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punition

 

Lorsque je suis sorti de l'appartement du maître pour retourner à ma voiture, mes fesses en feu, j'éprouvais un mélange de sensations intenses, douleur, humiliation, excitation; j'étais incapable de reconstituer le détail de la séance mais tout se mêlait dans le sentiment d'une punition sévère qui avait bouleversé mon corps et mon esprit.

Une heure plus tôt je montais à pieds (pour suivre ses instructions) les étages de son immeuble. La porte de son appartement était ouverte. A peine fus-je entré, yeux baissés qu'il m'ordonna "A poils!". Je quittais tous mes vêtement sur place et , nu, les yeux toujours baissés , je demandais la permission d'aller aux toilettes pour satisfaire mes besoins et aussi mettre le plug qu'il m'avait ordonné d'apporter. "Mets ça d'abord", me dit-il en désignant un collier et des bracelets de cuir que je n'avais pas vu; j'obéis fébrilement et maladroitement. Puis ainsi harnaché avec cet équipement qui me faisait encore plus sentir son esclave j'allais dans les WC. Je n'eus pas de mal à faire entrer le plug après avoir bien lubrifié mon cul: j'étais trop excité. Lorsque je sortis ainsi mon maître téléphonait; il me fit signe d'attendre, ce que je fis, toujours tête baissée, queue bandée en dépit de ma crainte : je savais qu'une punition sévère et méritée m'attendait.

Quand il eut fini il m'ordonna de venir à genoux au centre de la pièce après m'avoir mis des pinces à seins. Je vis qu'il avait mis un grand plastique sur le sol avec au dessus non seulement le chevalet de punition habituel mais un banc de gym. J'aperçus aussi une caméra numérique sur un pied. Je compris qu'il avait soigneusement préparé cette séance et que j'allais déguster. Le Maître m'ordonna de tendre le cul et de baisser ma tête. De la sorte mon plug était bien visible. Il le manipula un instant puis me fit baiser ses chaussures et enfin je sentis qu'il manipulait mes couilles; il prit une ficelle et m'ordonna de me lever et me mettre jambes écartées devant le chevalet de punition; il commença à enrouler la ficelle à la base de mes couilles: celle-ci était fine et longue: il enroulait longuement et soigneusement, je ne sais combien de tours; je sentais mon paquet tiré vers le bas, distendu; peu à peu la douleur se transmettait à mon bas ventre. Il finit par un nœud et me fit pencher sur le banc; il enchaîna mes membres aux quatre pieds du chevalet. La position était inconfortable, mon cul était offert, prêt pour la raclée; et en même temps exposé à la vue. Il enleva cependant mes pinces qui, pressées entre mon corps et le chevalet, devenaient difficiles à supporter. Je tremblais un peu mais j'avais confiance dans mon maître sachant qu'il saurait ne pas aller trop loin; et ce mélange de crainte, d'humiliation et de confiance me faisait bander. J'eus l'impression qu'il mettait sa caméra en marche.

Après une ou deux claques sur le cul il prit son martinet et l'abattit d'abord sur mon dos puis il m'ordonna de compter et commença à me claquer les fesses. J'obéis: "un, deux.." mais il me fit remarquer mon impolitesse et me dit qu'il allait recommencer. Je compris la leçon "un, maître…". Les coups s'abattirent avec force, mon cul chauffait, peu à peu je me mis à tressaillir et implorer. "Je ne veux rien entendre!". Je serrais les dents; . Je comptais jusqu'à trente coups. Il s'arrêta; mon corps se détendit un peu; je sentais mes fesses brûler. Une caresse effleura mon dos pour m'encourager avant que le maître ne m'annonce que mon comportement me valait une punition sévère et que j'aurais droit à la cane. Je frémis et essayais de plaider; en vain.
Le maître se plaça derrière moi et il fit vibrer la cane; je contractai mes muscles. Le premier coup s'abattit; j'avais beau m'y attendre la brûlure irradia mes fesses. Le maître me donna ainsi 6 coups d'affilée, prenant soin de bien viser. C'était comme si je voyais les zébrures sur mes fesses. Lorsqu'il cessa je repris mon souffle tandis que la brûlure persistait en s'atténuant peu à peu. Mais j'avais commis une faute que le maître me fit remarquer: je ne l'avais pas remercié. "trois coup de plus!". Cette annonce me désespéra; j'avais l'impression que je ne pourrais pas supporter plus. Pourtant je compris qu'il n'y avait rien à faire. Quand le premier coup tomba j'eus le sentiment qu'il faisait encore plus mal que les 6 précédents; je crois que le jeu sur l'interruption et l'espoir qui m'avait été donné visait précisément à obtenir cet effet. Il en fut de même pour les deux autres; j'avais le sentiment que mes fesses étaient déchirées. Quel soulagement quand au troisième coup je pus crier "merci, maître", les yeux au bord des larmes. Le maître prit apparemment des photos pendant que je me détendais puis il me détacha et me fit me redresser; mes muscles furent d'autant plus soulagés que mon dos était douloureux.

Il me fit aller sur le banc et me mettre à plat ventre, jambes écartées, mains entravées sur le devant. La position n'était pas facile à tenir car j'avais mal au dos; je m'efforçais cependant d'obéir. Il tira sur la ficelle de mes couilles; je compris ensuite qu'il l'attachait à un crochet suspendu au plafond. Je me trouvais ainsi pendu par les couilles obligé de cambrer mon dos pour soulever mon cul; mon dos me faisait très mal; le maître prit des photos puis eut pitié de moi et me libéra.

Je me redressai, soulagé, reprenant un peu mon souffle mais le maître immédiatement me fit pencher et écarter les jambes et il défit la ficelle; il tira pour la dérouler rapidement; j'eus l'impression que mes couilles devenaient une sorte de toupie; la douleur irradiait mon bas ventre; heureusement ce fut très rapide et je pus ensuite savourer le soulagement de mes couilles qui reprenaient leur place. Ce fut de courte durée, je reçus l'ordre de m'allonger sur le dos sur le sol plastifié; je compris tout de suite le but; j'allais avoir droit à la cire chaude; cette perspective m'excita et me fit peur à la fois; je vis que la caméra avait été déplacée et l'idée que j'allais être filmé ajouta à mon humiliation et à mon excitation. Le maître jeta une cagoule de cuir sur mon visage pour le masquer, puis attacha mes chevilles à une barre qui les tenait écartées, laissant ainsi mes couilles et ma queue largement exposées. J'attendis un instant puis je sentis sur mon bas ventre une rapide brûlure, je sursautais; les gouttes continuaient à tomber sur mes couilles, mon pubis, l'intérieur de mes cuisses, provoquant des tressaillements incontrôlables, plus ou moins vifs selon l'endroit où ça tombait; je m'efforçais de me tenir mais n'y parvenais pas toujours, provoquant la colère de mon maître qui saisit la barre pour soulever mes jambes et à la fois m'immobiliser et mieux viser; je l'imaginais jouissant du plaisir de me voir me tortiller et ,en dépit de la douleur, cette idée m'excitait. Puis il passa à ma poitrine , visant mes seins qui se recouvrirent assez vite d'une couche de cire chaude. J'avais l'impression qu'il n'en finirait jamais, je sentais de la cire partout quand il arrêta. Mais là encore le soulagement fut momentané. Il m'ordonna de me mettre à plat ventre. J'obtempérai tant bien que mal vu la barre. Lorsque mon maître m'enleva le plug je compris que ce n'était peut-être pas pour me soulager mais pour avoir un meilleur accès à mon cul. Et de fait il me fit plier les jambes et avec une ficelle il rattacha la barre qui les écartait à mon collier; m'obligeant à rester ainsi, genoux pliés, pieds levés, cuisses bien écartées et cul ouvert. Très vite les gouttes chaudes recommencèrent à tomber, d'abord sur mes fesses, puis la raie de mon cul puis mon dos? Dès que je sursautais mes jambes tiraient sur mon collier, m'obligeant en fait à me tenir tranquille; j'essayais de résister et de contenir mes gémissements; j'avais l'impression qu'une carapace de cire se formait au creux de mes reins, tirant sur mes poils; pourtant le supplice continuait pour le plus grand plaisir de mon maître. Soudain il changea de cible; je sentis une vive douleur sur la plante de mes pieds : les gouttes tombaient sur la peau sensible; je ne pouvais rien y faire , immobilisé comme je l'étais.

Enfin le maître arrêta; je me détendis soulagé mais je n'en avais pas fini; le martinet s'abattit sur la plante de mes pieds, les cinglant violemment; j'avais le sentiment d'une brûlure qui les irradiait et là encore impossible d'y échapper; en même temps cette flagellation de ma plante des pieds avait quelque chose de bandant, je ne sais pourquoi. Je soufflai lorsque cela cessa; mes pieds furent rapidement soulagés mais alors le martinet cingla mes épaules : une dizaine de coups assénés avec force que je comptais tandis que la douleur se faisait de plus en plus vive. Décidément le maître avait voulu me punir et j'avais dégusté!

Il me libéra enfin; je passais un moment debout à faire tomber une partie de la cire accrochée à mes poils, tandis qu'il rangeait son matériel; il eut recours à moi, toujours nu pour décrocher une chaîne pendant au plafond et où vraisemblablement il avait relié mes couilles.

Je retournais dans l'entrée et commençais à me rhabiller lorsqu'il sortit un aspirateur, me disant que je devais le passer, nu. Une dernière humiliation bien méritée; je passai donc soigneusement l'aspirateur, tête baissée, les fesses chaudes, pendant qu'il prenait des photos. Lorsqu'il jugea que mon travail avait été fait convenablement il m'autorisa à me rhabiller. Avant de partir il me fit embrasser ses chaussures et sa main, ce que je fis avidement en signe de reconnaissance pour ce qu'il venait de me faire subir.

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