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Didier

J'avais rencontré Didier sur internet; on avait discuté au téléphone et convenu d'un rv un après-midi. Je lui avais donné des consignes. A l'heure dite il sonne à l'interphone; je lui ouvre et laisse la porte de l'appartement entrebaillée après avoir disposé sur une chaise dans l'entrée un bandeau de cuir; je passe dans ma chambre et je ferme la porte. Je l'entends qui entre; un froissement de vêtements qu'on enlève puis le silence. J'attends encore un peu. J'ouvre la porte : devant moi un jeune mec mince et souple, cheveux blonds mi-longs, le visage à demi masqué par le bandeau. Il a gardé un slip blanc qui souligne joliment ses formes; on peut voir une bosse; il semble un peu tendu et contracté (on peut le comprendre!). Je m'approche en silence; il semble ne pas savoir que faire de ses mains; je les ramène dans son dos; je caresse du bout des doigts sa poitrine, il frémit un peu mais reste contracté; je prends un collier de cuir et le le fixe à son cou et je le tire par un des anneaux; il hésite un peu puis ne résiste plus et se laisse entraîner; je le guide doucement vers le living, toujours sans parler. Puis je le laisse un instant, le temps de chercher une corde ; toujours ses bras dont il ne sait que faire; je les ramène dans son dos et je commence à lui attacher les poignets, bien solidement. A présent il est à moi. Il semble encore contracté. Je commence à le caresser délicatement , j'effleure le devant de son slip; il régit; ça durcit manifestement; puis je me place devant lui et je saisis un sein, je le manipule d'abord doucement puis plus fermement, je prends l'autre que je traite de même; il commence à gémir et à balancer sa tête; son front me cherche et il pose sa tête contre mon épaule, d'une main je continue à lui manipuler les seins, de l'autre je le caresse, je frotte son sexe à travers son slip ; je commence à lui parler un peu ; je lui dis que j'aime sa manière de réagir; il se détend définitivement; les choses sérieuses peuvent commencer! Je le laisse un peu pour prendre une autre corde avec laquelle je lui attache les bras à hauteur des coudes. Et je recommence; il tend sa bouche manifestement en cherchant la mienne; je lui permet de la trouver et il commence à m'embrasser pendant que je lui travaille les seins. Il s'excite de plus en plus; il faut le calmer. Je lui mets un instant le bâillon boule; il le prend docilement.

A présent son slip, je le caresse le palpe puis progressivement je le baisse; une queue splendide surgit; longue, décalottée, recourbée vers le haut, surmontant une paire de couilles de taille moyenne ; manifestement il mouille; je prends une ficelle et j'attache ses couilles; je la fais passer entre ses cuisses et je la relie à ses poignets. Je ne peux résister à la tentation, je me baisse et lui suce un peu le gland; il gémit dans son bâillon. a lui de travailler un peu; je le mets à genoux et enlève son bâillon ; il a compris : il cherche la bosse de mon jean's et l'embrasse avec avidité; je me dégage et sors ma queue ; il la prend à la bouche; c'est un excellent pompeur; il sait y faire et aime ça; je lui travaille les seins en même temps ; il s'excite et moi aussi ; il va bientôt me faire jouir; j'arrête ; je lui dis qu'il faut qu'il se calme et pour cela je le fais asseoir sur ses fesses, j'entrave ses chevilles, je défaits la ficelle qui reliait ses couilles à ses poignets et je la fixe à la corde qui entrave ses chevilles ; je le baillonne à nouveau, prends mes pinces et les fixe à ses tétons; il gémit un peu. Je lui dis d'attendre et je le laisse là dans l'obscurité; je passe dans ma chambre où je me déshabille posément puis je reviens vers lui, nu. Je me place derrière lui; il sent que je suis nu et frémit, j'enlève le bâillon et vais m'asseoir dans un fauteuil devant lui; il a compris, sa bouche cherche mon entrejambes ; il la trouve et commence à lécher et embrasser mes cuisses, mes couilles, mon sexe; il me décalotte avec la bouche et commence à sucer; c'est super; je savoure ; je ne peux pas me retenir de gémir un peu de plaisir : il est expert!

Je tire un peu sur la chaîne qui relie les pinces, il gémit en me suçant; je retire ma queue de sa bouche pour ne pas jouir et d'un coup sec j'enlève les pinces, sans le prévenir; bien sûr ça fait mal sur le coup; il pousse un petit cri et débande un peu; je lui caresse doucement le bout de ses tétons chauffés et endoloris tout en lui présentant ma bouche, il m'embrasse longuement pendant que je recommence doucement à le travailler; sa queue redevient belle et dure. Je décide qu'il faut un peu varier les plaisirs. Je défaits la ficelle reliée à ses chevilles et je la fixe à son collier de telle façon que ses couilles sont tirées vers le haut et qu'il est obligé de courber son buste en avant; je le fais se relever; de la sorte ses fesses son bien exposées; j'écarte ses poignets liés; il se laisse faire ; j'introduis un doigt pendant que de l'autre main je le masturbe doucement; la réaction est excellente; puis sans prévenir une claque sur les fesses; je commence la fessée; il cherche à se blottir contre moi et à m'embrasser : docile, un peu maso et tendre à la fois; j'aime!

Une fois ses fesses un peu rougies, pour le récompenser et surtout me faire plaisir je me mets à genoux devant lui et je prends son gland entre mes lèvres; je le suce un peu; excellente sensation. Il s'excite de plus en plus; j'arrête pour qu'il n'éclate pas immédiatement.

Je le saisis par la ficelle qui relie ses couilles et son collier et je l'entraîne dans ma chambre ; il avance en hésitant, en aveugle. Les liens de ses chevilles lui permettent d'avancer. Voici le lit ; je le fais s'allonger sur le dos; je détache la ficelle pour qu'il puisse s'allonger confortablement. Il est très joli comme ça.

Je me place dessus de lui; je rattache ses couilles à la corde qui entrave ses chevilles de manière à ce que ses jambes soient à demi pliées; et je me penche et prends sa queue à la bouche; je commence à le pomper; je sens sa bouche qui cherche ma queue et la trouve ; on commence à se pomper mutuellement; il pompe vraiment bien ; je dois le faire pas mal aussi; il se tortille dans ses liens; agite ses jambes en tirant sur ses couilles. Il utilise bien sa langue, pompe mon gland en expert; j'arrête avant de jouir.

Je me mets à côté de lui; d'une main je manipule ses seins bien bandés de l'autre je le masturbe; sa queue est bien raide; à chaque fois que je le sens près de jouir j'arrête : je recueille du bout des doigts les gouttes de liquide pré-spermatique qui pointent au bout de son gland et je lui fais lécher mes doigts. Finalement je décide qu'il est temps; je lui délie les mains et lui dis de se branler. J'enlève son bandeau pour voir son visage quand il jouit. Un joli regard bleu et souriant. Il mèle ses jambes aux miennes, se colle contre moi, m'attire pour m'embrasser; soudain il se raidit, le sperme blanc jaillit sur son ventre; il se branle jusqu'à la dernière goutte; son corps se détend