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Cette histoire m'a été inspirée par une pratique des romains et de leurs voisins aux débuts de Rome, celle du joug : les vaincus, dépouillés d eleurs amres et de leur vêtements devaient passer sous le "joug", deux lances fichés en terre et une troisème consittuant une barre transversale qui les contraignait à se baisser en signe de soumission. Evidemment la suite n'est pas vraiment attestée par les historiens
Furius et ses camarades étaient parqués dans un coin du camp, nus, mains liées dans le dos. Ils avaient bien combattu mais en vain : les Sammites étaient trop nombreux et ils avaient été encerclés. Leur chef avait donné l'ordre de jeter les armes. Ils étaient prisonniers depuis ce matin et les Sammites avaient décidé de jouer avec eux. D'abord ils subiraient l'humiliation du joug puis ils partiraient ainsi nus et liés. Les jeunes guerriers Sammites devaient les poursuivre au bout d'une heure. S'ils parvenaient jusqu'à la limite du territoire, ils étaient libres mais celui qui serait pris deviendrait la propriété de son poursuivant.
Pour un jeune guerrier comme Furius, noble de surcroît, l'humiliation était grande ; dans sa colère, il se tordait dans ses liens, bandant ses muscles mais cela n'avait d'autre résultat que de resserrer encore les lanières de cuir qui attachaient ses poignets.
Les Sammites préparaient le terrain : ils avaient fiché dans le sol une série de piquets hauts d'environ 5 pieds et ils y attachaient transversalement des lances; cela faisait autant de portes sous lesquelles les prisonniers devaient passer courbés, tandis que les guerriers disposés sur deux files les couvraient d'insultes et de coups. Une seule règle : ils ne pouvaient être frappés avec une arme ni recevoir de blessure grave. Les Sammites se disposèrent, les uns avec des branches ou des joncs, d'autres avec des lanières de cuir, d'autres mains nues.
La trompette donna le signal, on fit mettre en file indienne les prisonniers et la cérémonie commença. Furius était dans les premiers ; il fit mine de refuser d'avancer : une lanière de cuir cingla ses fesses, il serra les dents et s'élança en avant. Il entendit d'abord les rires et les insultes : il avait une queue de fortes dimensions et les moqueries la prenaient pour cible, d'autant plus que dans l'émotion elle était en semi-érection, pour sa plus grande honte. Puis commencèrent les coups : les joncs, les lanières tombaient sur ses épaules et ses fesses ; il essayait de les esquiver en courant mais à chaque passage sous un joug il devait ralentir et, comme il était contraint de se baisser, ses fesses offraient une cible idéale. Il atteignit le dernier joug, les cuisses en feu. C'est alors qu'il se sentit pris par les cheveux : un jeune guerrier le tenait et l'attirait vers lui. Une main lui serra fortement les couilles et le jeune s'écria : "Voilà une belle bête, si je t'attrape, tu passeras dans mon lit, foi de Manlius". Tout le groupe de soldats partit de rire. Furius lança un coup de pied dans le vide; Une bourrade le repoussa dans un groupe de soldats. Il sentit des mains lui saisir la queue, les couilles, les seins, tandis qu'un doigt s'immisçait entre ses fesses puis un coup de pied le repoussa parmi les autres prisonniers.
Les prisonniers furent alors regroupés. La trompette sonna de nouveau et des cavaliers les dispersèrent à grands coups de fouet les forçant à s'élancer en avant: Les cavaliers les poursuivirent quelques instants pour les contraindre à courir et à s'enfoncer dans les taillis, en dépit des épines et des branchages.
Furius courut en avant, cherchant à gagner le sud. Au bout d'un moment, il entendit de nouveau la trompette qui donnait le signal du départ des poursuivants. Ses mains entravées le gênaient dans sa course. Il essaya de défaire ses liens en se tordant et bandant ses muscles, mais en vain ; il se calma et réfléchit : avisant une pierre aiguë, il entreprit de scier ses lanières ; au bout d'un long moment, il les sentit céder ; il était libre ; il allait pouvoir se défendre.
Il cassa une branche pour s'en servir comme d'une arme. C'est alors qu'il entendit le pas d'un cheval. Il se mit en embuscade. Il vit apparaître un cavalier armé‚ d'une courte épée, d'un arc et d'un bouclier rond. Plutôt que de chercher à s'enfuir, Furius préféra attaquer : il surgit par surprise, saisit une jambe du cavalier et le désarçonna avant que l'autre n'ait pu réagir. Celui-ci tomba lourdement, perdit son casque et Furius reconnut Manlius. Il se précipita, brandissant sa matraque improvisée et l'abattit avec force sur son adversaire mais Manlius eut le réflexe de parer avec son bouclier. Le bâton cassa net. La surprise de Furius permit à Manlius de se relever tandis que son adversaire se baissait pour saisir une autre branche : il lui asséna vivement un coup de bouclier sur sa nuque.
Lorsque Furius reprit ses esprits, il était suspendu par les poignets à la branche d'un arbre ; ses chevilles étaient liées, ses pieds pendant à quelques centimètres du sol, assez pour que tout son corps tirât douloureusement sur les muscles de ses bras. Manlius se tenait triomphant devant lui : "Je t'avais bien dit que tu serais à moi ; tu me plais comme ça, tes muscles bien tendus : tu sais, tu m'excites." Joignant le geste à la parole, il caressa puis palpa vigoureusement les jambes, les cuisses, le sexe et les testicules de Furius. Celui-ci tenta de se débattre mais d'une bourrade l'autre imprima à son corps suspendu un balancement qui le fis grimacer de douleur. "Tu as de belles couilles, on va les mettre en valeur" Manlius lui attacha solidement une lanière de cuir à la base des couilles et y accrocha une lourde pierre. Furius banda ses forces pour ne pas crier : il avait l'impression qu'on lui arrachait les couilles puis peu à peu il s'habitua. Manlius continua de le palper et le manipuler.
Soudain Furius eut l'impression que ces manipulations le faisaient bander, il essaya de résister à cette érection qui le remplissait de honte, rien n'y fit. Manlius satisfait contempla sa victime : "Tu vois, tu commence à aimer...je vais t'emmener dans ma villa et tu feras un mignon parfait...En attendant je vais t'apprendre à essayer de résister." Il tailla une branche fine et flexible et passa derrière Furius. Un sifflement et un coup sec : Furius ne put retenir un cri. Non seulement le coup cinglant avait irradié ses fesses mais il avait provoqué un balancement de tout son corps, tirant sur ses bras, tandis que la pierre balançait aussi, tirant sur ses couilles..
Manlius lui asséna ainsi une dizaine de coups : "J'arrête : je ne veux pas t'abîmer : je veux que tu sois intact quand je te baiserai ; ton cul est assez joli, ainsi zébré de marques rouges." Il le décrocha de l'arbre, lui attacha les poignets dans le dos ; puis il lui passa une corde autour du cou, la noua à la base des couilles, à la place de la pierre et l'attacha à son cheval. Ils partirent ainsi, Manlius donnant de petits coups secs sur la corde à chaque fois qu'il voulait faire accélérer le pas.
Au bout de quelques heures ils arrivèrent au domaine de Manlius. Celui-ci était composé d'une ferme gérée par un intendant aidé d'une troupe d'esclaves et d'une maison de campagne où résidait Manlius lorsqu'il y venait. La maison était faite d'un vaste rez-de-chaussée entourant un petit jardin ; un portique de bois protégeait une terrasse qui longeait toute la façade. C'est là que Manlius conduisit son prisonnier. Il appela le régisseur et deux esclaves.
Sous ses ordres ceux-ci attachèrent Furius, bras et jambes en croix entre deux colonnes du portique. Puis Manlius ordonna à l'intendant de rassembler tous les esclaves. "Voyez ce beau romain : ce soir je vais le baiser. En attendant je vais reprendre des forces et me restaurer ; vous pouvez vous amuser à votre guise avec lui mais ne l'abîmez pas. Qu'on l'apprête et le conduise dans ma chambre au coucher du soleil."
Les esclaves s'approchèrent et entourèrent Furius, riant, plaisantant de sa queue, de ses fesses, évoquant le plaisir que prendrait le maître. Furius était humilié d'être ainsi offert nu à une bande d'esclave. Il ne put se retenir de répondre par des insultes. Celles-ci ne firent que redoubler les rires. L'un des esclaves défit son pagne, le roula ; il força Furius à ouvrir la bouche, lui introduisit le tissu entre les dents et le noua derrière sa nuque. Ainsi bâillonné, celui-ci ne pouvait plus qu'émettre des grognements. Les esclaves s'approchèrent encore et tendirent leurs mains. Furius sentit des mains sur tout son corps, les unes le caressant, le palpant, d'autres lui malaxant les seins, les couilles, d'autres le masturbant. Il chercha à se débattre dans ses liens mais en vain. Sa queue se raidissait sous les attouchements. Il sentit un doigt s'immiscer entre ses fesses tandis que la masturbation s'accélérait. Il banda ses muscles dans ses entraves mais ne réussit qu'à provoquer de nouveaux rires. "Il va jouir!" Les esclaves se reculèrent pour mieux voir ; beaucoup se branlaient. Un des esclaves continua de manipuler sa queue. Furius fut traversé d'un long frisson ; tout son corps écartelé se tendit sous l'effet du plaisir qui irradiait son sexe. Il éjacula à longs traits. Des hommes tendirent les mains pour recueillir son sperme et se précipitèrent pour lui en barbouiller le visage. Certains jouirent et dirigèrent leur jet sur lui.
Enfin ils se lassèrent et l'abandonnèrent ainsi, le visage et le corps poisseux de sperme. "Espérons que le maître nous laissera encore l'utiliser un peu."
Un peu plus tard l'intendant revint accompagné de deux esclaves armés. Furius s'était assoupi dans ses entraves, épuisé par la fuite, la marche et ce qu'il avait subi. On le réveilla, le fit boire et un esclave lui fit ingurgiter une bouillie d'orge. Puis ils le détachèrent. Ils le maintenaient sous la menace de leurs armes mais Furius était trop abattu pour tenter quelque chose. On lui lia cependant sommairement les poignets et on le conduisit dans le bassin qui était au milieu du jardin ; là il fut lavé, parfumé, rasé. Ensuite l'intendant lui passa un collier de cuir autour du cou et lui attacha les poignets à ce collier derrière la nuque : de la sorte son dos et ses fesses étaient complètement dégagés. Il lia une lanière de cuir à la base de ses couilles : un anneau de métal y était accroché‚ ; il passa des fers à ses chevilles et les accrocha à cet anneau . Furius de la sorte ne pouvait faire de grandes enjambées et le poids des chaînes tirait sur ses couilles, lui faisant de la sorte bien sentir sa condition.
Ils le conduisirent dans une vaste chambre. Manlius était là, nu, allongé‚ sur un lit bas. Il ordonna aux esclaves de sortir et referma soigneusement la porte. "Nous voici seuls pour le plaisir..." Il s'approcha ; Furius recula mais Manlius le saisit par le sexe et l'attira à lui. Il commença par le caresser ; ses mains étaient habiles et Furius se sentit parcouru de frissons. Manlius se collait contre lui, son sexe raidi."Tu sens comme ma bite a envie de toi; toi aussi tu aimes.." De fait, Furius était de nouveau en érection. Soudain Manlius lui saisit les testicules et les tordit ; Furius surpris poussa un cri de douleur. En le tenant ainsi Manlius le força à monter dans le lit et à s'y agenouiller.
Furius le vit sortir d'un coffret des phallus en cuir et en ivoire et en choisir un de taille moyenne ; il prit aussi un pot qui devait contenir un onguent. Il contraignit Furius à se courber jusqu'à ce que son front touche le lit. Furius sentit la main de Manlius agripper des fesses et un doigt enduit d'un produit gras pénétrer entre ses fesses. Il sursauta, Manlius le maintint d'une main ferme : "Tiens-toi tranquille ou tu auras le fouet!" Le doigt pénétra l'anus et y répandit le produit ; Manlius sentit un autre doigt qui le pénétrait. Encore une fois il sursauta. Manlius retira la main , se recula , saisit une large lanière de cuir et cingla les fesses de Furius qui serra les dents pour ne pas crier. "Premier avertissement". Manlius reprit son exploration. Furius, rouge d'humiliation se laissait faire ; il ne pouvait s'empêcher de ressentir quelque chose qui s'apparentait au plaisir. Puis les doigts se retirèrent.
Furius sentit un objet froid et dur s'enfoncer dans sa rosette. Le phallus de cuir pénétra en lui, forçant douloureusement ses fesses. Manlius l'introduisait lentement mais fermement. Furius serra les dents. Son cul vierge connaissait sa première introduction et la douleur se conjuguait à l'humiliation. Manlius l'introduisit jusqu'au bout et se recula satisfait pour contempler sa victime. Furius tendu, les fesses écartées par le phallus, attendait immobile. Manlius saisit une bande de tissu et s'en servit pour fixer le phallus. Il ordonna à son prisonnier de se lever. "A présent danse!" Furius resta immobile. Le maître se saisit de la lanière de cuir et cingla ses jambes. "Si tu n'obéis pas je te jure que je te coupe les couilles!" Furius blêmit et se mit à sautiller en tournant, dans la mesure où ses channes le lui permettaient. Ces chaînes précisément sautaient avec lui, tirant sur ses couilles; il sentait entre ses fesses la barre de cuir qui lui traversait l'anus mais sa pensée n'était que de vengeance : un jour il tuerait Manlius.
Celui-ci, au bout d'un moment le fit s'arrêter; Furius vit que sa queue était raidie ; elle était de belle dimension. Manlius retira le phallus, lui ôta les chaînes de ses pieds et le fit remettre sur le lit, dans sa position initiale, jambes bien écartées.
Le romain le sentit s'approcher ; il lui caressa les fesses. Une pointe de chair tiède poussa la rosette de Furius et Manlius en un coup de reins le pénétra. Furius poussa un cri, contractant ses fesses. Il sentit que le sexe de son ennemi ressortait à demi puis pénétrait de nouveau : Manlius continua son mouvement de va et vient : à chaque fois Furius sentait son ventre heurter ses fesses. Il se mit à gémir mais ne savait plus bien si c'était de douleur ou de plaisir. "Ah, tu vois, tu aimes!". Manlius saisit la queue de son prisonnier. Au bout d'un moment Furius perdit conscience de ce qui se passait. Il ne percevait que la main de Manlius, sa queue entre ses fesses, son corps humide de transpiration contre le sien. Il avait oublié douleur et humiliation, il ne sentait plus que des frissons qui étaient de plaisir. Tout à coup Manlius se raidit, poussa un hurlement et Furius ressentit une étrange sensation dans ses entrailles: les jets de sperme de son adversaire. Manlius resta un instant encore dans Furius, son corps collé contre le sien et continuant à le masturber doucement. Le jeune romain sentir le plaisir monter et subitement se mit aussi à jouir. Manlius se retira et se renversa sur le dos; il poussa Furius et le fit aussi s'étendre sur le lit. Il posa sa main sur lui et se mit à le caresser doucement tout en s'assoupissant. Furius, épuisé, sombra peu à peu dans le sommeil.
Il se réveilla en sursaut. Il eut quelque mal à reprendre ses esprits mais ses poignets entravés lui rappelèrent bientôt sa situation. La chambre était plongée dans l'obscurité, légèrement éclairée par la lune. Manlius dormait profondément dans le lit à côté de lui. Ses vêtements et ses armes étaient abandonnés dans un coin de la pièce. Furius comprit tout d'un coup que c'était le moment où jamais. Maîtrisant son impatience, il s'efforça de se glisser lentement du lit. Lorsqu'il posa les pieds sur le sol, Manlius se retourna ; Furius se raidit mais Manlius continuait de dormir. Une fois debout, il essaya de défaire ses liens : les cordes étaient légèrement distendues mais il n'était pas facile de les défaire rapidement. Au mur était accrochée une lance. Manlius à pas de loups s'approcha et se mit à frotter ses liens contre la lame : il les sentit peu à peu s'user et céder. Un dernier effort ; il banda ses muscles ; le nœud céda.
Furius courut saisir l'épée de Manlius. Ce dernier se réveilla en sursaut au bruit des pas. Trop tard, Furius lui asséna un coup de pommeau qui l'assomma. La première précaution de Furius fut de l'immobiliser : il le bâillonna avec une pièce de tissu et ,utilisant ses propres liens, il l'attacha sur le lit en liant ses bras en croix aux montants . Puis il lui jeta une écuelle d'eau au visage pour le réveiller.
Manlius reprit immédiatement ses esprits. Sa première réaction fut de tenter de se débattre : il gigota dans ses liens, faisant de furieux mouvements de jambes et donnant de violents coups de reins. Ce spectacle réjouit vivement Furius qui se saisit de la lanière dont Manlius l'avait fustigé‚ et l'abattit sur ses cuisses à plusieurs reprises. Manlius sous la brûlure des coups continua à se débattre et agiter vainement ses jambes. Tout à coup la lanière heurta ses couilles : Manlius poussa un hurlement étouffé par son baillon et se raidit sous l'effet de la douleur ; il resta immobile, haletant, reprenant ses esprits tandis que la douleur s'atténuait. Cet incident arrêta la colère de Furius.
Il voulait se venger. Sa première réaction fut d'égorger son prisonnier. Il s'approcha l'épée à la main et appuya la pointe sur la gorge de Manlius. Celui-ci se raidit pour ne pas donner à son adversaire le plaisir de le voir trembler et le regarda droit dans les yeux. C'est cette attitude de défi qui arrêta Furius. Il retira l'épée ; son regard se posa sur le pot d'onguent dont s'était servi Manlius.
Posant l'épée, il enduisit un doigt d'onguent et s'approcha de son ennemi ; d'une main ferme, il lui replia les jambes sur le ventre et introduisit le doigt entre ses fesses. Manlius tressaillit vivement et hurla des insultes à travers son baillon. Furius continua à l'explorer, introduisant un second doigt et le remuant d'autant plus que Manlius s'agitait et continuait à crier. Furius jubilait ; il se rendit compte qu'il bandait. Une pensée le traversa. Il monta sur le lit, s'approcha des fesses de Manlius . Celui-ci comprit et se mit à rouler des yeux furieux. Furius pénétra Manlius lentement, savourant la contraction de ses fesses et ses efforts pour se débattre qui gonflaient les muscles de ses bras solidement entravés. Il commença à aller et venir et sentit peu à peu Manlius se détendre et accompagner ses mouvements ; il accéléra, sentit venir la jouissance et son sperme éclata entre les fesses de sa victime.
Furius se retira, heureux et triomphant. Il prit un phallus et l'introduisit dans l'anus de Manlius. Puis il lui lia les jambes aux montants du bas du lit. Il passa la tunique de Manlius, ceignit son épée et son arc. Il se glissa dans l'écurie et en sortit le cheval de Manlius, l'enfourcha et partit au grand galop, riant à gorge déployée.