Novembre 2024 | ||||||||||
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J'étais dans ma voiture lorsque mon téléphone sonna ; c'était le maître. J'avais mis la tenue qu'il exigeait, la même que lors de notre première rencontre : je portais un t'shirt blanc, un vieux jean's troué au genou, à l'entrejambes et surtout à la fesse, un trou que le maître avait élargi lui-même la dernière fois. A mes pieds sans chaussettes une paire de baskets et sous le jean's le même slip blanc que la dernière fois : plus exactement un slip qui avait été blanc et était maculé d'huile et de cirage noir que le maître avait mis sur ma queue lors de notre rencontre; à l'arrière un trou qu'il avait fait et qui correspondait au trou de jean's. Une tenue humiliante qui m'exhibait partiellement à qui voulait regarder de près ; une tenue que j'avais honte de porter. Lorsque j'étais descendu dans mon garage j'avais eu très peur de croiser un voisin.
Muni d'un sac où j'avais mis du matériel (menottes cuir, cordes, bandeau, collier, laisses, gode, martinet…) j'avais donc pris ma voiture pour me rendre là où le maître m'avait fixé rendez-vous la dernière fois ; je croyais avoir ainsi compris ce qu'il m'avait dit. Quelle ne fut pas ma surprise de m'entendre dire que ce n'étaient en rien ses ordres et que je devais rentrer l'attendre chez moi. J'obtempérais donc rapidement, inquiet des conséquences de ma méprise. Arrivé chez moi j'attendis environ un quart d'heure dans ma tenue d'esclave, la queue durcie dans mon slip maculé. Soudain le téléphone sonna et la voix de mon maître me donna ses ordres. Quelques instants après la sonnerie de l'interphone retentit et une voix me dit : "C'est ton maître". J'appuyai sur le bouton d'ouverture puis entrouvris la porte de l'appartement ; suivant les consignes qui m'avaient été données, je mis un bandeau sur mes yeux et me mis à 4 pattes un mètre derrière la porte, tête contre le sol, cul en l'air en direction de la porte. Le cœur battant et queue frissonnante j'entendis l'ascenseur arriver puis la porte s'ouvrir ; des pas, des bruits de vêtements puis la main de mon maître qui me saisissait le cul avec un doigt qui passait par le trou.
Je l'entendis fouiller dans un sac et je sentis qu'il me mettait un collier au cou et des menottes de cuir aux poignets. Il m'attacha les poignets sur le devant, toujours dans la même position. Soudain j'eus la sensation d'une troisième présence : un froissement de vêtement, un léger bruit.. Aveuglé par le bandeau, j'avais cette étrange sensation : maître ou esclave ? Je l'ignorais mais je sentis ma queue durcir à cette idée qu'un inconnu complet était là et me voyait ainsi ; en même temps je remerciais intérieurement le maître de m'avoir réservé cette surprise.
Soudain le martinet claqua violemment sur mes fesses ; heureusement le maître avait laissé mon jean's ; ce qui amortit le coup mais je sentis malgré tout la douleur ; le maître tout en continuant de me cingler m'expliqua que c'était ma punition pour avoir pris une initiative qui n'était pas dans ses ordres. Je reçus ainsi une bonne dizaine de coups qui me firent sentir que je n'étais qu'un esclave, une "sous merde", "une larve" comme m'appela mon maître. Puis il me mit une laisse au collier et me fit me redresser toujours à genoux ; il fixa à mes seins des pinces dont il régla l'intensité ; c'était douloureux mais supportable ; et il me fit avancer à genoux jusqu'à ce que je me heurte à quelqu'un ou plus exactement à un entrejambe recouvert de cuir. "Lèche !" j'obéis sans discuter, sentant contre ma bouche un paquet bien ferme recouvert de cuir bien odorant. J'entendis le maître ordonner à l'inconnu de prendre la laisse et de tirer si je ne léchais pas bien. Je compris ainsi qu'il s'agissait d'un autre esclave et lorsqu'il répondit, j'eus l'impression à sa voix qu'il s'agissait d'un jeune mec sans doute un peu intimidé par la situation nouvelle pour lui.
Je n'avais pas besoin d'être contraint pour m'appliquer tant la situation m'excitait, tout comme le contact et l'odeur du cuir. Le maître cependant ponctuait ses ordres de quelques coups de martinet. Puis il me fit me redresser en tirant sur le collier ; je sentis contre ma bouche la peau de mon partenaire de soumission qui allait devenir pour cette séance mon second maître ; apparemment il était torse nu ; je parvins à son téton droit : "Lèche le sans mordre, donne-lui du plaisir". Je m'appliquais de mon mieux pendant que le maître ordonnait au slave de tirer sur la chaîne de mes seins si je ne lui donnais pas du plaisir ; cependant ses gémissements m'indiquaient que je devais faire plutôt du bon travail. Je passais à l'autre téton qu'il me tendit en se penchant un peu ; la chaleur de son torse nu contre mon visage m'excitait très fort ; j'avais envie de lui donner du plaisir.
Le maître arrêta ; me fit me lever et me plaça au milieu de la pièce pour enlever mon t'shirt et baisser mon pantalon. Je me retrouvais ainsi debout, mains menottées derrière la nuque, pantalon aux chevilles, revêtu d'un slip blanc maculé et troué, ignorant qui me voyait ainsi. Le maître donna à l'autre slave des indications qui me firent comprendre qu'il devait avoir les yeux bandés et soudain je sentis des mains caresser doucement mes couilles et mon sexe à travers le slip. Suivant les consignes du maître l'esclave commença à manipuler mes couilles et ma queue, provoquant un raidissement immédiat de celle-ci qui tendit le slip ; le maître me dit qu'il m'était interdit de jouir et pour m'inciter à respecter cette consigne, il serra les pinces de mes seins et ponctua l'ordre de quelques coups de martinet sur les fesses. Malgré tout je sentais mon excitation croître : le slave était assez tendre, ne profitant pas de la situation pour me faire souffrir ; manifestement sentir ma queue raide lui plaisait et il en profitait. Je me demandais si j'allais tenir longtemps lorsque le maître arrêta.
Il me fit enlever mon jean's de sorte que je me retrouvai avec mon seul slip, à genoux. Le maître m'ordonna de lécher de nouveau le paquet recouvert de cuir de son slave ; j'obéis dans discuter, avec avidité. Soudain il baissa l'arrière de mon slip et je sentis son doigt enduire mon trou de lubrifiant ; il commença à le travailler un peu ; puis je sentis un gode ; je me concentrais sur ma tache et essayais d'ouvrir au maximum le cul ; au début ce fut un peu douloureux mais le maître y allait progressivement et soudain je sentis que ça passait ; mon cul se détendit et absorba l'engin. Je continuais à essayer de donner du plaisir au slave mais en dépit de mes efforts le gode glissa ; après m'avoir puni avec son martinet le maître me le remit en m'ordonnant de m'accroupir de façon à ce qu'il ne glisse pas. Je dois dire que la position n'était pas très facile à tenir et j'avais un peu de mal physiquement, ce qui me fit débander un peu. Finalement le gode glissa de nouveau et le maître ne chercha pas à me le remettre. Il demanda à son esclave s'il voulait que je le suce : la réponse fut un oui sans hésitation. Je me retrouvais à genoux ; j'entendis qu'on défaisait les attaches de ce qui devait être un slip de cuir ; ma bouche remonta le long d'une jambe chaude et trouva une queue de très bonne taille qui pendait à demi ferme ; j'eus un peu de mal à la prendre car elle me sembla visqueuse mais je réussis à l'enfourner et commençais à la téter avec le désir de lui donner un maximum de plaisir. Le maître lui dit de tirer sur la laisse si je ne travaillais pas bien mais je réussis très vite à ce que la queue se raidisse dans ma bouche et prenne une position horizontale ; à chaque fois que le maître demandait si c'était bon, l'esclave répondait un "oh ! oui." significatif…
Je ne sais pas combien de temps cela dura mais le maître fit également se tourner son slave pour que je lui lèche le cul ; ma langue entra dans sa fente et je sentis le goût du lubrifiant ; descendant à la recherche de son orifice je rencontrai un plug ; suivant les ordres du maître j'essayais d'introduire ma langue entre la base du plug et sa rosette pour lui donner un maximum de sensations. Pas facile avec les mains menottées ; j'avais très envie de toucher l'esclave, le caresser, le faire vibrer mais je ne savais pas si c'était la volonté du maître et en dépit de mon envie et de mon excitation je m'en abstins.
Le maître savait faire alterner les plaisirs ; il m'ordonna de me pencher et dit à son esclave de me donner ses pieds à lécher ; ma bouche trouva rapidement un pied nu, légèrement odorant et je commençais à le lécher avidement : lécher les pieds est fortement humiliant mais savoir que je léchais les pieds d'un esclave décuplait cette sensation et faisait encore croître mon excitation. Je nettoyais avec ma langue un pied puis l'autre. Soudain le maître me fit me lever et mettre les mains derrière la nuque et il ordonna de nouveau à son esclave de me manipuler les couilles et la queue. Celui-ci ne se fit pas prier et très vite tout mon corps était parcouru des sensations qui prenaient leur source dans ma queue. Le maître m'ordonna de m'exhiber pour lui et je commençais à avancer mon bassin et me tortiller et essayer de frotter mon corps contre celui de l'autre esclave ; ce contact accroissait mon excitation et je me laissais de plus en plus aller. Tout à coup une douleur cinglante irradia mon dos ; le maître venait de me donner un coup de fouet. Cette sensation fit instantanément retomber mon excitation et me ramena à la réalité, m'enlevant toute envie de continuer. Je demandais à stopper le jeu mais le maître refusa et me reprit en mains, me faisant me calmer tandis que j'entendais la voix de l'esclave demander gentiment si j'allais bien et que sa main esquissait une caresse. Si bien que lorsque le maître me fit de nouveau mettre à genoux pour sucer encore son esclave j'obéis sans discuter ; le plaisir de la soumission reprenait le dessus.
Au bout d'un moment le maître lui demanda s'il voulait jouir sur moi ; le jeune esclave semblait très excité et désireux de jouir. Le maître me fit accroupir à ses pieds et me donna ses bottes à lécher. J'obtempérais sans hésiter, tendant la langue contre le cuir odorant, sentant le léger picotement provoqué par le cirage. L'esclave vint se placer contre moi ; je sentais ses jambes s'appuyer contre mon corps, comme s'il recherchait le contact. Cette situation m'excitait ; je sentais les vibrations de son corps pendant qu'il se masturbait en haletant ; j'avais envie qu'il soit encore plus contre moi pour sentir sa chaleur et en même temps je m'appliquais à bien lécher les bottes du maître. Soudain l'esclave gémit et je sentis des gouttes chaudes et gluantes tomber abondamment sur mon dos; je frémis, parcouru de sensations, heureux que mon partenaire ait joui à cause de moi.
Je n'en avais pas fini car, aspergé de sperme gluant qui commençait à sécher, il fallait à présent donner du plaisir à mon maître :le maître ordonna à l'esclave d'enlever mes pinces; il s'assit et me fit avancer à quatre pattes jusqu'à ses pieds. Je sentais l'odeur de ses bottes et de son pantalon de cuir ; il m'ordonna de lécher et embrasser son sexe à travers le cuir ; ma langue humecta longuement de salive son entrejambes : ma bouche sentait son membre dur à travers le pantalon tandis que le goût du cuir piquait légèrement ma langue et que son odeur contribuait à m'exciter encore plus. Son esclave vint s'accroupir derrière moi et commença à me caresser et à me manipuler les couilles et la queue, portant à un plus haut degré encore les sensations dont j'étais parcouru; ma queue se raidissait tandis qu'enfin le maître sortait sa queue et me la donnait à sucer. Je la pris avec avidité entre mes lèvres, l'absorbant au maximum, m'appliquant à lui donner le plus de plaisir possible pendant que je sentais contre mes fesses le contact chaud de l'esclave de mon maître. Et la raideur de la queue de ce dernier dans ma bouche ne faisait que m'encourager encore plus. J'avais envie que mon maître jouisse grâce à moi, à ma docilité, à ma bouche; je fantasmais sur l'idée qu'il pourrait le faire dans ma bouche mais en même temps la prudence me faisait le redouter. Soudain le maître se leva et m'ordonna de lécher ses bottes. J'obéis immédiatement et je compris qu'il commençait à se masturber au-dessus de moi ; son esclave continuait ses caresses et ses manipulations qui portaient au maximum mon excitation. Soudain je sentis un flot de sperme tomber sur mon dos : le maître jouissait avec une abondance qui à la fois me surprenait et me réjouissait ! Il giclait bien plus que son esclave et j'avais l'impression que les jets de sperme qui retombaient tièdes sur mon dos n'allaient jamais s'arrêter. Je me concentrais pour bien les sentir tomber sur ma peau.
Le maître enfin cessa ; il fit se relever son jeune esclave en lui demandant si tout allait bien. Celui-ci répondit par l'affirmative. Le maître me fit rester à genoux, toujours entravé et les yeux bandés, tête appuyée sur un fauteuil ; il me dit que je devrais rester ainsi jusqu'à ce que mon portable sonne trois fois. Je l'entendis se rhabiller ainsi que son esclave. Ma queue frémissait à l'idée qu'un esclave inconnu me voyait dans cette position humiliante, avec mon slip maculé et troué au cul, mon dos dégoulinant de sperme. Le maître lui dit de me dire au revoir et j'entendis sa voix juvénile : "Au revoir sous-merde !" . je lui dis au revoir et le remerciais humblement.
Puis le maître vint, me fit me redresser un instant et je sentis qu'il appliquait quelque chose de gras sur mon sexe et mes couilles : "c'est ma marque, me dit-il". Je compris qu'il me passait la bite au cirage. Et il m'ordonna de garder ma queue ainsi une demi-heure après son appel. La porte se referma et je restais ainsi accroupi, dans le noir et le silence. Je sentais le sperme qui séchait sur moi, le cirage qui piquait légèrement mon sexe et dont l'odeur remontait à mes narines. Je me concentrais sur ses sensations, revivant le plan et l'excitation qu'il m'avait procurée, me demandant combien de temps j'allais rester ainsi. Mon dos me faisait un peu mal tout comme mes genoux mais je m'appliquais. Le téléphone sonna au bout d'une petite dizaine de minutes. Je me relevais soulagé, ôtant mon bandeau, mon collier, les menottes de cuir et le slip. J'avais débandé mais en voyant ma queue noire l'excitation me reprit ; je n'osais la toucher lorsque le téléphone sonna de nouveau ; c'était le maître. Il me demanda comment j'allais et si j'avais bien obéi puis m'ordonna de prendre un gode et le mettre dans mon cul ; il entra sans trop de difficulté, me faisant cependant un peu débander. Le maître m'ordonna ensuite de me masturber jusqu'à ce que je gicle ; j'hésitais un peu à cause du cirage mais j'obéis et ma queue ne tarda pas à se tendre ; je revoyais le film des événements tout en accélérant et soudain je sentis tout mon corps frémir ; mes sensations se concentrèrent sur mon bas ventre et ma queue laissa exploser le sperme. Je m'arrêtai épuisé avant d'aller me laver soigneusement.