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Lorsque je suis arrivé, j’avais un petit plug au cul, pas de slip ni chaussettes : j’avais ordre de me changer dans le train et je l’avais fait dans les toilettes, étroites et secouées . Pendant le reste du voyage j’ai senti le plug : pas très gros mais suffisant pour me titiller les entrailles et me rappeler que dans ce train je n’étais pas un voyageur ordinaire de retour de vacances.
Il m’avait donné ses consignes pour trouver l’appartement où il m’attendait et pour me mettre en tenue dans une pièce claire et vide : à genoux sur un petit tapis, torse nu et pieds nus, yeux bandés, bras croisés dans le dos et tête baissée; conformément à ses ordres, j’avais mis dans un sac poubelle un short, un t-shirt, un sweat, un survêtement, de vieilles baskets destinés au plan.
J’ ai attendu un instant, tendu, le cœur battant puis il est arrivé. Je ne pouvais rien voir mais quand il a commencé à parler puis me toucher il semblait à la fois calme, ferme et doux. Il m'a caressé, fait sucer ses doigts, me dominant très sensuellement, sans violence. Je me sentais à l'aise, en confiance et en même temps totalement dominé. Il m'a ensuite fait un petit cours sur les règles (respect, propreté, sourire, politesse, obéissance, implication...) puis m'a fait réviser les positions qu’il m’avait indiquées par internet, me corrigeant doucement mais fermement, prenant des photos : tête basse contre le sol, bras et jambes écartées, dos cambré ; la position du « dog » que tu peux imaginer, celle « à genoux » que j’avais adopté au départ…. et il m'en a enseigné une nouvelle, la plus soumise : "down" complètement à plat ventre, bras et jambes bien écartés en X. J'ai adoré cette position, on se sent totalement soumis et tu verras que plus tard il en a fait une utilisation géniale ..il est très attaché à l'esthétique des positions et cela donne envie de lui plaire et d’être soi-même attirant par une position correcte.
Il m'a aussi appris comment me tenir dans une position d'attente : debout, jambes écartée, buste droit, tête baissée, bras croisés dans le dos; ensuite comment me comporter pendant une "déambulation", toujours marcher à la gauche de mon accompagnateur un peu en arrière : je mettais ma main droite sur son épaule gauche ensuite pendant la suite du plan j'ai été conduit en laisse tenue très courte et haute par l'accompagnateur. Pendant tout ce temps je me sentais de plus en plus soumis, m'abandonnant à ses ordres et à ses mains, abdiquant ma liberté avec l'envie de bien faire scrupuleusement ce qui m'était demandé
Tout cela m'a donné vraiment confiance je sentais que j'avais affaire à quelqu'un de sérieux et expérimenté.
Quand j'ai compris ces consignes il m'a ôté mon gode mais en laissant la ficelle attachée à mon ventre; elle le restera tout le plan.
Il m'a fait mettre mon sweat gris et m'a conduit sur le palier yeux bandés après m'avoir donné des indications pour que je me rendre dans un garage fermé derrière l'immeuble où je devais
l'attendre, yeux bandés, en position d'attente. J'ai oublié de te préciser qu’ il m'a fait mettre les vielles skets que j'avais emportées pour le plan, sans chaussettes ; bien sûr je n’
aurais pas détesté faire le trajet nu pieds mais en ville, de jour....dur. J’ai eu envie d’enlever mes chaussures dans le passage privé conduisant au garage mais parmi les règles il y avait celle
de ne pas faire de zèle et me contenter d’obéir et je m’y suis tenu.
Une fois la porte refermée j'ai enlevé le bandeau et m'y suis rendu; c'est la seule fois de tout le plan où j'ai pu voir ce que je faisais et où j'allais ; quand je suis arrivé devant la
porte elle s'est ouverte, je suis entré. J'ai attendu un moment puis la porte s'est refermée (grâce à une cellule photo électrique, je crois
Le maître est venu m'y retrouver. J’étais perdu dans mes pensées quand la porte s’est ouverte et j’ai sursauté mais sa voix m’a
immédiatement rassuré ; il m'a attaché les poignets dans le dos avec de la ficelle, me disant que son aide, son "maître d'équipage", dénommé Pierre, allait venir me prendre en voiture et
m'emmener dans son "chenil". Tu imagines l’état dans lequel cette annonce m’a mis !
La porte s'est refermée et j'ai attendu une dizaine de mn puis un moteur s’est rapproché, ma queue s’est raidie et j’ai rectifié la position ; la porte s'est ouverte pour faire entrer une
voiture en marche arrière je ne sais pas quel modèle c'était mais apparemment l'arrière avait un hayon que le conducteur a ouvert et après m'avoir détaché les mains il m'a fait monter par le
hayon et asseoir dans l'espace du coffre derrière les sièges . Le maître d’équipage semblait beaucoup plus bourru et brusque que Tristango mais très vite j’avais eu le signe qu’il était
sûr : la façon dont il m’avait aidé à monter en aveugle dans le coffre me l’avait suggéré. Ce n'était pas à proprement parler un coffre fermé, il m'a donc recouvert d'une couverture et on
est partis, Le trajet a duré une dizaine de minutes (comme il écoutait la radio j'ai pu mesure le temps) ; je ne voyais rien, bien sûr, je sentais simplement les accélérations,
les coups de freins, les tournants – une sensation vraiment déroutante accroissant mon sentiment de dépendance- et on est arrivés sur une route de terre : la voiture a fini par stopper, je
pensais qu'on était au chenil : le conducteur a ouvert le coffre et a commencé à sortir du matériel qu'il posait sur moi comme si je n'étais pas là il m'a ensuite fait sortir pour me mettre
des menottes de cuir aux poignets et un collier de cuir; j'ai porté tout ça pendant tout le reste du plan…
Il m'a mis la laisse et m'a entraîné, à sa gauche en me tenant très court. Il m'a fait aller et venir comme pour me désorienter (comme
si je ne l’étais pas déjà totalement !), jouant en quelque sorte avec moi, puis il m'a mis les anses d'un sac en plastique entre les dents pour que je le porte; pourtant j'avais encore les
mains libres mais il a fait comme si je n’étais qu’un quadrupède dont seule la bouche était disponible. On est arrivé en terrain plus difficile; il m'a dit qu'on entrait dans le lisière de la
forêt. J’ai avancé tant bien que mal ; je glissais mais il me maintenait fermement par la laisse. Pendant ce temps j'avais l'impression qu'il y avait quelqu'un d'autre; il me semblait voir
des éclairs de flash à travers le bandeau ; j'ai appris le lendemain que le maître était là pendant tout ce temps.
A un moment il m'a ôté mon sweat; j'ai compris que les chose sérieuses allaient commencer
Mais totalement en confiance, je ne me suis jamais senti en danger ou vraiment inquiet.
Je croyais qu'on allait vers le "chenil"; en fait il m'a fait adosser à un énorme tronc ; je sentais la mousse contre mon dos ; il m’a alors fait écarter les bras et j’ai senti qu’il les attachait ainsi avec une corde qui devait passer derrière le tronc. Une fois bien immobilisé, j'ai senti qu'il déboutonnait mon jean's... il l'a baissé sur mes chevilles -tu imagines- il a attaché ma jambe gauche au tronc puis a pris mon pied droit pour enlever la chaussure et sortir la jambe du pantalon afin de l'attacher bien écarté -j'étais dans un état d'excitation!!!
Il s'est mis à me travailler un peu les seins j'ai réagi de manière très significative , je me rappelle gémissant et me tortillant dans mes liens tandis que ma queue raidissait.
Soudain il s'arrête, me met dans la bouche un sac plastique, roulé en guise de baillon, et s'en va ; il remonte dans la voiture,
calque la porte et démarre ; j’entends le bruit du moteur s ‘éloigner… j'avoue que je n'ai pas eu peur; le début du plan m'avait vraiment mis en confiance au contraire je réalisais un
de mes grands fantasmes, attaché, nu, offert en extérieur. Il ne faisait pas véritablement froid, je sentais le tronc contre moi, rassurant par sa taille, la position n'étais pas douloureuse,
J'entendais autour de moi les bruits de la forêt dans un grand calme apaisant.
Je crois que j'aurais pu rester ainsi un bon moment; mais j'ai entendu des pas, j'ai vite compris qu'il s'agissait de monsieur pierre, le maître d'équipage, ou peut-être le Maître lui-même ;
c’était Pierre ; il m'a encore un peu travaillé les seins, puis m'a détaché après avoir enlevé totalement mon jean's et remis mes chaussures : on me traitait comme un enfant, un infirme
ou un animal…. il m'a menotté dans le dos, placé mon jean's roulé dans mes mains pour que je le porte ainsi, mis un sac entre mes dents et m'a ramené en laisse. A un moment il m'a dit : "ici on
est à découvert"...
-mmmmm inutile d’insister sur mon état- et il m'a laisse ainsi debout nu au bord d'un chemin pour aller chercher sa voiture.
Ce ne fut pas très long mais terriblement excitant ; il m'a ensuite remis dans le coffre, nu cette fois et on est repartis. Encore quelques minutes de trajet sur une route puis quelques
manœuvres m’indiquant qu’on devit arriver. Quand la voiture s'est arrêtée, il m'a fait descendre et attendre, toujours nu, apparemment sous un porche, car il commençait à pleuvoir pendant qu'il
manoeuvrait la voiture, sans doute pour la garer.
Il m'a ensuite conduit à l'intérieur par un dédale pas très facile et m'a dit que j'étais arrivé dans ma "stalle" :
sur les photos j'ai vu ensuite qu'il s'agissait d'une partie d'une ancienne étable avec ciment et veilles planches, très excitant comme décor… Il m'a fait ôter mes chaussures, asseoir sur une
couverture et m'en a mis une sur les épaules car il commençait à faire frais.
Imagine moi donc accroupi nu sur une couverture sur un sol de ciment, adossé à une cloison de planches, yeux bandés.
J'ai attendu un certain temps, par moment il venait, déplaçait des chaînes ou du matériel, comme si je n'étais pas là...Quand j'étais
seul par moment je me caressais le sexe qui durcissait en me demandant quelle allait être la suite mais en veillant à ne pas aller trop loin. Puis il est revenu et s'est enfin occupé de moi,
jouant une sorte de formalités d'incarcération : il m'a pesé, mesuré, me demandant mon poids et ma taille; comme mon poids ne concordait pas il a tracé une croix au feutre sur mon épaule; et
je l'entendais écrire comme sur une ardoise ; et ensuite photos d'identité, debout à poils, avec sur la poitrine un écriteau, puis les deux profils...
Et il m'a fait répéter les positions, mais cette fois nu et sur un sol en ciment, avec photos sous tous les angles et il m'a interrogé sur les règles : je suppose que mes réponse étaient
correctes car je n’ai pas eu d’autre croix sur mon dos. Le téléphone a alors sonné : le maître arrivait (mais avait-il jamais été loin?). Je commençais à avoir très envie de pisser ; je lui ai
dit; il m'a fait attendre un peu puis m'a fait me lever , avancer : j'ai senti du ciment à la hauteur de mes cuisses; Pierre me dit: "c'est une mangeoire (et j'ai vu ensuite sur les photos que
c'était le cas), pisse là". J'ai compris qu'il était resté; cette idée m'a fait immédiatement bander: après une hésitation j'ai commencé et soudain un flash! Il me photographiait dans cette
situation humiliante. Je bandais tellement que je n'ai pas pu vider ma vessie!
Pierre m'a fait me remettre dans mon coin pour aller accueillir le Maître me disant de me mettre dans la position à genoux pour son arrivée; je me suis efforcé de garder la position la plus adéquate en entendant les pas de ce dernier; il est entré et il m'a interrogé pour savoir si ça allait, tout en me caressant; il a discuté avec Pierre; puis a dit qu'il allait visiter les travaux d'aménagement. Il m'a alors mis des pinces à seins pas très fortes ni douloureuses mais que je sentais bien; on m'a fait remettre le sweat à cause du froid et on m'a emmené en laisse pour un visite aveugle. J'étais tenu en laisse très court et le maître me faisait baisser la tête dans les passages difficiles. A un moment je me suis retrouvé à quatre pattes, la laisse accrochée à je ne sais quoi alors qu'ils étaient dans ce que la conversation entre eux décrivait comme le réfectoire des esclaves en cours d'aménagement : ils se comportaient comme si je n'étais qu'un animal de compagnie ; mais le sol en ciment était glacial et je me mis à grelotter; le maître me mit alors une couverture sur les épaules et reprit la visite.
Puis on est passé dans ce qui devait être un grange et là j'ai subi un dressage étrange; il y avait plusieurs niveaux auxquels on accédait par des échelles de bois. Je n’aurais jamais pensé être capable de grimper une échelle en aveugle mais le Maître me guidait à la fois avec la laisse et avec ses explications et je crois que finalement j’ai grimpé mieux que ce que j’aurais fait les yeux ouverts avec le risque que mon vertige ne prenne le dessus.
Le Maître et Pierre m’ont fait successivement parcourir deux niveaux. On m'a fait balader le long des murs à l'aveugle, debout puis à quatre pattes comme si je devais prendre mes repères ; ça a duré un long moment, c'était un peu stressant mais très déshumanisant aussi, comme un animal qu'on dresse. C’était peut-être le but. Une ou deux fois je me suis heurté contre un mur mais sans trop de dégât. Comme je te l’ai dit, il y avait plusieurs étages et on est montés à un étage au sol couvert de paille : là on m'a fait mettre totalement nu et je dois te dire que promener nu dans la paille à quatre pattes est génial ; j étais totalement bien et je crois que peu à peu j’arrivais à avancer ainsi sans crainte. Enfin le maître m'a fait mettre en croix contre un mur pour prendre des photos (et m'enlever les pinces à seins) ; je n’étais pas attaché mais je me sentais totalement contraint par la volonté de mes maîtres. On m'a fait alors prendre aussi diverses positions, comme « down » dans la paille et ce moment a été un moment de plénitude dans le sentiment de soumission et d’abandon. On m’a alors conduit dans une autre pièce et ils ont versé de l'eau chaude au milieu de la paille et m'ont fait faire des exercices dans ce mélange qui me réchauffait agréablement mais me salissait tout le corps. Enfin je me suis retrouvé sur le dos dans la paille en croix pendant que les Maîtres me recouvraient progressivement : je me sentais bien, en confiance, au chaud, me laissant submerger par le sentiment de soumission et d’appartenance. Je pense que si les Maîtres m’avaient attaché et laissé là je me serais laissé totalement aller, détendu, jouissant de toutes les sensations et je crois bien que je me serais endormi ainsi. Mais ça n’a duré que le temps de quelques photos. Le Maître avait manifestement d’autres projets !
Il a décrété que j'avais besoin d'être lavé. Pierre me ramène alors dans la stalle ;j'ai encore envie de pisser ; je le lui dis ; il me fait trouver à tâtons deux tabourets de plastique et me fait mettre mes genoux sur l'un, mes mains sur l'autre ; me voici donc à quatre pattes au dessus du sol et il me dit que je n'ai qu'à lever la patte pour pisser....Cette fois j'avais très envie et mon érection n'a pas empêché la miction, je sentais que ça coulait sous moi..et mmmm je me sentais à la fois soulagé et humilié. Mais je n’avais pas encore tout ressenti : ils se sont mis à me laver ainsi tous les deux, comme un animal, frottant toutes les parties de mon corps immobile et offert, parlant de moi comme si je n’étais pas là ; ils m'ont même bouchonné avec de la paille. Là encore ce fut une sensation indescriptible mais géniale. Bref après ce nettoyage en règle on me fait remettre mon sweat et Pierre me guide dehors à travers une sorte de jardin Jusqu’à ce que j'ai compris être une maison attenante à la grange. Arrivé sur le seuil, le Maître me fait enlever les chaussures et le sweat et me fait asseoir sur une couverture après m’en avoir mis une autre sur les épaules. Le problème a été que la maison était très froide avec un carrelage glacé : j’avais du mal à ne pas grelotter et cela gâchait un peu mon plaisir.
Me voici donc totalement nu de nouveau; après un temps d'attente, on me fait passer dans une autre pièce et on me fait approcher d'un table basse recouverte d'une couverture ;on m'y fait allonger sur le dos avec un coussin dont j'ai compris ensuite que c'était mon jean's roulé et on m'y attache solidement, avec un corde souple et longue : du bon bondage, solide, ferme mais confortable. J'aurais pu rester des heures ainsi sauf que je grelottais.
Le Maître et Pierre m'ont mis une couverture et je suis resté ainsi un long moment attaché pendant qu'il mangeaient; de temps en temps le Maître venait me mettre un peu de nourriture en bouche, comme un œuf dur : une très étrange sensation que d’être ainsi nourri, totalement attaché, avec seulement la tête libre.
Il devait être aux environs de minuit.
Quand le repas a été terminé j'ai été "réchauffé" de façon assez hard.d D'abord des pinces; deux pinces japonaises aux seins, qui faisaient un mal de chien (une douleur que je supporte mal) et des pinces aux couilles ; le douleur était vive, surtout dans le seins et irradiait toute la poitrine. Je me suis tendu pour résister et ne pas demander d'arrêter ;j'avais ma fierté et ne voulais pas recourir au safe word afin de complaire au Maître puisqu'il prenait plaisir ainsi, d’autant qu'il m’encourageait de sa voix en me disant le temps qui restait à garder les pinces; et les photos montrent que je bandais avec les pinces aux couilles…
Ils m'ont laissé une dizaine de minutes ainsi (avec une alarme qui a sonné) ; même si je commençais peu à peu à apprivoiser la douleur je peux te dire que j'avais oublié le froid….Et quand on les a retirées...ouupps , tu peux imaginer combien ça fait mal. On m'a remis ensuite la couverture pour que je me repose un peu.
Puis j'ai entendu parler de caméra et une allusion à l’épilation ; je dois dire que je n’ai pas tout de suite compris ce qui m’attendait. La couverture a été retirée et on me met une sorte de tube en caoutchouc entre les dents, pour que je morde dedans.
Et tout d'un coup la cire chaude qui tombe à gosses gouttes partout, en abondance :c'était bien fait et sans danger mais pas sans douleur ! Je peux te dire que je me suis tortillé et ai gémi , je pense que ce fut spectaculaire, pas seulement parce qu'il y avait la caméra. Et ça m’a réchauffé !
Mais sur le moment j'avais l’impression que ça n'arrêtait pas, que tout mon corps était couvert de cire et douloureux ; parfois je croyais que c’était fini et ça reprenait de plus belle ; ils ont insisté sur le seins, la queue...les endroits sensibles se couvraient d’une croûte ;et, attaché comme je l'étais, impossible d'esquiver; je pouvais juste mordre dans le tube et gémir. C'était dur mais une sensation incroyable ; cela a été le clou final ! Quand les cire a cessé j’étais comme vidé sans avoir joui et en même temps fier d’avoir tenu.
Après ça j'ai eu le doit de voir ; on m’a libéré, enlevé le bandeau et fait rhabiller ; j’ai vu qu’on était dans une maison propre et quasiment vide, au bord d’une route dans la campagne. On m’a remis dans le coffre pour rentrer dans l’appartement où tout avait commencé et j’ai pu dormir nu sur une canapé dans un pièce chauffée, récupérant un peu de mes émotions et travaillé par l’envie de recommencer.