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en foret

 

 

 

 

Frédéric aimait se promener en forêt. C'était la fin de l'été et sac au dos, il avait décidé d'explorer un nouveau coin. Il se promenait depuis un bon moment, goûtant la tranquillité de ce coin désert et reculé lorsque tout à coup il entendit plusieurs coups de feu dans le lointain. Il sursauta, se rappelant soudain que la chasse était ouverte. Il décida de s'éloigner, marchant à grand pas. Soudain, il entendit un bruit dans un buisson et en un éclair entrevit un daim qui fuyait. Un coup de feu retentit, puis un autre tout près, suivi de cris : "On l'a manqué, c'est la faute à ce con !" Deux gars en tenue de chasse, fusil à la main se dirigeaient vers lui : "Pouvez pas faire attention ! Ça fait des heures qu'on le guette, espèce d'imbécile !" Frédéric essaya de prendre la chose en plaisantant : "Tant mieux pour cette pauvre bête...""Ah, tu l'as fait exprès !". La gueule d'un fusil pointait vers lui. "Eh doucement, les gars, je l'ai pas fait exprès...""Tu vas voir ce qu'on fait aux cons de ton espèce ici" "Mais, écoutez.." Le fusil se fit menaçant : "Enlève ta chemise et baisse ton froc"

Frédéric eut un instant d'hésitation mais les canons des deux fusils étaient pointés vers sa poitrine. Lentement, sans geste brusque, il déboutonna sa chemise et l'enleva laissant apparaître sa poitrine musclée ; puis après un temps il défit sa ceinture, dégrafa son jean's et le baissa sur ses chevilles. Un des deux gars indiqua son slip blanc du canon de son fusil. Frédéric comprit immédiatement : sans discuter, il baissa son slip. A la vue de sa queue et de ses couilles, les deux chasseurs se mirent à ricaner. Frédéric se sentait humilié d'être ainsi offert aux regards de ces deux mecs mais en même temps cette humiliation ne manquait pas de le faire frissonner d'excitation et sa queue, loin de rester molle et inerte, se retrouvait à demi bandée. Instinctivement, il porta les mains devant son bas ventre pour le cacher. "Les mains en l'air, bien haut. On veut tout voir."

Il leva les bras. Les deux chasseurs tournaient lentement autour de lui en le regardant et commentant son anatomie : "Regarde, son cul est pas mal..Tu crois pas qu'il est pédé..Mais il bande ! Il aime ça. On va t'apprendre. A quatre pattes ! Vite !" Frédéric se jeta sur le sol à genoux et se baissa en avant. Il sentit le contact du métal glacé d'un canon contre ses fesses. "Ecarte". Le tube d'acier glissa entre ses cuisses et vint se poser contre ses couilles. "Reste comme ça." Tremblant, Frédéric s'appliquait à ne pas bouger. Il voyait l'un des chasseurs tailler dans un buisson une branche flexible et lui enlever tout son feuillage. Pour en vérifier la flexibilité il cingla l'air devant lui : la badine émit un sifflement impressionnant. Le chasseur, l'air content passa derrière Frédéric : celui-ci sentit le fusil s'écarter de ses couilles. Une main appuya sur ses épaules : Frédéric docilement appuya son visage sur le sol, offrant ainsi ses fesses rebondies. "Compte !"

Un sifflement. Frédéric sentit une brûlure sur ses fesses. La douleur et la surprise lui arrachèrent un cri. Il se reprit et compta "un". Il se tendit dans l'attente des coups suivants. Mais le second coup cingla son dos et il ne put réprimer un nouveau gémissement. Il commença à compter à haute voix mais au bout d'une vingtaine de coups il perdit le compte. Il ne sentait plus que ses fesses brûlantes et son dos zébré et gémissait sans retenue à chaque coup. Finalement son fesseur sembla se lasser. Les coups s'arrêtèrent. Frédéric attendit quelques instants puis se laissa aller et s'effondra haletant sur le sol, reprenant peu à peu ses esprits. Une main solide le prit par le bras et le tira vers le haut. Frédéric, tant bien que mal se releva, empétré‚ dans son jean's qui enserrait ses chevilles. "Recule." A petits pas maladroits, il obéit.

Il sentit l'écorce d'un arbre contre ses fesses encore brûlantes. Un des chasseurs saisit ses poignets et ramena vigoureusement ses bras derrière le tronc. Une corde enserra ses poignets. Frédéric sentit qu'un nœud particulièrement serré lui immobilisait les bras. Une autre corde entoura ses jambes. Il était solidement attaché à l'arbre. Il vit les chasseurs fouiller son sac : ils en retirèrent un bandana noir et les baillonnèrent avec, puis ils remontèrent à demi son slip sur sa queue. C'est alors qu'ils trouvèrent son appareil photo. Ils discutèrent un instant en riant : "Tu es pas mal comme ça ; on va te faire une photo-souvenir". Et tout en continuant à commenter sa situation ils le mitraillèrent, épuisant toute sa pellicule. Puis emportant l'appareil, ils mirent leurs fusils en bandoulière et s'enfoncèrent dans le bois : "Amuse-toi bien et que ça te serve de leçon"

Frédéric, abasourdi, resta là un moment, immobile, réalisant peu à peu sa situation : il était dans un bois, attaché à un arbre, quasiment nu, fesses à l'air, son jean's sur les chevilles ; son cul cuisait encore de la fessée qu'il avait reçue et sa queue se dressait au fur et à mesure qu'il pensait à sa situation : quelqu'un pouvait venir et le trouver ainsi, ce serait la délivrance mais en même temps la honte de se voir offert aux regards d'un inconnu. Soudainement il essaya de se débattre, bandant ses muscles, tirant sur ses liens ; il essaya de crier à travers son baillon. En vain. Le silence de la forêt lui répondait et les cordes, loin de se distendre, se resserraient sous ses efforts.

Il se calma et resta prostré un instant. Ses brûlures se calmaient et il sentait le contact de l'écorce contre la peau de ses fesses et de son dos : c'était frais et légèrement rugueux à la fois et Frédéric, sensuellement se colla à l'arbre : il sentait l'excitation monter au grand galop. Soudain il crut entendre un bruit de pas. Quelqu'un approchait. Frédéric se raidit, hésitant entre le désir de voir arriver un sauveteur et la crainte de l'inconnu. Il n'osait pas appeler mais en même temps sa queue restait dressée au-dessus de ses couilles.

Il vit bouger les buissons, le feuillage s'écarta et un des deux chasseurs apparut. Frédéric, saisi, se raidit dans ses liens. Le mec s'avança sourire aux lèvres puis s'arrêta, contemplant Frédéric dont l'érection ne diminuait en rien : "Tu es pas mal ; je ne regrette pas d'être revenu ; ça a l'air de te plaire, non ?". Frédéric serrait les dents pour ne pas bander mais en vain ; sa position, ses liens, son pantalon baissé et ce mec qui regardait d'un air narquois, tout cela produisait un effet qu'il ne pouvait contrôler. Bien plus, la honte et l'humiliation de bander ainsi devant le chasseur accroissaient son excitation.

Calmement le chasseur posa son fusil, puis sa veste et entrepris de défaire sa chemise. Son torse de paysan, habitué aux travaux des champs apparut, musclé, hâlé et abondamment poilu. Il s'approcha du jeune homme lié à l'arbre, il baissa lentement son slip et vint se coller contre lui. Frédéric se raidit mais le contact de la poitrine du chasseur sur sa poitrine le fit frissonner ; sa cuisse sentit à travers l'épaisse toile du pantalon de chasse une bosse de chair ; deux mains solides empoignaient ses fesses et les palpaient vigoureusement. Frédéric laissa échapper un gémissement mais c'était de plaisir ; perdant tout contrôle, il se laissa aller et se mit à se tortiller sous les grosses mains. Il sentait le souffle du chasseur dans son cou : "Ah ! salope, tu aimes.. Tu vas voir" Soudain une douleur traversa ses couilles : la main du chasseur les emprisonnait et les tordait violemment ; le plaisir se transforma en souffrance et Frédéric poussa un cri. "Vas-y, gueule : on est tout seuls!" Le chasseur arracha le baillon La main continuait à s'acharner sur les couilles ; tout son bas ventre semblait endolori et il gueulait sans retenue, tandis que l'autre souriait de plaisir.

Tout à coup la main lâcha les couilles et le chasseur se recula un moment pour contempler sa victime encore haletante. Frédéric reprenait peu à peu ses esprits : il s'aperçut avec confusion que la douleur ne l'avait pas fait débander. L'autre s'approcha de nouveau et tendit sa main vers le bas ventre de son prisonnier. Celui-ci dans un geste instinctif se colla contre l'arbre, tendu par la peur. Mais la main saisit sa queue et commença à la masturber. En dépit de sa tension, Frédéric se laissait gagner par le plaisir : un frisson parcourait son sexe et se propageait tout le long de son corps. Les liens qui l'enserraient blessaient ses poignets mais il ne sentait plus que sa queue sous la main de l'homme. Soudain celui-ci glissa son autre main entre l'écorce et les fesses du jeune homme ; un gros doigt s'immisça entre les fesses. Frédéric tenta de se débattre mais l'autre, arrêtant sa masturbation, le maintint solidement par sa queue. Frédéric grimaça lorqu'il sentit le doigt forcer sa rosette puis se laissa aller à la sensation. La masturbation reprit. Sous les doigts de l'homme la queue du prisonnier se raidissait de plus en plus, le gland rougissait tandis que le doigt fouillait son cul au même rythme. Frédéric sentit qu'il était au bord de la jouissance ; se laissant aller, il renversa la tête. Soudain il poussa un hurlement : la main qui le masturbait venait de frapper violemment ses couilles ; Frédéric suffoqué par la douleur se tordait dans ses liens tandis que le chasseur le contemplait en se masturbant à travers son pantalon de chasse.

Puis il sortit son couteau et tailla de nouveau une branche flexible. Il s'approcha, la brandit et l'abattit sur les jambes du jeune homme. Sous le coup, celui-ci poussa un cri en essayant de bouger la jambe. "Ouais, salope, danse" Les coups s'abattirent en sifflant sur les chevilles de Frédéric, sur ses cuisses, ses épaules, sa poitrine... Le malheureux gigotait dans ses liens, se débattant de son mieux pour esquiver les coups. Il essayait de ne pas crier mais de temps à autres, un coup plus cinglant ou mieux ajusté lui arrachait un hurlement. Son corps était marqué de zébrures roses. Le chasseur semblait s'exciter au spectacle de Frédéric et le supplice semblait ne plus devoir finir. Soudain, un coup mal ajusté heurta les couilles et le sexe de Frédéric. Une douleur fulgurante vrilla son corps. Il poussa un grand cri, se pliant sous le coup, souffle coupé, a demi assommé par la souffrance. Cela eut pour effet d'arrêter le chasseur : il resta un instant interdit, regardant avec inquiétude, Frédéric grimaçant et haletant qui reprenait ses esprits.

Frédéric sentit les doigts du chasseur glisser sur son corps : la main se faisait caressante ; tout à coup le chasseur se pencha et ses lèvres se mirent à parcourir la poitrine du jeune homme, délicatement, s'attardant sur les marques roses. Après la douleur, ce contact semblait délicieux à Frédéric qui se reprenait peu à peu. Instruit par les expériences précédentes, il essaya de se tendre pour ne pas se laisser aller et ne pas se faire surprendre. Mais les coups semblaient avoir eu raison de sa résistance et le plaisir était trop fort. La bouche descendait de plus en plus, se portait sur son bas ventre : il sentit le contact du bout de la langue sur ses couilles et frémit. Sa queue se dressa spontanément. Il la sentit engloutie dans la bouche chaude et humide. Le résultat fut d'une rapidité surprenante : sa queue devint rigide et fermant les yeux, Frédéric ne sentit plus que le plaisir qui montait. Le chasseur à genoux semblait prendre plaisir à la fellation de son prisonnier.

"Je vais jouir" gémit Frédéric. Le chasseur n'eut que le temps de retirer sa bouche. Frédéric poussa un grand cri de plaisir. Le sperme jaillit à grands traits, aspergeant la chemise et le visage du chasseur tandis que le jeune homme était secoué de spasmes. Le chasseur avait sorti sa queue raidie. Frédéric reprenant ses esprits le vit se masturber vigoureusement les yeux fermés. Il gémit à son tour et le sperme gicla. Le chasseur devant lui haletait à genoux.

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