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prisonnier (version complète)

 

 

Lorsque le sergent Franck Martinet comprit qu'il avait perdu sa section il était trop tard. Envoyé en éclaireur derrière les lignes des rebelles, il avait entendu dans son dos une fusillade et avait dû avancer. A présent il était largement enfoncé en territoire rebelle, loin de sa base. Il n'avait plus qu'à essayer de se cacher et attendre la nuit pour revenir en arrière. Il décida de s'accroupir dans un épais buisson. Il n'entendit pas le groupe de jeunes noirs armés qui l'avait repéré depuis un bon moment et se glissait silencieusement derrière lui.

Soudain il sentit le contact d'un canon dans son dos suivi immédiatement de hurlements : "Ne bouge pas , salaud!" "On l'a eu! Il est à nous!". Il lâcha son arme et leva les bras. Rien à faire. La sueur coulait à grosses gouttes sous son casque. " A plat ventre! Jambes écartées" Un coup de crosse ponctua l'ordre. Il se laissa tomber sur le sol écartant les bras et les jambes; sa seule pensée: ne rien faire qui leur donne un prétexte à tirer. On lui ôta son casque et il sentit un canon sur sa nuque. Il resta totalement immobile pendant que des mains palpaient tout son corps, ôtaient son ceinturon, fouillaient ses poches pour en retirer tout leur contenu. Peut-être se contenteraient-ils de le dépouiller. Ils discutaient vivement dans leur langue. Soudain ses ravisseurs lui enlevèrent sa veste de treillis. Vu la chaleur il ne portait rien dessous et il se retrouva torse nu sur le sol tandis que celui qui le tenait en joue appuyait son pied sur sa nuque. On lui retira ses rangers et ses chaussettes; il n'avait plus que le short camouflé de sa tenue de brousse. On lui prit les mains et on les croisa dans son dos; il comprit qu'il ne s'en tirerait pas ainsi et il sentit qu'une corde lui attachait solidement les poignets dans le dos. Le pied qui maintenait sa nuque se releva; il put redresser un peu la tête: un coup dans les côtes le fit sursauter: "Debout!". Il se releva tant bien que mal pour se retrouver devant quatre jeunes noirs, vêtus d'uniformes dépenaillés et armés de kalachnikov; l'un avait revêtu sa veste, un autre ses rangers et le troisième tenait son casque. Il se sentait humilié d'être ainsi à leur merci, debout, mains liées, son corps offert à leurs regards, protégé - pour combien de temps?- par son seul short d'uniforme. En même temps il se demandait ce qui allait lui arriver. Celui qui semblait le chef commença à l'interroger "Qui es-tu? Que faisais tu ici? Tu nous espionnais?" "Je suis le sergent Martinet, du 3eme régiment d'infanterie...Je ne répondrai pas à vos questions… Vous n'avez pas le droit.." Une gifle l'interrompit : "Tu es prisonnier ici; tu n'es plus rien et on saura te faire parler." Franck serra les dents sous le coup. Le chef fit un signe; un des jeunes défit un bandana qu'il avait autour du cou et lui banda les yeux avec. Il sentit qu'on lui passait une corde au cou avec un nœud coulant qui se resserra sur sa gorge; un traction sur la corde lui indiqua qu'il devait avancer. Il obtempéra.

La marche dura une bonne demi heure; pas facile d'avancer ainsi, yeux bandés, mains liées, les pieds nus sur un chemin boueux; il trébuchait régulièrement, hésitant dans sa marche; parfois un de ses accompagnateurs le prenait par un coude pour le guider; le plus souvent toute hésitation lui valait une traction sur la corde ou un coup sur le dos avec une branche flexible que l'un deux avait dû couper sur le chemin. Il serrait les dents mais ne pouvait parfois s'empêcher de pousser un cri pour la plus grande joie de ses gardiens.

Tout à coup il entendit des voix; ils arrivaient dans un village ou un camp; des gens accouraient avec des cris de joie; il essaya de se redresser pour ne pas leur donner l'impression d'avoir peur mais ses gardes le fustigèrent avec une force redoublée sous les cris des spectateurs. Il sentit qu'il passait au milieu de dizaines d'hommes et de jeunes en liesse, certains le touchaient, d'autres le bousculaient; il tomba dans la boue ; la corde a son cou fut tirée violemment et il parvint à se relever sous les huées.

Il sentit que la corde à son cou était accrochée à quelque chose, une branche d'arbre ou une poulie et tirée vers le haut; son cou était serré; il dut se hisser sur la pointe des pieds. La traction s'arréta et le silence se fit; quelqu'un s'approcha de son corps immobile et tendu; il sentit que l'on défaisait sa ceinture et les boutons de son short qui tomba sur ses chevilles; il resta là , incapable d'esquisser le moindre geste, revêtu de son seul slip blanc; autour de lui il commença à entendre les rires se lever; une voix cria: " A poils , le blanc!" et horrifié il sentit un main se glisser sous l'élastique de son slip et le baisser d'un geste brusque révélant à tous ses fesses blanches, son sexe et ses couilles; la foule applaudit en riant.

Il resta ainsi de longues minutes exposé aux regards. Soudain il entendit une voix dire "Regardez sa queue" et il prit conscience avec horreur qu'il commençait à bander! La foule sembla secouée de ricanements. La honte le gagnait; son visage devait être rouge.

La corde qui tirait son cou fut enfin défaite et il put reprendre un peu son équilibre. Des mains lui saisirent les bras; une autre délia ses poignets pendant qu'on le maintenait solidement; il eut à peine le temps de détendre ses muscles qu'on ramena ses mains sur le devant pour les attacher avec une corde de chanvre épaisse; ses bras furent tirés vers le haut; il sentit une forte traction; ses muscles se bandèrent douloureusement; il se souleva sur la pointe des pieds; en vain car il sentit que la traction continuait et il se retrouva suspendu, ses orteils effleuraient à peine le sol. Son bandeau avait commencé à glisser sous l'effet de la transpiration; personne n'avait songé à le remonter et ces derniers mouvements le firent glisser complètement; il put se rendre compte qu'il était au milieu d'un village, suspendu à une branche d'un gros arbre. Des dizaines de soldats rebelles l'entouraient; quelques uns très jeunes, avec quelques femmes en treillis mais aussi des villageois. Un jeune soldat s'approcha; il devait avoir dix huit ans; il était nu pieds et portait une paire de rangers suspendus à son cou par des lacets attachés ensemble. Il saisit les couilles de Franck et les attacha solidement avec un lacet de cuir et y suspendit les chaussures qu'il avait au cou; le jeune sergent eut le sentiment que ses couilles allaient être arrachées; il serra les dents mais grimaça de douleur pendant que le soldat en riant se mit à le masturber. Franck ne pouvait résister; ses couilles étaient douloureuses, la masturbation faisait balancer les deux lourds rangers qui y pendaient et en même temps il sentait sa queue durcir. Le jeune soldat arrêta quand la queue dure comme du bois allait éjaculer; elle était tendue , droite, visible de tous; la foule applaudit encore lorsqu'il donna une poussée à Franck qui le fit se balancer; le poids de son corps tirait sur ses bras musclés et ses couilles étaient tirées vers le bas. Tout à coup il entendit le sifflement d'une lanière et une douleur vive irradia le bas de ses reins. "UN!" cria en chœur la foule. Il sentit une autre douleur sur ses cuisses : "DEUX!"…En tournant légèrement la tête il peut voir derrière lui deux soldats armés de lanières de cuir. L'un leva le bras et abattit sa lanière sur le bas du dos tandis que la foule continuait à compter. Les bourreaux prenaient leur temps, ajustant chaque coup, dégustant le plaisir de voir Franck serrer les dents et grimacer pour ne pas crier. Lorsque le compte arriva à vingt le supplice sembla s'arrêter. La foule commença à se disperser; laissant Franck pendu, pantelant, les bras et les couilles douloureux, les fesses et les cuisses marquées par les zébrures de la flagellation. Au bout d'un moment la corde fut coupée et le jeune sergent s'écroula sur le sol, s'efforçant tant bien que mal de reprendre ses esprits; on lui versa un seau d'eau sur la tête et le jeune soldat récupéra ses rangers non sans l'avoir de nouveau masturbé.

Un soldat lui passa une grosse chaîne autour du cou qu'il fixa avec un cadenas et tirant par cette chaîne il le fit se lever; instinctivement Franck porta ses mains sur son bas ventre pour cacher sa nudité; un coup de lanière cingla son bas ventre; il se tordit de douleur tandis que le soldat lui intimait l'ordre de mettre ses mains sur la nuque. Le jeune sergent reprit son souffle et obéit; tiré par la chaîne, mains sur la nuque, sa nudité exposée à tous, le dos et les fesses cuisants de sa flagellation, il dut traverser le village au milieu des soldats, des civils, femmes et enfants compris qui le regardaient. Les quatre rebelles qui l'avaient capturé l'accompagnaient joyeusement. Ils arrivèrent devant une case en torchis, recouverte de branchages; la seule ouverture semblait être une porte basse, fermée par une grille; deux soldats en arme la gardaient; il ouvrirent la grille à son arrivée, le firent mettre à quatre pattes et le forcèrent à entrer ainsi. Tout à son humiliation Franck perçut d'abord une odeur âcre d'urine et de sueur; dans la pénombre il distingua ensuite quelques corps. Un soldat alluma une lampe et le prisonnier put mieux voir : trois noirs de son âge étaient là prisonniers comme lui; l'un était totalement nu, assis sur le sol, mains liées ou enchaînées dans le dos; à son cou un gros collier de métal d'où partait une courte chaîne qui le reliait à des fers fixés à ses chevilles. Un autre portait un slip souillé; son cou et ses poignets étaient enserrés dans un carcan de bois fermé par un cadenas et une chaîne le reliait à un anneau fixé au pied du poteau central qui soutenait le toit, le troisième vêtu d'un simple pagne avait au cou une chaîne comme Franck, reliée au même anneau; une barre de bois passait dans son dos et ses coudes y étaient attachés; apparemment on avait choisi de les entraver ainsi pour qu'il soient obligés de rester accroupis ou attachés proches du sol; sous eux on voyait de tâches humides, sueur ou urine? Vraisemblablement ils n'avaient pas dû pouvoir beaucoup bouger; étaient-ils là depuis longtemps? Franck n'eut pas le temps de s'interroger on le fit asseoir à côté du mec nu; on lui lia les poignets dans le dos et on fixa la chaîne à l'anneau sur le poteau; enfin on lui fixa des fers aux pieds reliés par une grosse chaîne d'une vingtaine de centimètres; la lumière s'éteignit; la grille se referma…

Franck sentait le contact du corps nu à côté de lui; la chaleur était lourde il se mit à transpirer; son voisin l'interrogea à voix basse : « Qui êtes-vous? Que faites-vous ici? ». Franck se présenta et raconta brièvement son histoire et l'interrogea à son tour : « Je suis le capitaine Antoine Bouabé , de l'armée régulière; j'ai été capturé il y a deux jours avec mes deux hommes. Ils m'ont dit qu'ils voulaient m'échanger ou demander une rançon; en attendant ils s'amusent avec nous; ils nous montrent aux villageois et nous torturent ».. Franck frémit. « Vous êtes dans cette cabane depuis longtemps? » «Le capitaine lui expliqua qu'ils y étaient depuis environ 24 heures, attachés en permanence; on leur donnait juste un peu d'eau et une bouillie de maïs.. Un des soldats précisa qu'on les faisait sortir de temps à autre pour faire leurs besoins près de la cabane. Soudain un garde fit irruption « Qui parle ici? Vous complotez pour vous évader? » Le garde abattit la badine qu'il tenait à la main sur le dos des prisonniers, tapant au hasard; Franck serra les dents mais les autres se mirent à pousser des cris : « Vos gueules, salauds! Sinon c'est le fouet. J'en ai marre de vous; je vais vous baillonner... ». Il sortit et revint avec un aide qui portait un petit sac . Il s'approcha du capitaine « Ouvre la bouche ». Franck vit dans la pénombre qu'il lui fourrait une boule de tissus dans la bouche puis qu'il nouait par dessus un foulard. Puis vint son tour; une claque pour lui faire ouvrir la bouche : on lui passa entre les dents un morceau de bois rond qu'on fixa derrière sa nuque avec des ficelles; on lui banda les yeux; il ne put entendre que les claques et les gémissements étouffés de ses compagnons. Puis le garde sortit. Franck essaya de demander à ses compagnons si tout allait bien mais il ne pouvait rien articuler...Et il n'eut comme réponse que des grognements. Son voisin se rapprocha et serra son corps contre lui, comme pour le rassurer et lui faire comprendre que ça allait; Franck répondit en se serrant aussi et en grognant dans son bâillon qui commençait à lui tirer sur les mâ

choires et à la faire saliver. Mais il s'aperçut qu'il avait besoin de ce contact et surtout qu'il se mettait à bander, comme lorsqu'au casernement il faisait l'amour avec son camarade de chambre.

Les deux hommes restèrent appuyés l'un contre l'autre; Franck , les yeux bandés, avait perdu la notion du temps; de temps à autre il s'assoupissait puis se réveillait en sursaut, sentant la capitaine prostré contre lui; par moments il essayait de bouger un peu pour lutter contre les crampes; la salive coulait sur sa mâchoire douloureuse. Il s'était de nouveau assoupi quand une bourrade le réveilla. « Réveillez vous, chiens! C'est l'heure de votre gamelle ». On lui arracha son bandeau et on défit ses chaînes pour l'entraîner à l'extérieur. Il faisait nuit; on les entraina derrière la cabane: Quelques flambeaux éclairaient une sorte de clairière. Quatre soldats étaient là, torse nu, armés de leur kalachnikov : de tous jeunes hommes, sans doute 18 ans sinon moins; ils riaient en les voyant arriver nus et entravés. « On vous les laisse; occupez vous d'eux » dit en riant le garde qui les avait fait sortir; et avant de partir il défit les baillons. Franck remua avec soulagement ses mâchoires; il vit que ses compagnons faisaient de même. « Alignez vous, vite! »,cria un des jeunes soldats.

Tant bien que mal les quatre hommes se mirent sur un même ligne; toujours entravés : Franck et le capitaine les mains toujours liées dans le dos et totalement nus, un des soldats, un caporal en fait, avec son carcan, tandis que le dernier avait les bras liés à sa barre. « Vous allez faire un peu d'exercice » dit en riant celui qui semblait commander et un des plus jeunes s'approcha et saisit les couilles de Franck qui commença à bander; il serra jusqu'à le faire grimacer puis il prit une corde qu'il attacha serrée à la base de son sexe et de ses couilles; il tira sur la corde et attacha pareillement les couilles du capitaine puis des autres prisonniers. Tous étaient reliés ensemble. Les jeunes soldats défirent les entraves des autres prisonniers mais laissèrent le blanc et l'officier mains liées dans le dos: « Allez; courez un peu » Avec des cordes il fouettèrent les prisonniers pour les faire avancer; ceux-ci se mirent à courir, essayant de garder le même rythme tandis que les gardes les poursuivaient en criant et en leur flagellant le dos et les cuisses. Ils les firent ainsi tourner en rond dans la clairière, de plus en plus vite, riant et se moquant d'eux.

Soudain le caporal trébucha et tomba; entraÎnant dans sa chute ses compagnons qui durent se jeter à terre pour que la corde n'arrache pas leurs couilles. Les jeunes soldats leur tombèrent dessus à coups de pieds et de badines flexibles : « Debout, vite! ». les deux soldats qui étaient libres se remirent debout assez vite mais entravés qu'ils étaient par la corde qui les reliait aux couilles ils ne purent se lever complètement et , sous les coups, ils aidèrent Franck et la capitaine à se relever; un coup de badine plus fort que les autres cingla les cuisses de Frank tandis qu'il se redressait; il se tordit et poussa un cri qui fit éclater de rire ses tortionnaires. Puis ceux-ci se calmèrent; et coupèrent la corde qui les reliait tout en laissant leurs couilles ficelées; un des jeunes saisit le brin de corde qui pendait des couilles du sergent et l'entraîna comme avec une laisse improvisée. Il l'emmena derrière un buisson. « Profites en pour chier! Fais vite! » Franck secoua la tête : « Je ne peux pas comme ça, tourne toi s'il te plait » « Non je ne dois pas te perdre des yeux, accroupis toi et chie », le jeune le menaça de la crosse de son arme. Franck comprit qu'il ne pouvait pas discuter; les mains toujours liées il s'accroupit de son mieux et fermant les yeux pour oublier son gardien il s'efforça de faire ses besoins. Le garde commenta : « voilà...la prochaine fois tu feras à 4 pattes comme un chien que tu es; ça te change de tes habitudes de petit blanc, non? Nous on chie toujours dans la nature.... ». Une petit flaque d'urine se forma aux pieds de Franck pendant qu'il expulsait ses excréments; puis le garde l'aida à se relever et l'entraîna toujours par la corde. Ses autres compagnons étaient devant un grand baquet d'eau; ils étaient tous détachés et en train de se laver. « Allez, lavez notre invité... » On le fit approcher et ses compagnons se mirent à l'asperger d'eau puis à la frotter. Franck se détendit sous ces caresses involontaires. Son corps endolori semblait renaître. Le capitaine se mit à frotter son bas ventre et ses fesses et instantanément sous la caresse Franck ne put s'empêcher de bander....Impossible de réprimer son érection; et le capitaine semblait en profiter, passant ses mains sur ses couilles et son sexe comme s'il voulait bien le nettoyer. Franck sentait la jouissance monter, d'autant que les deux autres lui frottaient les seins et le dos; il murmura « Stop, pitié; je ne tiens plus ». Le capitaine lui sourit et après une dernière caresse sur son gland arrêta. Un garde cria: « Ca suffit; venez ici! ». Les autres prisonniers s'écartèrent pour aller vers le groupe des gardes; Franck se retrouva seul, mains liées dans le dos avec une érection impossible à cacher; instinctivement il essaya de tourner le dos à ses gardiens mais un de jeunes vint vers lui: « Toi, arrive ici sinon gare ». Soudain il s'aperçut de l'état du sergent et éclata de rire : « Regardez ; il bande... comme un âne; salaud de blanc, c'est un pédé! » Et il prit Franck par la queue, l'amenant à ses camarades et le faisant défiler ainsi devant les gardes et les autres prisonniers; ces derniers baissaient la tête tandis que les garde se mirent à commenter abondamment avec force insultes et moqueries, éclatant de rire tandis que Franck, promené comme un animal sentait son visage devenir cramoisi. Mais le contact de la main qui enserrait son sexe l'excitait sans qu'il puisse débander.

« C'est  ‘heure de manger; on s'amusera après : à genoux, tous ». Franck obtempéra sans discuter, trop heureux que ses gardes oublient son érection. Ses compagnons se mirent à 4 pattes; un garde défit ses liens et instinctivement il prit la même posture. Un des gardes mit devant chacun une sorte de gamelle contenant un bouillie de maïs et posa un seau d'eau. « Tête baissée, mangez comme ça, sans les mains! ». Franck regarda ses compagnons qui sans discuter baissèrent la tête et se mirent à manger tant bien que mal leur bouillie, comme des animaux. Un garde s'approcha de lui ,pointa sa kalachnikov vers sa tête et lui cria de manger. Franck, malgré sa répugnance obtempéra et , humilié, se mit à avaler tant bien que mal la bouillie fade mais nourrissante. En dépit de la situation avaler un peu de nourriture lui redonna quelques forces. Bien vite son visage se trouva souillé, il essaya de se nettoyer avec sa langue. « Toi, va boire! » cet ordre s'adressait au soldat prisonnier: celui-ci se dirigea à 4 pattes vers le seau et se mit à laper l'eau. Lorsqu'il eut terminé un garde l'emmena vers le fond de la clairière où il l'attacha debout contre un arbre, les mains liées au dessus de sa tête à une grande branche. Le caporal suivit le même chemin et se retrouva attaché à côté de son camarade; ce fut ensuite le tour du capitaine mais ses gardes avant de l'attacher le firent monter sur une gosse pierre.

Franck se demandait ce que leurs réservaient les gardes : il les avait entendu parler à voix basse en dialecte mais n'avait rien compris. On le fit se diriger vers le seau où il se rafraîchit en lapant l'eau qu 'avaient déjà bue ses camarades. Un des gardes lui ramena les poignets dans le dos et les attacha solidement. « Ta gueule est sale; il faut laver ça ». Le garde ouvrit sa braguette et en sortit son sexe. Franck comprit. Un flot d'urine jaillit et aspergea son visage et son crane, dégoulinant sur tout son corps; le liquide avait un odeur âcre, celle de la bière que les gardes avaient bue abondamment pendant le repas. L'homme égoutta son sexe puis le rangea sous les rires de ses camarades. « Tu es propre maintenant, non? ». Franck baissa sa tête détrempée d'urine.

Un garde l'entraîna vers les autres prisonniers mais au lieu de l'attacher à leurs côtés il le fit mettre à genoux devant le premier; puis il enleva la pierre qui supportait le capitaine Bouabé. Celui-ci se trouva instantanément pendu par les poignets, la pointe de ses pieds effleurant à peine le sol; il poussa un cri de douleur. Le garde se pencha vers Franck : « Puisque tu es un pédé tu vas sucer tes camarades; tu leur dois bien ça...tu t'arrétes seulement quand tu les auras fait jouir; et ton copain restera suspendu jusqu'à ce qu'il ait giclé dans ta bouche ». Franck ne peut s'empêcher de commencer à bander. Il pencha la tête vers le premier soldat et prit son sexe flacide dans sa bouche. Il sentit une sorte de rétractation de la part du prisonnier mis il avait compris qu'il ne pouvait pas y échapper; il prit à fond de gorge le sexe et commença un mouvement de va et vient en arrondissant ses lèvres. Peu à peu il sentit que le sexe commençait à se raidir et il s'appliqua encore plus, commençant à titiller le gland avec sa langue, prenant la hampe à fond de gorge puis reculant la tête jusqu'à ce que les lèvres enserrent la base du gland. Le prisonnier se mit à grogner tandis que ses gardiens commençaient à l'encourager en riant : « Vas y! Dépêche toi! Tu vois que ça marche: deux pédés ensemble; quand tu auras fini on va vous enculer tous les deux ». Soudain le sexe dans sa bouche se tendit et sembla secoué d'un spasme; Franck se recula et un jet de sperme aspergea son menton. Les gardes applaudirent en riant: « Avale! ».

Franck reprit le sexe dans la bouche tandis que les derniers jets de sperme sortaient de la fente. Il sentit le goût acre et légèrement salé et déglutit puis lécha soigneusement les dernières gouttes que laissait échapper le gland. Le prisonnier sembla s'affaisser légèrement dans ses liens, comme vidé. Un garde s'approcha; il essuya avec deux doigts le sperme qui avait coulé sur le menton du sergent et les présenta devant ses lèvres; Franck avait compris: il prit les doigts à la bouche et lécha soigneusement le foutre. « Bien, le petit blanc est docile et il aime ça; regardez sa queue... » A sa plus grande honte Franck se rendit compte qu'il n'avait pas pu s'empêcher de bander. « S'il aime le foutre il aura droit à une belle ration » dit le chef en soulevant le paquet qui entre ses jambes montrait son érection. « En attendant continue; les autres attendent, surtout le capitaine! ». Franck leva la tête et vit le visage grimaçant de l'officier pendu par les poignets qui faisait tout pour ne pas gémir. Il se déplaça à genoux aux pieds du caporal qui bandait déjà et se mit à le sucer à son tour. Ce fut rapide car le caporal était déjà excité par le spectacle; en quelques coups de langue Franck l'amena là où il voulait. Il sourit intérieurement en pensant que son expérience à la caserne lui servait enfin. Il leva les yeux vers le caporal tout en prenant sa queue à fond: celui-ci haletait et fermait les yeux, on sentait une tension sur son visage, comme s'il se retenait pour faire durer le plaisir. Franck redoubla d'efforts conscient que le goût de la queue du caporal, l’odeur de son corps et ses gémissements le faisaient encore plus bander; si ses mains avaient été libres il n'aurait pu s'empêcher de se masturber... Soudain le caporal poussa un cri et Franck sentit des flots de sperme se déverser dans sa bouche; Franck faillit s 'étouffer mais il avala tout consciencieusement, nettoyant le gland du bout de la langue tandis que les gardes riaient et discutaient dans leur langue , commentant manifestement ses « exploits ».. « Allez, au capitaine; il t'attend! »

Le sexe du capitaine pendait mollement entre ses jambes et s'il commençait à gémir c’était manifestement parce que ses bras avaient du mal à supporter le poids de son corps. Franck le regarda, lui fit un sourire d'encouragement et prit son sexe à la bouche; le contact avec les lèvres du sergent et la tiédeur de sa bouche eurent un effet immédiat sur le capitaine dont la queue commença à durcir. Encouragé par cette réaction Franck redoubla d'effort; il s'appliqua avec ses lèvres et sa langue à faire raidir de plus en plus la queue. Oubliant la situation il se concentra sur ce sexe noir, se laissant envahir par ses sensations et par l'odeur et la chaleur qui émanaient de son corps. Il sentit que le capitaine n’allait pas tarder à jouir quand un coup cingla ses fesses : « Stop! ». Franck s'arrêta docilement gardant le bout de la queue entre ses lèvres et levant les yeux vers le visage du capitaine où le plaisir semblait l'emporter désormais sur la douleur. « J'ai une idée , dit le chef ». Et il détacha le capitaine « Tu vas baiser ton copain ». Franck comprit qu'il ne pourrait y échapper; le capitaine essaya de discuter mais un garde le mit en joue. Franck sans plus attendre baissa la tête contre le sol; offrant son cul en essayant de l'ouvrir au maximum pour ne pas trop sentir la douleur. Toute son expérience lui revenait spontanément. Il parla au capitaine : « Allez y branlez vous bien pour durcir au maximum et utilisez votre salive comme lubrifiant ». Il sentit que le capitaine se mettait à genoux derrière lui et perçut le mouvement de masturbation. Un doigt humide poussa à l'entrée de son orifice et pénétra sans mal. Le Capitaine savait y faire...Il commença doucement à ouvrir le trou de Franck avec son doigt qu'il humecta plusieurs fois de salive; Franck essaya d'ouvrir au maximum ses cuisses et de se détendre. Le frottement du doigt commençait à lui procurer du plaisir quand il sentit tout d'un coup le gland presser contre son orifice. Il respira profondément tandis que peu à peu les sexe du capitaine forçait son chemin. Une douleur lui fit serrer les dents et soudain il sentit que le plus dur était passé. Les gardes applaudirent ironiquement : « Allez ouvre le bien pour nous; j'ai bien envie de ce cul de blanc...c'est bon? Il est bien souple? ».

Le capitaine se mit à bouger doucement dans son cul, avec beaucoup de savoir faire et Franck peu à peu sentit que le plaisir remplaçait la douleur. Le capitaine était entré à fond et Franck sentait son ventre contre ses fesses puis il se retira presque jusqu'au bout et pénétra de nouveau d'un coup. Franck poussa un gémissement de surprise puis se laissa emporter par le mouvement que son compagnon imprimait et les sensations qui faisaient vibrer tout son corps et tendaient sa queue. Soudain le capitaine murmura : « Je ne tiens plus ! » ; il accéléra le rythme, envoyant dans tous le corps de Franck des secousses électriques qui le faisaient frissonner de plaisir ; La capitaine poussa un cri et Franck sentit que sa queue éclatait dans ses entrailles. Elle laissa sortir plusieurs giclées de sperme. Les gardes qui avaient compris applaudirent en riant. Le capitaine se retira, la queue encore à demi raide tandis que le jeune sergent, humilié, sentait le sperme qui coulait de son orifice sur ses cuisses. Il avait le sentiment d’un vide et aurait aussi voulu jouir.

Le chef s’esclaffa : « Te voilà bien ouvert et lubrifié ! On va pendre notre pied maintenant ! ». Il ordonna à ses compagnons de ramener les autres prisonniers dans leur cellule et fit se lever Franck, l’entraînant vers une autre case. A l’intérieur étaient plusieurs lites de camp. Il délia les poignets du sergent ; celui-ci fut heureux de pouvoir retrouver un peu l’usage de ses bras mais ce fut de courte durée. Sous la menace de son arme le jeune rebelle le fit s’allonger sur le dos et lui attacha de nouveau sommairement les poignets à la tête du lit. « J’ai envie de voir ton visage quand je te baiserai » ; il baissa le pantalon de sa tenue de combat et comme il semblait ne porter aucun sous vêtement sa queue noire, épaisse et raide apparut . Il prit les jambes de Franck et les leva pour accéder à son cul , présenta sa queue et l’enfonça. Le sergent poussa un cri : son cul avait été bien ouvert et lubrifié mais la force de l’intrusion l’avait pris par surprise. Son corps se tendit sous la douleur mais il respira profondément et essaya de se relaxer. Le chef des gardes avait commencé son va et vient ; Franck ouvrit les yeux et s’aperçut que sous l’effet du plaisir son violeur fermait parfois les yeux et surtout que la pénombre régnait dans la case. L’autre semblait prendre son temps ; il allait et venait variant le rythme sans un mot. En dépit des coups de boutoir qui le défonçaient et des vagues de plaisir qui montaient de son bas ventre, Franck s’efforça de garder ses esprits. Il avait conscience qu’il était violé et que ça allait se poursuivre ; et en même temps il n’avait jamais été attaché aussi lâchement. Il se mit à gémir pour donner le change et en même temps testa la solidité de ses liens : son coeur se mit à battre plus vite en s’apercevant qu’ils pouvaient céder. Il redoubla d’effort et en quelques instants il s’aperçut que ses poignets étaient libres.

Son violeur avait posé ses jambes sur ses épaules et continuait à besogner ; concentré sur son plaisir il ne s’était aperçu de rien. Franck prit sa décision ; brusquement il serra ses jambes sur le cou du garde et avant que celui–ci n’ait eu le temps d’esquisser la moindre réaction il le renversa et d’un coup de manchette il l’assomma. Le garde s’effondra sur lui , la queue encore raide dans son cul. Franck le repoussa et le fit tomber sur le sol ; se levant d’un bond il lui lia solidement les poignets avec la corde qui avait servi à l’attacher puis prit le foulard du garde, fourra une chaussette en boule dans sa bouche pour le bâillonner et la fixa avec le foulard. Après avoir vérifié la solidité des nœuds il défit les chaussures du garde et enleva son pantalon pour se rhabiller lui-même. Puis comme son prisonnier reprenait ses esprit il le fit se lever et se mettre contre un poteau au centre de la case ; il prit d’autres cordes et l’attacha au poteau par les couilles, le cou, et les pieds. Il veilla à ce que les liens soient particulièrement serrés : l’autre était littéralement collé au poteau, incapable du moindre mouvement. Franck prit se kalachnikov ; avant de sortir il revint vers le prisonnier et pris sur la table un couteau ; il prit à pleine mains les couilles et les serra ; l’autre eut un regard terrifié qui réjouit Franck ; il approcha la lame ; le prisonnier se raidit terrifié et essaya de hurler dans son bâillon ; Franck rit doucement et tordit avec force les couilles ; l’autre grimaça de douleur ; le sergent relâcha sa prise et sortit, larme à la main. Il jeta un coup d’œil prudent.

Les autres gardes étaient assis en rond devant la case-prison, bavardant et buvant ; ils avaient posé leurs armes ; seul un d’entre eux était posté debout en sentinelle, la kala en bandoulière. Franck attendit un moment pour que sa vue s’habitue à la pénombre et scruta attentivement les environs pour vérifier qu’aucun autre garde ne rodait. Puis il se décida ; en deux bonds il se trouva derrière la sentinelle et pointa son arme sur le groupe : « Bougez pas ou je tire ». Les jeunes soldats restèrent pétrifiés, pas un n’esquissa un geste vers son arme. Il poussa la sentinelle du canon : « Va avec les autres ; croisez les jambes et mains sur la nuque ». Tous obtempérèrent. Jugeant qu’il avait la situation en mains, Franck s’approcha assez pour pouvoir d’un coup de pied écarter les fusils qui étaient sur le sol. Puis il réfléchit un instant sur la conduite à tenir.

« Avancez à quatre pattes vers le mur ». De la sorte ils seraient encore plus loin de toutes les armes et seraient coincés par la cabane au lieu de pouvoir s’enfuir vers les arbres. Les jeunes soldats obéirent sans hésiter, avançant comme de jeunes animaux souples ; ils s’accroupirent contre le mur. « Maintenant vous allez vous déshabiller ; vite ». Il les menaça de son arme pour ponctuer son geste. En un instant il eut devant lui cinq jeunes noirs nus comme des vers ; il pouvait voir leurs cuisses musclées , leur sexe et leurs couilles bandantes. Il repoussa la tentation qui lui raidissait la queue ; il n’avait pas le temps. Il leur fit signe de reprendre leur position accroupie. Il désigna celui qui était près de la porte, un tout jeune homme qui tremblait nerveusement : « Tu vas entrer dans la case ; toujours à quatre pattes ! Et tu vas détacher les prisonniers. Si tu tardes je vous abats tous ». Le jeune esquissa un geste pour se relever : « A quatre pattes ! ». Le soldat s’accroupit mais montra des clés accrochées au mur : « Pour les chaînes.. ». Franck lui fit signe de la tête q’il pouvait se lever pour les prendre. Fébrilement le jeune soldat ouvrit la grille et entra. Franck eut quelques instants d’angoisse, une ombre apparut à la porte ; il leva son arme , prêt à tirer. Mais il reconnut le capitaine : « C’est moi ; mes hommes sont en train de l’attacher ». Il ramassa un fusil à son tour : « Vous allez entrer un à un ; on va vous attacher et vous bâillonner ». Les hommes obéirent docilement, résignés à leur sort et apparemment heureux de s’en tirer à bon compte.

Pendant ce temps le capitaine s’habilla à son tour avec les uniformes des prisonniers ; ses hommes sortirent peu après et firent de même, se chargeant de toutes les armes qui traînaient sur le sol. Franck alla jeter un coup d’œil dans la cabane : le travail avit été bien fait ; les gardes, nus, étaient tous solidement attachés en « hogtie », bâillonnés avec efficacité ; on avait pris soin de les éloigner les uns des autres et chacun avait une chaîne au cou reliée soit au poteau central soit à des anneaux aux murs. Il leur faudrait quelque temps pour se libérer. A ce spectacle il se mit à bander ; il aurait bien baisé un de ces petits culs noirs ainsi offerts. Mais le temps pressait. Lorsqu’il sorti il vit que le capitaine et ses hommes avaient mis dans des sacs la nourriture et la boisson qu’ils avaient pu trouver et étaient prêts à partir.

Ils se mirent en marche silencieusement sous la conduite du capitaine qui semblait connaître le coin ; ils contournèrent la village et s’orientèrent vers la zone tenue par l’armée officielle. Au bout d’environ une heure de marche le capitaine les fit s’arrêter et expliqua qu’ils allaient se séparer pour brouiller les pistes. Il donna des instructions à ses deux homes qui partirent vers la droite puis fit signe à Franck de le suivre. Ils marchèrent ainsi deux heures encore sous la lueur de la lune. Puis, après avoir constaté qu’ils ne semblaient pas poursuivis, ils s’arrêtèrent dans un clairière pour se reposer et manger un peu. Ils s’assirent côte à côte, mangeant en silence.

Soudain le capitaine dit : « Je suis désolé…

  • désolé ?

  • oui, de ce qui s’est passé..ce que j’ai été contraint de vous faire…

  • je vois, mais, vous savez, ce n’est pas la première fois qu’un homme me baise

  • ah ? vous n’allez pas me dire … ?

  • oui à la caserne, j’ai déjà eu quelques expériences….

  • et vous avez…aimé ?

  • le problème, c’est que dans cette affaire je suis le seul à ne pas voir joui, dit Franck en souriant

Le capitaine sourit à son tour, il se rapprocha et mit la main sur l’entrejambe du sergent ; la queue de ce dernier prit subitement de l’ampleur. « On peut remédier à cela, dit le capitaine ». il ouvrit la braguette et se pencha bouche ouverte.

 

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