je gémis enfin je criai pour sa plus grande satisfaction. Il maintenait sa prise en me tirant peu à peu vers le bas. Je me retrouvais à genoux à ses pieds, le visage contre le sol. Il lâcha sa prise : je n'eus pas le temps de reprendre mes esprits, une claque formidable retentit sur mes fesses. Ce mec avait des mains d'acier! Je sentis mes fesses devenir brûlantes sous les coups répétés. Je poussais un cri à chaque coup. Je ne savais plus très bien où j'étais, je sentais seulement mon cul qui chauffait et ma queue qui bandait.
Il me fit me relever et me montrant un chemin à la lumière de sa torche : "Cours". J'obéis sans discuter : il avançait derrière moi en m'éclairant : l'excitation qui m'avait gagné lors de la première course était accrue par le fait que j'avais les mains liées dans le dos. Je m'imaginais esclave en fuite, poursuivi par ses gardiens. Les buissons et les roseaux battaient mes jambes et ma queue. "Halte" Nous étions de nouveau devant un talus de terre. Une main de fer empoigna mes couilles et ma queue et me tira par là ; nous escaladames le talus ; le sol meuble glissait sous mes pieds, je manquais trébucher mais il me maintenait solidement par les couilles me tirant sans ménagement. Nous nous retrouvames dans une sorte de fossé ; mon pied s'enfonça dans la boue. Alors tout en maintenant sa prise il me saisit de nouveau le sein, provoquant mes gémissements. Je fus tir‚ vers le bas et contraint à m'agenouiller dans la boue : lâchant mon sein et mes couilles, il appuya sur mes épaules, jusqu'à ce que mon visage et ma poitrine touchent le sol collant puis il me renversa. Je me débattis un moment dans la boue pour me relever tandis qu'il m'observait en se caressant l'entrejambes. 
Finalement il m'aida à me relever en tirant sur mes liens. Je sentais la boue coller sur diverses parties de mon corps, mes fesses, mon front, mon ventre. Il m'entraîna de nouveau dans une marche à travers les roseaux, me tirant toujours par la queue et les couilles. Sa prise était solide et empêchait toute résistance de ma part. Il me ramena au sommet du talus. Le vent me faisait frissonner. Il m'attira vers lui comme pour m'embrasser mais saisit de nouveau mon sein ; en même temps il se mit à me branler..Ce fut un moment super. J'étais partagé entre la douleur et le plaisir, mon corps se tortillait sous ses mains. J'allais jouir. Il s'en aperçut et arrêta. Il m'ordonna de descendre au pied du talus et de courir en avant. Le ballottement de ma queue manqua encore de me faire jouir. Nous arrivâmes de nouveau près de la voiture. Il vérifia mes liens puis je le vis chercher un chemin avec sa torche. Il revint et me manipula de nouveau les seins, moins durement qu'avant mais comme ils étaient déjà bien endoloris, je hurlais de nouveau, j'en rajoutais même un peu car manifestement il aimait ça.
Au bout d'un moment il cessa ; je repris mes esprits. Il saisit mes couilles et m'entraîna de nouveau. Il me fit encore escalader le talus ; je me retrouvais dans des roseaux aussi hauts que moi. Au bout de quelques mètres nous arrivâmes au bord d'une sorte de mare. "Avance" J'hésitais un instant puis avançais mon pied. Je le sentis s'enfoncer : sous  quelques centimètres d'eau le sol ‚tait fait de boue gluante (j'appris plus tard qu'il s'agissait d'argile). Voyant mon hésitation, il répéta son ordre en claquant mes fesses. J'avançais de quelques pas, toujours en m'enfonçant. "A genoux" J'obéis mais en m'agenouillant je glissais et m'étalais de tout mon long dans la boue. Je fus saisi par la fraîcheur de l'eau et par l'impression d'être englouti par la boue. Je poussai un cri. Je me rassurais assez vite en voyant que je ne courais pas vraiment de risques, j'essayais de me redresser, en vain. Je lui demandais de l'aide. "Sors-toi tout seul, rampe !" Je me retrouvais à plat ventre dans la boue, mains liées, essayant de pousser sur mes jambes pour en sortir. Je sentais tout mon corps et jusqu'à mon visage poisseux. Malgré‚ mes efforts je n'arrivais pas à m'extraire de la mare mais ma queue, que la surprise et la peur avaient fait débander, retrouvait toute sa fermeté‚ : me traîner ainsi dans la boue me faisait une impression étrangement agréable ; si l'eau n'avait pas été‚ si fraîche j'aurais aimé‚ faire durer.
Finalement il me tira sur le bord à l'aide de mes liens. Je repris mon souffle allongé‚ ... plat ventre entre les roseaux. Tout d'un coup sa main s'abattit encore sur mes fesses pour une nouvelle raclée. Je me traînais sur le sol boueux en  poussant des cris sous ses coups, ce qui m'excitait beaucoup et lui aussi. Enfin il me retourna sur le dos, ma queue tendue. Il se mit à masser ma poitrine et mes cuisses, comme s'il voulait encore mieux répandre la boue qui couvrait tout mon  corps. Puis il saisit ma queue et commença un mouvement de va et vient ; la boue liquide faisait l'effet d'une crème. Je sentis le plaisir l'emporter sur moi, mon corps se tendit et sous sa main ma queue laissa jaillir de longues giclées de sperme. Il me branla jusqu'à ce que la dernière goutte eût jailli. J'étais vidé.
Il me détacha et me conduisit jusqu'au bord de la rivière, je me débarrassais du plus gros de la boue dans l'eau courante. Grelottant je retournais dans la voiture : il m'interdit d'utiliser une serviette. J'utilisai mon slip pour me sécher les cuisses et passai mon jean's ainsi. Je me rhabillais en hâte, sentant la boue durcir sous mes vêtements. Je retrouvai ma voiture et il me ramena sur la nationale. La séance n'avait pas duré‚ plus d'une heure mais pendant que je conduisais ma queue couverte de boue séchée se durcissait de nouveau au contact du tissus raide de mon pantalon et je revivais ce qui s'était passé, dégustant les meilleurs moments.

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