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strip poker

 

 

Il était environ 14 heures quand j'arrivais chez lui. Un petit appartement mansardé‚. Des poutres de bois apparent, une mezzanine où l'on accédait par un escalier de bois tournant. Bertrand m'attendait, botté‚ vêtu de jean's. Il avait la cinquantaine, plus petit que moi, bien conservé. Comme convenu, je n'étais vêtu que d'un jean's élimé, d'une chemise et d'un blouson. Rien en dessous. Lui non plus ne devait rien avoir.

Il me désigna une table basse où était un jeu de carte. La règle était simple : tirer chacun trois cartes ; le total le plus faible avait perdu et devait soit quitter un vêtement soit avoir un gage. J'avais grande envie de perdre.

Nous commençâmes et les deux premiers coups je gagnais : il perdit sa chemise et dut se mettre un collier de cuir. Je maudissais ma chance. Tout à coup elle tourna : je ne tirais plus que de petites cartes. En un rien de temps je me retrouvais avec mon seul pantalon, un collier de cuir autour du cou. Je bandais sous mon jean's à l'idée de me trouver bientôt à poil. Je perdis encore.

Mais, surprise, mon partenaire, devinant mon envie, décida de retarder le moment. Il m'enchaîna les pieds par-dessus mon pantalon à l'aide de solides menottes reliées par une courte chaîne. Je dus faire ainsi le tour de la pièce. La sensation d'avoir les fers aux pieds ‚tait réellement bandante. Nous jouâmes un autre coup et je perdis de nouveau. Cette fois mon jean's se retrouva sur mes chevilles, sans que je puisse l'enlever à cause de mes fers. Et Bertrand serra autour de mes couilles un lacet de cuir auquel pendait un mousqueton. J'attendais avec impatience de perdre encore lorsque je tirai un as ! Déçu, je fis baisser son jean's à Bertrand et lui passai un cockring avant de lui faire remonter son pantalon.

Mais je me remis à perdre sans discontinuer.

En quelques coups je me retrouvais dans une position délicate : mes couilles étaient rattachées à mes chevilles par une courte chaîne qui m'empêchait de rester debout ; mes poignets ‚étaient liés dans le dos par des menottes de cuir, elles aussi rattachées à mes couilles. J'étais lié, littéralement tenu par les couilles et ma queue terriblement band‚e ‚tait la proie des mains de Bertrand. Il me proposa enfin un dernier coup : je devais tirer mes cartes ainsi attaché ; si je gagnais, j'étais libre, sinon j'étais à sa disposition aussi longtemps qu'il voudrait.

Tant bien que mal, me tortillant dans mes entraves, tirant sur mes couilles, je réussis à tirer une carte sur la table : un 10. Il tira un 8. Je commençais à désespérer. Mais dès le second coup il tira un Roi et moi un 3. Puis encore une Dame et moi un 6.

Il réfléchit un instant en m'observant puis délia mes poignets et me fit accroupir. Me tenant par le collier il me fit faire ainsi le tour de la pièce et me conduisit au pied de l'escalier. Là il m'ordonna de m'asseoir contre le pilier de bois qui le soutenait. J'obéis sans discuter. Il saisit mes mains et les entrava derrière le pilier à l'aide des menottes. Il enleva la chaîne qui reliait mes couilles à mes chevilles et la remplaça par une autre longue d'une dizaine de centimètres environ : mes chevilles ‚étaient ainsi maintenues tout près de mes fesses, mes genoux proches de mon menton.

C'est alors qu'il me passa la muselière. C'était une muselière en latex qui enserrait mon visage et comportait un baillon muni d'une excroissance en caoutchouc, comme une courte queue qui s'enfonçait entre mes mâchoires. Je n'en avais jamais port‚ et je dois dire que l'effet fut super. Au début, j'eus un peu l'impression d'étouffer mais je m'habituais assez vite. Je ne pouvais plus articuler, seulement ‚mettre des gémissements. Il compléta son œuvre en attachant aussi mon collier au pilier, ce qui me contraignait à rester le buste droit. Il me contempla satisfait. J'étais complètement immobilisé bâillonné, incapable du moindre geste, pouvant au mieux me tortiller dans mes liens et gémir ; le baillon me faisait saliver et la salive coulait sur mon menton sans que je puisse rien faire. Je trouvais cette position particulièrement humiliante et ma queue band‚e touchait mes chevilles. Il alluma une pipe et me laissa là un moment, affectant de vaquer à ses occupations.

De temps à autre, il venait pour me tourmenter un peu. Tantôt il me palpait les couilles ou tirait sur la chaîne qui les reliait à mes chevilles, me contraignant à soulever mes talons, tantôt il me renfonçait mon baillon, tantôt il manipulait ma queue avec fermeté‚. Je gémissais à chaque fois, ce qui semblait lui plaire énormément. La position n'était pas très confortable ; les angles du pilier me faisaient un peu mal aux bras mais j'étais si excité que je le sentais à peine. Plusieurs fois je fus sur le point de jouir mais, en expert, il s'arrêta à chaque fois au dernier moment, laissant la frustration s'ajouter à l'humiliation.

A un moment donné‚ je le vis accrocher une chaîne à un crochet fixé à une poutre au plafond. La chaîne descendait jusqu'à 30 cm du sol environ. Il me d‚tacha du pilier, d‚fit la chaîne qui liait mes chevilles et mes couilles. Je me levais et il me laissa un instant remuer mes membres ; puis il me plaça devant la chaîne : saisissant mes poignets il attacha les menottes dans mon dos puis tira mes bras vers le haut et les attacha à la chaîne. J'étais penché en avant, les bras tirés vers le haut, suspendu à cette chaîne, cul offert. Il me claqua les fesses puis me laissa un moment. Il revint avec une autre chaîne assez courte. Il en fixa une extrémité aux fers qui enserraient mes chevilles, puis me tirant par les couilles, il me contraignit, gémissant dans mon baillon, à fléchir un peu les genoux et attacha la chaîne au lacet qui enserrait mes couilles. Il fit de même avec l'extrémité de la chaîne à laquelle j'étais suspendu. Je restais ainsi jambes fléchies, couilles tirées, penché‚ en avant un peu comme un plongeur, bras tendus en arrière tir‚s vers le haut. Mon cul était cambré‚ et je sentais entre mes fesses le contact de la chaîne froide. Il m'avait laissé mon jean's baissé sur mes chevilles, signe tangible et excitant de ma mise à nu. Ma queue pointait vers le haut. De nouveau il recommença son manège, m'abandonnant par moments, puis venant me titiller les seins ou me manipuler la queue et les couilles. Je me tordais en gémissant, sans nul doute plus de plaisir que de douleur. Et à chaque fois il s'arrêtait au bon moment !

Finalement il m'ôta ma muselière : "Ta liberté‚ contre dix coups de martinet" J'acceptais le marcha‚. Il s'approcha un martinet à la main, tourna autour de moi, passant les lanières sur mes fesses et entre mes cuisses frémissantes. J'étais tendu dans l'attente. Soudain le martinet cingla mes fesses : le coup n'était pas brutal mais bien appliqué. Je poussais un cri. Il rit "Tu cries déjà ? Ce n'était pas un coup mais une caresse. On recommence : compte et dis merci" Le martinet s'abattit de nouveau : "Aie, un !" Merci maître". Les lanières cinglaient mes fesses à intervalles réguliers : il prenait un malin plaisir à me faire attendre, jouissant de ma tension, de mes réactions et je dois dire que le plaisir était aussi pour moi. Je comptais les coups. Au septième, il prétendit que je m'étais trompé: "Tant pis pour toi on recommence". Les coups reprirent et je dus me remettre à compter. Il était plutôt adroit : les coups ‚étaient assénés assez fort pour me faire chauffer les fesses mais avec assez de mesure pour que le supplice soit supportable et même jouissant. Aussi lorsqu'il arriva à 8 je me trompais encore et il recommença. A ce petit jeu c'est bien une trentaine de coups que je pris sur mes fesses : à la fin elles étaient vraiment chaudes et j'imaginais leur rougeur mais j'étais excité comme rarement. Il me détacha. J'étais presque déçu.

Mais ce n'était qu'une fausse libération. Il me saisit de nouveau les poignets et les attacha dans mon dos. Puis il remonta mon jean's : "Monte". Je pris l'escalier devant lui et me retrouvais dans une mezzanine avec un plafond en pente orné‚ de poutres de bois. Il monta sur un tabouret et accrocha à deux anneaux fichés dans la plus haute poutre une chaîne : celle-ci formait un arc de cercle. Il me plaça sous la chaîne et détacha mes poignets : "Lève les bras!". Le bout de mes doigts touchait à peine la chaîne. Il saisit mon poignet droit :"Sur la pointe des pieds". Je me hissai et il accrocha mon bracelet de cuir aussi haut que possible. Il passa de l'autre côté et fit de même. Je me retrouvais attaché‚ bras écartés en l'air. Il y avait un grand miroir et je pouvais me voir dans cette situation. Il dégrafa mon pantalon : mon jean's commenta à glisser. Je me regardais dans la glace tandis que ma queue libérée jaillissait et que mes fesses apparaissaient encore rougies. Bertrand revint avec une corde. Il attacha ma cheville droite, passa l'extrémité de la corde au pied d'un lit qui se trouvait là et tirant me contraignit à écarter mes jambes au maximum. Il fit de même avec l'autre cheville. J'étais ainsi bras et jambes écartés, contraint de me tenir sur la pointe des pieds : en fait mes pieds, dans cette position, me soutenaient à peine : le poids de mon corps reposait sur mes bras qui tiraient terriblement. Je n'aurais pas pu tenir longtemps cette position. Mais chaque regard dans la glace me faisait oublier la douleur tant l'excitation était grande et il ne laissa pas durer le supplice trop longtemps. Prenant une ceinture, il lia ma queue contre mon ventre, me claqua les fesses puis commença à me branler. Cette fois il alla jusqu'au bout : je dois dire qu'il n'eut pas à forcer beaucoup. Un frisson parcourut tout mon corps et se concentra dans mon sexe; je fermais les yeux, renversant la tête, et un liquide chaud gicla à grandes secousses sur mon ventre. Je repris mes esprits ; j'étais comme vidé‚ et je sentais à pré‚sent la douleur dans mes poignets. Il me délivra rapidement. Je m'étendis un instant sur le sol.

Il me fallut quelques minutes pour récupérer du plaisir que j'avais ressenti. Il me jeta mes vêtements en tas. Je me rhabille rapidement après m'être sommairement essuyé et je partis sans mot dire.


 


 

 

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