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Fantasme

 

Je dors quand le téléphone me réveille en sursaut. C'est le maître ; il est en bas et m'ordonne de le rejoindre. J'ai dormi nu ; je me lève en ha^te et attache un corde à mes couilles, je la serre pour faire un joli paquet et je laisse deux longs brins pendre. Je prends une autre corde, mon apparail phoot et mes clés et je sors sans allumer la lumière dans le couloir ; je me dirige vers l'escalier et je descends. Le ciment sous mes pieds me fait un impression étrange mais je bande : ma queue est dressée devant moi. Je débouche dans le hall. Le maître est là. J'ai un peu peur qu'on puisse me voir de la rue mais nous sommes en pleine nuit.

Le maître saisit la corde qui pend pour m'attirer vers lui. Il me palpe le corps comme un animal, me malaxe les couilles et me branle légèrement. Il sent que je risque de jouir et arrête. Il me fait reculer dans un coin à l'abri des regards ; il sort de sa poche un slip, le roule en boule et me le fourre dans la bouche en disant qu'il l'a porté tout la journée et qu(il espère que je vais en apprécier l'odeur et le goût. Puis il prend des photos ainsi : « Tu les mettras sur ton site après avoir brouillé le visage mais je vais en garder visage visible : si tu n'obéis pas bien je les mettrai sur internet ». Je rougis et je bande encore plus tandis que le slip me fait saliver.

Il m'attache solidement les poignets dans le dos après avoir pris ma clé puis il me tire en laisse par la corde qui pend a mes couilles et je dois le suivre ainsi pendant qu'il monte l'escalier. Il me photographie.A mi che min il s’arrête , se retourne sort sa queue, enlève mon bâillon et me dit de le sucer. Comme il est au dessus de moi je n'ai qu'à me pencher un peu pour prendre sa queue en bouche. Je gémis de plaisir tout en suçant avec zèle ; il a l'air d'aimer, sa queue frémit et il mouille ; je sens le goût de son liquide. Il prend des photos. Soudain il se retire, me remet le bâillon, rentre sa queue et on repart. On arrive dans le couloir toujours éteint, ma porte est entrouverte. Il me fait entrer et referme.

Il m’entraîne dans le salon où j'ai sorti tout mon matériel ; il choisit des pinces qu'il met à mes seins, je grimace et gémis ; ça le fait rire. Il prend la corde qui lie mes couilles et l'attache à un gond de porte ; je suis immobilisé comme un animal. Il saisit un martinet et commence à me fesser. Attaché comme je le suis je ne peux rien faire ; je sautille sur place en vain ; ça tire sur mes couilles mais je continue à bander. Il prend encore des photos.

Il arrête, me détache du gond et me fait mettre à genoux au milieu de la pièce. Il attache la corde de mes couilles à mes chevilles puis il se déshabille devant moi et va s’asseoir. Il m'ordonne de venir vers lui. Je suis obligé de me déplacer ainsi à genoux, chaque mouvement tire sur mes couilles. J'arrive en fin , il écarte les jambes, enlève le bâillon et m'ordonne de lécher ses couilles et sa queue. J'obéis avec plaisir, je hume son odeur et je goûte sa transpiration mêlée au liquide qui coule de son gland. Il ferme les yeux et profite. Puis il me dit de le sucer ; j'ouvre la bouche et vais et vient sur sa queue ; je ferme les yeux pour en profiter ; j'entends le déclic de l'appareil photo. Soudain il me repousse en me disant qu'il ne veut pas jouir tout de suite . Il veut profiter de mon cul.

Il me fait baisser la tête contre le sol et écarter les cuisses. J'ai un peu puer mais je bande. Il prend un gode moyen et me le met dans la bouche : « suce ça , salope ; cela ira dans ton cul bientôt ». IL met du gel sur ma rosette et pousse avec un doigt, le doigt entre. Ce n'est pas douloureux. IL me masse ainsi le cul puis il remet du gel et entre deux doigts qu'il agite dans tous les sens ; je suis excité et mon cul s'ouvre. Encore du gel et il entre trois doigts ; c'est un peu dur et je gémis avec le gode en bouche mais il insiste et peu à peu mon cul s'assouplit. Il prend le gode de ma bouche et le présente à l'entrée de mon cul ; il ajoute du gel et pousse ; ça fait un peu mal ; je demandé pitié mais comme je ne dis pas stop il continue. Il pousse doucement mais fermement et soudain ça passe. Le gode va et vient c'est moins douloureux ; ça devient excitant.

Il arrête et se lève ; il prend une photo. J'entends le bruit d'un préservatif ; il se met derrière moi, enlève le gode et je sens son gland contre mon trou. Je suis excité ; il pousse ; cal fait encore un peu mal mais là assui ça entre doucement. Ça y est : mon maître possède mon cul.

Il va et vient, d'abord doucement puis il accélère. J'ai l'impression que toutes mes sensations se concentrent dans mon cul ; je frissonne, ma queue est prête à exploser quand tout à coup il se retire. Il enlève le préservatif et je sens son sperme chaud qui jaillit sur mon dos et mes fesses.

Il halète de plaisir et se vide sur mon dos. Puis il délie mes chevilles et m’entraîne dans la salle de bains. Il me fait entrer dans la baignoire, détache mes poignets et me dit « Tu as besoin d'être nettoyé ». Je me penche pour ouvrir le robinet de la douche mais il me dit « NON à genoux ! ». J'obéis et il me donne l'ordre de me masturber. Je le vois qui pointe sa queue et je comprends ; un jet jaune et tiède jaillit et m'asperge : « C'est la seule douche que tu mérites, lope ! ». Soudain je jouis ; il m'ordonne de lécher mon sperme.je suis humilié mais j'obéis, J'avale le liquide visqueux et je sens que je suis encore excité. Il me photographie ainsi. Il me dit de rester ainsi. Il se rhabille en me disant que je dois rester ainsi jusqu'à ce que je sois sec : je pourrai retourner au lit ensuite mais la douche n' était autorisée qu'à mon réveil.

Je reste ainsi couvert d'urine et de sperme qui sèchent : rien ne m’empêcherait de prendre une douche tout de suite mais je snes au fond de moi que la volonté du maître et la plus forte et je sens ma queue qui reprend de la raideur...

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