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un soir d'août

 

surm8.jpgsurm10.jpgIl était un peu plus de 22 heures lorsque mon téléphone sonna; je reconnus immédiatement la voix de mon maître d'un soir. Il m'indiqua une petite place à l'intersection de deux rues à une dizaine de minutes en voiture de chez moi; il me demanda si je connaissais; je répondis par l'affirmative. " Dans ce cas tu t'y trouves dans 15 minutes au maximum; tu mets un t'shirt, un short court, des baskets" "Rien d'autre?" "Comme il fait frais je t'autorise un blouson; mais en short sans slip ni chaussettes. Tu mets ton matériel dans un sac et tu attends comme ça sur la place ».

Je me précipitai donc pour me changer, prendre mon sac et descendre au parking rejoindre ma voiture; je me retrouvais donc avec un short blanc un peu étroit, échancré sur les cuisses, un t shirt et une vielle paire de baskets de la même couleur, un blouson léger blanc et rouge sur les épaules. Dans l'ascenseur en me regardant dans la glace je m'aperçus que je bandais et que sans slip il était impossible de le dissimuler; le short étroit était déformé par une bosse...Je priais pour ne pas rencontrer de voisin; heureusement ce fut le cas.

Dans ma voiture je me calmais mais, toujours excité, je me perdis un peu dans les sens interdits et j'arrivais avec retard sur la place où je trouvai assez facilement à me garer. J'avais à peine sorti mon sac du coffre que mon téléphone sonna : « Tu es en retard !» « Excusez-moi, je me suis perdu » « Je m'en fous, tu seras puni! Bon, tu vois la rue qui descend; tu prends ton sac, tu sors un bandeau que tu gardes à la main et tu descends la rue sur le côté droit »

Tremblant d'excitation j'obtempère. Je traverse la petite place et je fais une vingtaine de mètres lorsqu'une porte s'ouvre : j'entrevois un hall d'immeuble plongé dans l'obscurité et le maître. Il me prend mon sac et me dit de me bander les yeux. J'obéis sans discuter. Une main me prend par les couilles à travers le short et m'entraîne à l'intérieur. J'entends la lourde porte qui se referme. Il m'ordonne de me déshabiller. « Maintenant? Ici? » « Obéis ». J'enlève mon blouson et mon t' shirt qu'il prend puis mon short. Et je me retrouve nu, aveugle, queue tendue, dans ce hall d'immeuble inconnu, à la fois apeuré, humilié et bouillonnant d'excitation.

Sa main saisit mes couilles et m'entraîne; je sens une marche, le sol change ; nous entrons dans un appartement; il prend une photo avec l'appareil numérique que j'ai apporté puis me ramène dans le hall pour d'autres photos (elles seront malheureusement ratées par manque de lumière); je bande à mort.

Retour dans l'appartement; il me fait enlever mes chaussures; je sens une moquette sous le pied; il me met un collier en m'expliquant que cet appartement appartient à un couple hétéro dominateur, que nombre de soumises y sont passées et qu'ils viendront peut-être voir à ce que je ressemble bien que je sois un peu trop âgé pour leur goût. Ce simple discours fait frétiller ma queue qui pointe vers le haut. Pendant ce temps il me passe des menottes de cuir aux poignets, me fait mettre les mains derrière la nuque, accrochant les menottes au collier; de la sorte, m'explique-t-il, je ne pourrai pas me toucher. Il prend le bâillon-boule et me le met: « Ca va faire mal et je n'ai pas envie de t'entendre gueuler ». Je sens une douleur aux seins : apparemment il me met des pinces; je serre les dents; aie, il m'en met également aux couilles, au moins une demi-douzaine; ça fait mal mais je continue de bander; il joue avec, je me tortille en gémissant. Puis il m'entraîne dans un escalier qui descend apparemment vers la cave; il fait attention à ce que je ne tombe pas; je sens désormais un sol en béton. Sa main touche les pinces à mes couilles..Ca fait mal; je gémis dans mon bâillon ; il rigole puis commence à me les enlever; ouille ça fait encore plus mal; il me masse un peu les couilles pour atténuer.

Il me fait ballader dans la cave pour me désorienter, me dit qu'il faut que je sois bien excitant au cas où le couple de ses amis viendrait. Il décroche mes poignets du collier, les fait mettre sur mon bas ventre et prend une photo de moi, la queue bien raide et dure, la bouche bâillonnée avec cette boule qui me fait saliver; je me sens un objet exposé ; c'est humiliant et bandant.

« Maintenant tu vas recevoir ta punition ». Je le sens fouiller dans mon sac. Il met mes menottes dans mon dos; je le sens qui attache une corde à celles-ci; il la fixe au plafond et tire de manière que je sois obligé de me pencher en avant, mon cul tendu. Il fouille encore dans mon sac : « Je vais prendre le paddle ». C'est un paddle en cuir épais. « Choisis un nombre de coups; s'il est trop faible, je le multiplie par deux ». Il enlève mon bâillon. « Trente ». « C'est bon ; compte et dit merci à chaque coup ». Il commence, le paddle s'abat et claque sur mon cul; il n'y va pas trop fort mais se montre ferme. Je compte à haute voix ; « Un, merci maître..deux, merci maître ».

Lorsqu'on arrive à trente mon cul est chaud; il doit être rouge. Il passe devant moi; je sens sa queue à hauteur de mon visage : il la présente devant ma bouche; j'ouvre les lèvres; elle est raide, avec le gland humide; je la saisis dans ma bouche et commence à pomper avec avidité autant que ma position le permet. Soudain il se retire : "La queue est une récompense et tu ne la mérites pas ; je ne t'ai pas encore puni pour ton retard". Il fouille encore dans mon sac en me demandant si j'ai apporté la cravache; il la trouve et commence à me donner de petits coups sur les fesses avec le bout. Il n'y va pas fort mais c'est la répétition qui est douloureuse sur mes fesses déjà rougies; je n'arrive pas à compter car il fait exprès de taper vite. Au bout d'un moment il stoppe et me détache. Je me demande si c'est la fin.

Non car il me fait me redresser, menotte mes poignets sur le devant; accroche de nouveau une corde et me fait lever les bras; il les attache au plafond; je sens que mes mains touchent une poutre métallique. Soudain une corde enserre mes couilles; il la tire vers le haut et l'attache également à la poutre; il tire; pour ne pas avoir trop mal je suis obligé de me mettre sur la pointe des pieds; c'est le but recherché; il fixe la corde ainsi; mon corps est tendu ; je dois me dandiner sur la pointe de mes pieds; je suis ainsi offert; il me dit qu'il aimerait que ses amis me voient ainsi; et en même temps il passe la cravache entre mes jambes, sur mes fesses, contre mes couilles et ma queue. Je suis excité à mort; je mouille. Il commence à me masturber. Je sens la jouissance qui monte; je le lui dis; il m'ordonne de ne pas jouir; je le supplie d'arrêter; il ignore mes supplications; je bande mes muscles; il lâche ma queue ; trop tard! Je sens un irrépressible frisson qui parcourt mon épine dorsale et le sperme jaillit de ma fente et tombe sur le sol à mes pieds.

En général lorsque j'ai joui, j'arrête un plan; mais là c'est lui qui décide et il me laisse attaché; au bout d'un court instant je sens un frisson d'excitation qui revient; il me dit que jouir sans autorisation est un des pires crimes pour un esclave et il recommence à me donner ces petits coups de cravache cruels, cette fois il prend aussi pour cible mes couilles et ma queue : il fait attention à ne pas taper fort mais c'est douloureux et je me tortille en gémissant. Finalement il arrête, me détache, me masse un peu les couilles et m'ordonne de me mettre à genoux.

Je sens qu'il attache la corde de mes couilles à quelque chose derrière moi, sans doute un poteau; et il attache mes poignets à un autre point de fixation en face en tirant bien; de la sorte je suis obligé de m'accroupir, bras tendus vers l'avant, la poitrine contre le sol humide de mon sperme, le cul en l'air, les couilles tendues vers l'arrière. J'ai encore droit à quelques petits coups puis je sens qu'il me lubrifie le cul; un objet dur est poussé contre ma rondelle; je reconnais un gode vibrant que j'ai apporté. Mon cul est étroit mais il s'y reprend à plusieurs reprises en ajoutant du lubrifiant; et la position m'oblige à écarter les fesses. Le gode passe la barrière et pénètre dans mon cul; il le met en marche; je sens les vibrations qui se répandent dans tout mon bas ventre; je ne sens plus que ça; c'est super ; en plus je m'imagine le spectacle que je dois offrir ainsi; et il le commente de façon humiliante. Il me dit qu'il va me baiser; j'en ai très envie. Au bout d'un moment il enlève le gode, je suis soulagé mais ouvert; malheureusement je ne m'étais pas donné de lavement et l'intérieur de mon cul n'est pas propre; il me dit qu'il ne vas pas me baiser. Je sens qu'il se met derrière moi et qu'il se masturbe; il halète, gémit et soudain je me sens arrosé de jets tièdes et gluants. Je suis heureux d'avoir fait jouir le maître; il me détache mais m'ordonne de rester accroupi. Je l'entends téléphoner à ses amis pour savoir s'ils vont venir; apparemment ils ne viendront pas.

Il me fait me relever et remonter toujours yeux bandés, les menottes de cuir aux poignets et le collier au cou; en haut il me tend mon t'shirt et mon short et m'ordonne de les remettre; il me donne mon sac et mon blouson dans une main et mes chaussures dans l'autre et me raccompagne à la porte toujours les yeux bandés; il ouvre, enlève mon bandeau et me pousse ainsi dans la rue. Heureusement elle est déserte : je regagne ma voiture ainsi, nu pieds, le t'shirt plein de sperme, avec ma queue qui bande de nouveau sous mon short….

 

 

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