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moi, le professeur et l'élève

 

Il arriva avec quelques minutes d’avance. Je reconnus sans problème sa voiture lorsqu’elle entra sur le parking désert ; il me l’avait décrite avec précision. Je fis un bref appel de phares et sa voiture vint se ranger à côté de la mienne. Je mis le contact et démarrai ; il me suivit jusqu’au coin isolé du parking que j’avais repéré, à l’abri des regards, séparé de la route par une haie assez haute. Je me rangeai et il s’arrêta encore une fois à côté. J’appelai son portable ; à la première sonnerie il décrocha :

« Tu es prêt ?

  • Euh oui..oui maître

  • Alors écoute moi bien ; soit tu obéis immédiatement et sans discuter à mes ordres soit je remets le contact, je pars et tu ne me reverras plus.

  • Mais…

  • Tu ne discutes pas : tu acceptes ou non. Tu es libre ensuite tu connais nos conventions

  • D’accord j’obéirai »

Je souris dans l’obscurité, le petit salaud avait jusqu’au bout hésité et tergiversé mais j’avais su l’appâter et à présent sa queue avait pris le dessus ; il était mûr. Je décidai de mettre immédiatement la barre haut :

  •  Tu me fais confiance ?

  • Oui…Maitre

  • Alors tu te fous immédiatement à poils, tu laisses tes fringues dans ta voiture et tu viens te mettre devant la mienne, mains sur la nuque et jambes écartées

  • Là ?maintenant ?

  • Obéis ! »

Un silence ; il raccrocha ; j’attendis quelques instants, me demandant s’il allait redémarrer mais la porte s’ouvrit et Daniel – c’était le nom qu’il m’avait donné- sortit, nu comme un ver ; il n’avait gardé que ses baskets. Il vint se placer devant ma voiture ; j’allumai les feux de croisement pour l’aveugler. Il se tint debout, clignant des yeux, jambes écartées, plaçant ses mains sur sa nuque. Je restais un instant à admirer le spectacle : la trentaine, un joli corps fin, peu poilu, légèrement musclé sans être bodybuildé : il m’avait dit qu’en dépit de sa profession intellectuelle il faisait un peu de sport, essentiellement de la natation. Un visage plutôt enfantin avec de fines lunettes, surmonté de cheveux châtains coupés court. Bref une proie tout à fait à mon goût. Mais ce qui m’excitait le plus était la docilité qu’il manifestait : il était là, légèrement tremblant, la queue à demi bandée, faisant tous ses efforts pour ne pas céder à la panique et garder la pose que je lui avais ordonnée. MMM je pensais que j’allais pouvoir en faire quelque chose. Je sortis et passai derrière lui pour qu’il ne puisse pas voir mon visage. Il frémit lorsqu’il me sentit derrière lui. J’avais emporté un bandeau particulièrement efficace, composé de deux ronds en cuir rembourré et d’une lanière qui pouvait se fermer avec un cadenas. Je pris ses bras doucement et les baissai pour les placer dans son dos. Et je me collais à lui pour lui mettre le bandeau que je serrai solidement. Mon jean’s frotta ses fesses. Je bandais. Ses mains essayèrent de caresser la bosse qui tendait le tissu.

Je lui donnai une tape sur le bras « Stop ! Tu ne l’as pas encore mérité ! ». il serra les poings. Je sentais que j’avais besoin de marquer mon autorité :

« Je t’avais dit à poils ! 

  • Mais je le suis…

  • Et tes baskets ? quand je dis à poils c’est totalement nu ; enlève moi ça »

Je ponctuai l’ordre d’une claque cinglante sur ses fesses. Immédiatement il se baissa à tâtons pour défaire ses lacets et enlever ses chaussures. Dans cette position je pouvais admirer son cul musclé et j’imaginais sans peine le plaisir que j’aurais à le posséder : décidément la prise semblait bonne. Mais ma rêverie s’interrompit vite : il se redressa, totalement nu cette fois. Je sortis une corde souple, ramenai ses poignets dans son dos et entrepris de les attacher solidement. Il se laissa faire docilement, esquissant un gémissement lorsque je serrai fortement le nœud. Je me reculai pour admirer ce corps lié, désormais à ma merci. Je sortis mon appareil photo numérique et pris plusieurs clichés. Il sursauta : « Que faites vous ? ». Je ne dis rien et continuai puis lui murmurai à l’oreille : « Je garderai les clichés pour moi mais si tu n’obéis pas ils seront sur le net… ». Je vis sa queue se recroqueviller légèrement. Je souris intérieurement. Après la peur un peu de douceur : je caressai ses seins puis les pinçai doucement. Sa queue commença à se redresser. « Je vois : tu aimes ça… ». il se contenta d’un gémissement en réponse. Je le pris par le cou et, fermement mais sans brutalité, je le fis se pencher sur le capot. Maintenant sa tête contre le métal tiède, je présentai un doigt à ses lèvres ; spontanément il ouvrit la bouche et se mit à le sucer goulûment. Je retirai le doigt enduit de salive et cherchai sa rosette ; il se tendit mais sans y prêter attention j’introduisis le doigt qui força sans trop de peine la barrière de son sphincter. Je commençais à bouger le doigt, testant l’élasticité de son cul. Il se détendit peu à peu et se laissa aller , murmurant des mots de soumission. Son cul manifestement n’avait été que rarement pénétré mais apparemment il ne demandait qu’à l’être. Je sortis le doigt, provoquant un léger plop et le présentai de nouveau à sa bouche. Il ne manifesta aucune répugnance et engloutit de nouveau mon doigt puis le second que je lui mis dans la bouche. Il les suçait comme si c’était une queue, utilisant sa langue pour les mieux enduire de salive. Je le enlevais de sa bouche et retournai à son cul ; le premier doigt entra comme dans du beurre puis le second sans vraie difficulté ; il poussa un petit cri qui ensuite se transforma en gémissements de plaisir. Je le travaillai ainsi quelques minutes tandis qu’il se laissait complètement aller à, envahi de frissons de plaisir. J’eus tout d’un coup envie de la baiser sans attendre mais je me retins. Ce cul à déflorer méritait mieux que quelques coups de queue rapides et je devais être prudent : le parking était certes désert mais pas à l’abri d’un surprise, une ronde policière par exemple. J’arrêtai donc subitement : après tout il ne fallait pas qu’il soit trop détendu. Je mis les doigts devant sa bouche ; ils étaient propres – ce qu’il ne pouvait voir mais un peu odorants. « Goûte ton cul ; bientôt tu goûteras le mien ». Il n’hésita que quelques secondes puis ouvrit les lèvres docilement et happa mes doigts qu’il se mit à sucer avidement. De ma main libre je caressais sa nuque comme pour un bon animal ; et je voyais que sa queue était raide à souhait. Je retirai mes doigts et le tenant toujours par la nuque je le conduisis à l’arrière et j’ouvris le coffre de la voiture. J’ai un modèle assez grand, ce qui me permet d’utiliser régulièrement le coffre pour ce genre de « transports ». Daniel au bruit eut un léger recul mais je le poussai fermement et l’aidai à entrer. En dépit de gestes hésitants dus à son bandeau il se laissa faire et se retrouva allongé sur la moquette rugueuse qui tapissait le fond du coffre. Je pris une corde et lui liai les chevilles et l’obligeant à plier les genoux je reliai ses chevilles à ses poignets dans une position de « hogtie » assez serrée. Je regardai un instant le spectacle et, satisfait de mon travail, je pris une nouvelle photo. J’allai dans sa voiture récupérer ses vêtements et ses clés que je posais sur le siège avant.

Au moment de refermer le coffre je m’aperçus que mon prisonnier était tout contracté, sa queue avait molli et tout dans son attitude marquait une forme d’angoisse. Je lui caressai doucement la pointe des seins en lui expliquant que j’allais entrouvrir le dossier arrière, ce qui permettrait à l’air de circuler et surtout de l’entendre appeler en cas de problème. Il se détendit : «Merci, maître ; excusez moi : je sais que je dois vous faire confiance… ». « Alors, ouvre la bouche ». Il s’exécuta docilement ; je roulai en boule une de ses chaussettes et la fourrai dans sa bouche : « Je ne vais pas la fixer pour que tu puisses parler en cas de problème mais si à l’arrivée tu ne l’as plus en bouche je te punirai comme tu le mérite, compris ? ». Il serra les dents sur son bâillon et acquiesça légèrement de la tête. Je refermai le coffre, déclipsai le dossier du siège arrière pour l’ouvrir légèrement et mis le moteur en route.

Il me faut environ dix minutes pour faire le trajet en temps normal mais là je pris mon temps : je savais qu’au fur et à mesure la crainte et l’excitation lutteraient dans son esprit et que cela contribuerait à le rendre encore plus docile ; je l’imaginais faisant de vains efforts pour visualiser le trajet tout en serrant le dents sur son bâillon qui s’emplissait de salive. Il me fallut plus d’un quart d’heure pour arriver dans mon garage. Après avoir coupé le contact je pris mon temps pour en fermer la porte puis j’ouvris le coffre. Il était recroquevillé dans ses liens et avait encore dans sa bouche la boule de tissu complètement détrempée de salive. Je détachai ses pieds et l’aidai à sortir puis enlevai son bâillon : « Merci, maître ». Je le pris par sa queue et ses couilles ; il avait débandé mais sentir ma main lui redonna immédiatement de la vigueur. Et je l’entraînai dans la maison, le faisant lentement monter les escaliers jusqu’à mon grenier que j’avais aménagé en donjon. Il entra d’un pas hésitant dans cette pièce qu’il ne voyait pas mais pouvait imaginer à partir des photos que je lui avais envoyées.

Je le fis tourner plusieurs fois pour le désorienter puis l’emmenai sous la poutre centrale qui traversait le grenier et où j’avais fixé de multiples anneaux auxquels pendaient des chaînes. Je lui ordonnai d’écarter les jambes et manipulant avec bruit mon matériel pour l’impressionner je sortis deux larges bandes de cuir que je fixais à ses chevilles. Le contraignant à écarter encore plus ses jambes je les accrochais à des anneaux scellés dans le sol. Puis je défis ses poignets et le laissais un instant décontracter ses muscles pendant que je lui mettais des menottes de cuir que je cadenassais. « Lève les bras ». J’attachai ses menottes bien haut à un mousqueton fixé à une chaîne qui pendait de la poutre. Il était parfaitement tendu, écarté, offert…Une victime parfaite et bandante ; je caressais doucement mon prisonnier, jouissant du spectacle et des ses muscles tendus ; une légère sueur perlait sur ses fesses rondes. Je choisis un bâillon efficace mais relativement confortable : il est fait d’une large plaque de cuir avec un épais bourrelet qui passe entre les dents ; une fois fixé il ne laisse  passer que des sons informes et assourdis. Il se laissa faire docilement ; je le sentais excité. Je pris une cordelette et attachais soigneusement ses testicules construisant une sorte de cockring-ballstretcher bien serré qui mettait en valeur ses couilles bien rondes et tendues. Je pris un petit poids, 500 g, et le fixai à la corde ; je le fis balancer ; il gémit dans son bâillon mais sa queue resta raide. Je me reculai pour contempler mon travail et reculai jusqu’à la cage.

Sylvain m’avait entendu et s’était mis dans la position réglementaire :à quatre pattes, tête baissée, cul relevé. Je ne l’avais ni attaché ni enchaîné mais avant de l’enfermer je lui avais mi une cagoule de cuir ouverte seulement à la bouche ainsi que sa cage de chasteté, une CB3000 ; et je l’avais laissé ainsi le temps d’aller chercher mon « invité ». Sylvain vivait chez moi depuis la rentrée scolaire ; j’avais vu une annonce sur le net où il cherchait un logement pour poursuivre ses études à l’université voisine et en même temps il se présentait comme esclave à former ; il avait 20 ans, mince, de taille moyenne, cheveux bruns et yeux bleus, un sourire craquant. Il était peu sportif -mais depuis je l’avais contraint à faire de l’exercice. Je l’avais pris à l’essai lui allouant une chambre et le testant quelques jours dans mon donjon ; et je l’avais gardé. Il était remarquablement docile, agréablement maso, vicieux et exhib et savait en même temps être câlin. Je m’étais vite attaché à lui, éprouvant un mélange plaisant de sentiments : plaisir de la domination et du sexe, affection et une forme de tendresse paternelle. Je l’avais pris en mains, surveillant ses études, le conseillant et l’aidant et ne manquant pas de le punir s’il fléchissait ; nous passions régulièrement des soirées dans mon donjon mais je l’avais fait aussi fait servir nu des repas avec des amis, exhibé dans des boîtes et sur des lieux de drague. Lorsqu’il allait en cours je lui faisais porter sa CB3000 ou une ceinture de chasteté en cuir pour lui éviter les tentations mais lorsqu’il l’avait mérité je le laissais draguer librement et sortir seul en boîte, à la seule condition de tout me raconter ; reconnaissant il m’avait ramené des soumis de son âge. Et un soir où deux de ses copains s’étaient retrouvés nus, attaché dos à dos dans le donjon il avait demandé à m’aider et s’était montré un dominateur imaginatif et vicieux. Et je dois dire que depuis quelques temps il passait plus de nuits dans mon lit que dans sa chambre ou sa cage. Mais je tenais à conserver avec lui une relation de domination, lui imposant des tenues, des rites et des contraintes qui faisaient partie intégrante de notre relation.

Je regardais un instant son corps imberbe et le caressais à travers les barreaux puis je le fis sortir et se mettre debout. Je vérifiai sa cage de chasteté ; manifestement il bandait et sa queue emplissait l’étroit tube recourbé ; un filet de liquide visqueux s’était formé à son extrémité ; je le recueillis sur un doigt que je portais à ses lèvres ; il le suça avec avidité. Puis je le conduisis devant le prisonnier. Il ne pouvait le voir mais sentit sa chaleur ; je pris ses bras et guidais ses mains vers les seins de Daniel ; il comprit immédiatement et se mit à les pincer et les tordre. Daniel gémit dans son bâillon. Je le laissai entre les mains de Sylvain pour enlever le poids de ses couilles et le remplacer par une corde que je fixai à un anneau au sol en la tendant au maximum, l’obligeant à tendre ses fesses vers l’arrière.

Puis sans un mot je fis se reculer Sylvain et l’obligeai à s’agenouiller : la queue du prisonnier était tendue et gorgée de sang. Je guidai la tête de Sylvain ; il sentit la légère odeur du gland et ouvrit les lèvres. Il happa la queue ; je vis Daniel se tendre. Mon jeune esclave commença doucement un mouvement de va et vient. J’allai choisir une raquette de ping-pong et me plaçais derrière le mec attaché et alors qu’il se détendait sous l’effet de la fellation j’assénais un coup sec et ferme sur ses fesses tendues. Il poussa un cri étouffé par son bâillon et instinctivement chercha à avancer mais la corde qui liait ses couilles le retint, lui causant sans aucun doute une sensation douloureuse dans son bas ventre en écho de celle qu’il ressentait sur ses fesses. Je continuai la fessée, variant le rythme, la force et la localisation des coups pour entretenir l’effet de surprise tandis que Sylvain continuait avec sa bouche d’entretenir la raideur de la queue de mon prisonnier. Celui-ci commença par se tendre, serrant les poings mais au fur et à mesure que ses fesses chauffaient il se ramollit et se laissa aller poussant à travers son bâillon de légers gémissements. Quant son cul commença à être rouge je stoppai et fit se reculer Sylvain. Daniel resta ainsi tendu, pantelant, la queue tendue et luisante, frustré et soulagé à la fois. Je pris quelques clichés puis mis en marche la caméra que j’avais fixée sur un trépied.

J’ôtais la cagoule de Sylvain qui docilement resta la tête baissée. Je le fis se lever et lui dis : « Il est à toi pour un moment, occupe toi de lui, je regarde ». Et j’allais m’asseoir dans un vieux fauteuil de cuir tandis que Sylvain levant la tête reconnaissait le jeune maître de conférence qui l’avait dragué il y a quelques semaines et à qui je lui avais interdit de répondre.

II

Sylvain hésita un instant, me regarda ; je mis mon index devant ma bouche pour lui indiquer de se taire et de la main je lui fis signe de continuer. Il tendit les deux mains et caressa du bout des doigts le corps tendu devant lui. Daniel frémit à ce contact, à la fois inquiet de ce qu’il allait advenir et manifestement excité par ce contact sensuel. Mon jeune esclave continua doucement à explorer le corps que j’avais mis à sa disposition, jouissant à la fois du spectacle et du contact de cette joli musculature et de cette peau frémissante tandis que je voyais que sa cage de chasteté laissait couler de plus en plus de liquide. La queue de Daniel, tendue vers le haut, était tout aussi humide ; il se laissait aller en gémissant doucement de plaisir. Sylvain comprit qu’il lui fallait manifester un peu sa domination ; il saisit les seins de son vis à vis et les tordit avec force ; l’autre poussa un cri de douleur étouffé par son bâillon et instinctivement essaya de se reculer, tirant de nouveau brusquement sur la corde qui tenait ses couilles ; il se mit à haleter pendant que Sylvain continuait à travailler ses seins en souriant de plaisir.

Il arrêta tout aussi brusquement qu’il avait commencé ; laissant Daniel pantelant, queue raide. Puis sans crier gare il se pencha pour lécher voluptueusement les seins meurtris. Daniel poussa un gémissement de plaisir et sa queue vibra comme s’il allait éjaculer. Tout en continuant de lécher les seins de son partenaire Sylvain glissa ses mains derrière lui et écartant doucement ses fesses y introduit un doigt. Daniel sursauta puis très vite se laissa aller. Sylvain continuait à profiter de la sensibilité de notre prisonnier pour le faire vibrer ; il semblait jouir de ses frémissements et de ses gémissements étouffés.

Dans mon esprit le cul de Daniel m’était réservé mais je me dis que le spectacle valait la peine de prendre le risque de perdre cette priorité. Je me levai et touchai l’épaule de Sylvain. Celui-ci stoppa immédiatement et se redressant il abandonna sans discuter un Daniel pantelant pour se tourner vers moi ; je lui souris, et lui faisant encore signe de garder le silence, je lui tendis la clé qui fermait sa cage de chasteté. Il la prit et se pencha pour déposer un léger baiser sur mes lèvres en signe de remerciement. Je lui caressai le cou puis pendant qu’il défaisait la cage j’allais fouiller dans un des tiroirs du meuble contenant une partie de mon matériel ; j’en sortit deux paires de pinces à seins : je lui fis signe d’approcher et en fixai une à ses seins ; il fit une légère grimace ; je l’attirai vers moi par la chaîne et l’embrassai goulûment pendant quelques secondes ; puis je lui mis l’autre pince dans les mains et lui fis signe d’aller s’occuper de Daniel. Avec un clin d’oeil envers moi il s’approcha doucement, la queue tendue et droite, et d’un geste brusque plaça une pince sur le sein droit du prisonnier ; celui ci sursauta et poussa un cri étouffé ; Sylvain le rassura d’une caresse sur sa poitrine puis mit l’autre pince. Daniel haleta un instant puis sembla s’habituer. Mon jeune étudiant passa derrière lui, s’agenouilla, ouvrit ses fesses avec les mains et dardant sa langue y enfouit son visage. Le corps de Daniel frémit, sa queue immédiatement se mit à couler et il se mit à gémir de façon continue à travers son bâillon ; il semblait totalement parti…Je m’approchai et le décalottai totalement puis je me mis à frotter du pouce l’extrémité de son gland ; il se mit à se débattre frénétiquement dans ses liens mais maintenu comme il était il ne pouvait pas grand chose, d’autant que Sylvain le maintenait par les fesses pour continuer à bouffer son cul.

Je le laissai aussi subitement : il se relaxa et se laissa de nouveau aller aux sensations qui remontaient depuis son cul ; je voyais en même temps que Sylvain bandait très fort ; je passai derrière lui pour le masturber doucement ; il arrêta un instant puis reprit, confiant dans son maître. Le connaissant parfaitement, je savais lire ses réaction et voir quand il était au bord de la jouissance. Je m’arrêtai donc à temps et me levai pour me mettre nu. Puis je revins me placer devant Daniel ma queue tendue contre la sienne ; instinctivement il essaya de frotter son sexe contre le mien ; je lui donnai une petite claque sur le gland qui le fit sursauter et lui arracha un cri étouffé. J’eus envie de jouir de ses cris et lui ôtai son bâillon : il articula faiblement un merci et essaya d’essuyer avec la langue la salive qui coulait de sa bouche puis il se laissa de nouveau aller, donnant libre cours à ses gémissements, des onomatopées indistinctes entrecoupées de soupirs et de « oui », « encore », « c’est super »… Je goûtais un moment du spectacle, prenant quelques photos numériques ; puis je m’approchai de lui, collai mon corps nu contre le sien et prenant sa tête entre les mains j’étouffai ses gémissements en lui roulant une longue pelle : au début, surpris, il essaya de se reculer pour reprendre sa respiration puis s’abandonna et sa langue s’enroula avidement contre la mienne. Je sentais sa queue qui coulait contre ma cuisse et moi-même j’étais raide et je mouillais abondamment ; je sentis une main qui prenait ensemble nos deux sexes : Sylvain avait compris ce qui se passait et sans enlever sa langue dardée du cul de Daniel il avait décidé de participer à sa façon en nous excitant encore plus. Je sentis que j’allais bientôt perdre le contrôle et jouir ; je donnai une petite tape à la main de Sylvain qui lâcha prise immédiatement et me reculai, laissant le prisonnier bouche ouverte, langue pendante, le menton dégoulinant de salive, qui tendait le visage autant que ses liens le permettaient pour retrouver ma bouche. D’une pression sur l’épaule je fis se lever Sylvain et le fis passer devant Daniel ; puis je le poussai en avant en lui faisant signe de la tête ; il se colla contre le corps nu et attaché devant lui et sa bouche remplaça la mienne dans un long baiser. Il se mit à caresser et pétrir frénétiquement le corps de Daniel qui à son tour se colla à lui, frottant son ventre contre le sien. Ces deux là avaient l’air de bien s’entendre. J’étais partagé : d’un côté j’étais satisfait de voir que Sylvain appréciait le cadeau que je lui avais fait ; d’une autre je sentais une pointe d’envie ; mais surtout ce spectacle m’excitait de façon inhabituelle ; ma queue pointait raide devant moi.

Je pris un martinet aux larges et longues lanières de cuir et je commençais à l’abattre sur les deux corps enlacés ; d’abord doucement puis avec un peu plus de force, je frappai au hasard en tournant autour d’eux ; les coups tombaient tantôt sur l’un tantôt sur l’autre, parfois sur les deux, certains sur le dos, d’autres sur les cuisses, les fesses, les épaules ; je prenais soin de varier et la force et le rythme et la cible pour qu’ils ne s’habituent pas ; je vis que Sylvain qui n’avait ni cagoule ni bandeau avait fermé les yeux, sans doute pour éprouver pleinement les sensations de douleur et de douceur qui le traversait ; les deux se serraient l’un contre l’autre et s’embrassaient goulûment comme pour se réconforter et se protéger mutuellement. Ils étaient dans une sorte de climax de sexe et de tendresse, partageant le même supplice, l’un parce qu’il était attaché, l’autre volontairement pour me plaire et pour jouir de la situation. Je cessai brusquement. Leurs corps se détendirent, leur baiser se défit  ; je pris un cliché puis je m’approchai pour caresser ces deux corps couverts de sueur, marqués de zébrures roses. Sylvain me regarda et sourit puis se remit à embrasser doucement les lèvres de Daniel. Je défis les poignets de ce dernier ; il murmura un « merci, Maitre » et remua doucement ses bras endoloris puis enlaça son partenaire pour tâter à son tour son corps. Je ne le laissai pas longtemps ainsi et ramenai ses bras dans son dos pour attacher ensemble les bracelets de cuir de ses poignets. Je fis signe à Sylvain de s’écarter et j’entrepris de détacher les couilles du prisonnier ; il poussa un soupir de soulagement et je massai doucement ses bourses qui avaient commencé à refroidir ; Sylvain me caressa l’épaule en signe de remerciement. Je me levai et lui embrassai les lèvres en ôtant ses pinces ; il grimaça et me sourit. « Enlève ses pinces et détache ses chevilles puis amène le ». Je retournai m’asseoir sur mon fauteuil regardant Sylvain qui après avoir enlevé les pinces et tiré un cri de Daniel lui massait le bout des tétons pour le soulager. Il se baissa, ne put résister à la tentation de donner un coup de langue au bout du gland du prisonnier puis défit ses chevilles.

Je m’installais dans mon fauteuil bas, nu, jambes ouvertes, mon sexe dressé ; à ma droite j’ouvris un tiroir où je rangeais capotes et lubrifiant. Pendant ce temps Sylvain qui avait terminé de détacher Daniel le conduisit devant moi et sans attendre d’ordres le fit s’agenouiller entre mes jambes. Daniel compris immédiatement ce qu’il devait faire et bouche ouverte, langue tendue, se mit à parcourir mon entrejambes pour chercher ma queue. Il la trouva bien vite et commença par de petits coups de langue sur mon gland pour recueillir le liquide qui commençait à en couler ; puis il le prit à la bouche et commença timidement à le sucer. De la main gauche j’appuyai légèrement sur sa nuque pour lui faire comprendre qu’il devait aller plus loin tandis que de la droite je désignai le tiroir à Sylvain : celui-ci s’approcha et en tira du gel et un préservatif. Daniel cependant avait avalé une grande partie de mon sexe et commençait à aller et venir avec un enthousiasme prometteur, utilisant ses lèvres, sa langue et son palais avec habileté ; il me tira un gémissement de plaisir qui l’encouragea. D’un signe de tête je confirmai à Sylvain qu’il pouvait y aller ; son visage s’éclaira et il entreprit de mettre rapidement sa capote puis de se placer à genoux derrière Daniel dont j’avais entrepris de guider la tête de mes deux mains pour le calmer un peu.

Lorsque celui-ci sentit un doigt enduit de lubrifiant le pénétrer il s’arrêta et poussa un léger cri étouffé par ma queue ; je maintins fermement sa tête : « Détends toi et continue ! ». il obtempéra et reprit sa fellation tandis que Sylvain introduisait un autre doigt pour masser et entrouvrir sa rosette : simplement de temps à autres il poussait un gémissement de plaisir et agitait son cul pour bien s’adapter à l’invasion. Sylvain positionna sa queue à l’entrée du cul de notre invité et saisissant les seins de celui-ci je fis signe qu’il pouvait y aller. Sylvain le pénétra doucement d’abord pendant que je travaillais ses seins pour le distraire de ce qui se passait dans son cul : simplement il avait arrêté de sucer, gardant simplement ma queue au fond de sa bouche et haletant doucement. Soudain Sylvain donna un coup de rein et força le passage. Daniel tenta de se relever mais je le maintins et au bout de quelques secondes il se laissa aller. Sylvain commença à le baiser doucement, fermant les yeux pour se concentrer sur ses sensations tandis que Daniel recommençait à me sucer, de façon plus irrégulière, s’arrêtant parfois pour gémir de plaisir. Je dois avouer que ces gémissement faisaient sur ma queue un effet extraordinaire et à plusieurs reprises je dus faire appel à tout mon contrôle pour ne pas jouir. Sylvain, de plus en plus excité, avait accéléré le rythme, allant aussi profondément que possible dans le cul de Daniel avant de ressortir presque entièrement sa queue pour rentrer de nouveau. Je voyais son plaisir sur son visage tandis que Daniel semblait submergé par ses sensations et suçait de moins en moins. Je me penchai et pris les seins de Sylvain entre le doigts pour le titiller et les tordre ! « Regarde moi ». Sylvain ouvrit les yeux et je vis son regard chaviré de plaisir. Je lui tordis les seins pour qu’il me regarde ; je vis une inquiétude sur son visage ; je lui souris et lui fis signe oui de la tête. Il accéléra frénétiquement, un rictus que je connaissais bien traversa son visage et il laissa son sexe exploser dans le préservatif. Daniel comprit ce qui se passait et serra ma queue avec sa langue pour étouffer un cri. Sylvain fut comme traversé de spasmes et serra le dents pour ne rien dire ; puis il s’affaissa sur Daniel.

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