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durance bis

 

 

 

Il était à l'heure. Je reconnus tout de suite sa Range Rover et m'arrêtai à côté sur ce parking désert dans la nuit. Je ne disposais que de peu de temps car je devais ensuite aller chercher un ami à la gare vers minuit et je me demandais s'il allait accepter une séance rapide. Je lui exposai brièvement la situation. Il réfléchit un instant en me regardant des pieds à la tête d'un regard ironique puis me dit de le suivre.

Nous remontames en voiture et il démarra. Je le suivis pendant une dizaine de kilomètres sur la nationale : il ne me conduisait pas au même endroit que la dernière fois et l'idée d'une séance nouvelle et originale m'excitait. La route traversait la rivière. Immédiatement après le pont il tourna dans l'entrée d'un chemin de terre et s'arrêta. Je rangeai ma voiture et descendis :"Enlève tes vêtements et mets-les dans ta voiture" "Tout?" "A poils, vite!" Le ton était sec. Sans discuter je commençais à défaire mes vêtements.

Nous n'étions qu'à quelques mètres de la nationale, dans un virage où les véhicules sont contraints de ralentir fortement et je m'aperçus que les rares voitures qui passaient éclairaient un court instant la scène de leurs phares. Cette circonstance m'excitait fortement et me rendait maladroit dans mes gestes. J'en arrivais à mon slip. Au moment où je le baissais une voiture arriva. Je m'arrêtai dans mon geste. "Allez, à poils!" J'obéis. Ma queue et mes fesses apparurent dans la lumière. J'eus comme l'impression que la voiture ralentissait plus que de nécessaire et que le conducteur jouissait du spectacle. Puis elle passa. Ma queue était rigide et enflée.

Il m'ordonna de monter dans la Range et laissant là ma voiture et tous mes vêtements il s'engagea dans le chemin. Etre ainsi emmené nu dans un lieu inconnu n'était pas pour me déplaire. J'étais inquiet pour mes vêtements restés ainsi dans la voiture au bord de la route mais cette inquiétude était aussi excitante. Tout à coup je sentis sa main saisir mon sein gauche et le pincer fortement. La douleur se faisait de plus en plus forte et les cahots de la voiture donnaient à mon corps des secousses qui l'accentuaient. Par moment il relâchait sa prise pour immédiatement la resserrer plus fortement : le soulagement momentané que j'éprouvais rendait encore plus vive la souffrance que j'éprouvais. Je m'accrochais à la poignée de la voiture tout en me tordant et gémissant. Il avait allumé la lumière à l'intérieur et de temps à autre il quittait la route des yeux pour mieux profiter du spectacle. j'en rajoutais un peu mais la douleur était véritablement vive et j'en oubliais mes vêtements, mes inquiétudes et mon excitation : je commençais à débander. Il dut s'en apercevoir car il laissa mon sein.

Nous roulions depuis 5 minutes environ lorsqu'il tourna pour s'engager dans une espèce de pré bordé par une voie de chemin de fer. Il arrêta sa Range face à une sorte de vieille ferme en ruines. Il laissa ses phares qui éclairaient la facade. Une légère pente menait vers une porte délabrée ; au dessus de cette porte les restes d'un balcon de fer.

Il me fit descendre de voiture. Le sol sous mes pieds était recouvert de touffes d'herbe pârsemées de cailloux. Je me placais suivant ses ordres sous la porte. Il lança par dessus l'armature métallique une longue corde de chanvre. "Lève les bras". La corde enserra solidement mes poignets au dessus de ma tête. Il tira fortement sur la corde, tendant tout mon corps, puis passa l'autre extrémité autour de mes genoux qu'il attacha par un noeud solide. Il vint devant moi et me tourna autour contemplant avec satisfaction le spectacle. J'étais attaché ainsi nu, complètement en extension, offert aux regards et aux mains. Inutile de dire combien ma queue se dressait.

Il passa derrière moi se collant contre mon dos et saisit mes tétons. Je me tordais sous ses mains en gémissant. Il me poussa en avant. Mes genoux entravés me permettaient à peine de marcher et surtout le terrain était en pente. Immédiatement je perdis l'équilibre, je tombais en avant et me retrouvais suspendu par les poignets sans appui ferme pour mes pieds. La corde tirait douloureusement sur mes bras. Je poussais un grand cri : il me regarda avec un sourire me redresser tant bien que mal en m'aidant de la corde et retrouver mon équilibre.

Puis il s'approcha de nouveau avec une ficelle et attacha très solidement mes couilles : avoir les couilles attachées est une situation que j'aime particulièrement ; il serra la ficelle avec soin puis choisit une grosse pierre qu'il attacha à son extrémité. Il la laissa tomber. Le poids devait approcher un Kg et je sentais mes couilles tirées vers le bas comme elles l'avaient rarement été. Une fois encore il me regarda longuement. Par instants la douleur était trop forte et pour reposer mes couilles j'étais contraint à fléchir légèrement les jambes de façon à ce que la pierre touche le sol. Mais alors c'était la corde qui tirait sur mes bras et mes poignets.

Tout à coup un bruit fracassant traversa la nuit. Devant moi je vis défiler une bande lumineuse : c'était un train de voyageurs qui passait à quelques centaines de mètres. J'imaginais des voyageurs regardant le paysage qui pouvaient me voir ainsi exposé, nu et suspendu, dans la lumière des phares de la Rover..et cela porta mon excitation à son comble.

Au bout d'un moment cependant la pierre se détacha et roula à mes pieds. Le soulagement fut délicieux mais de courte durée. Une vive douleur traversa mes fesses. Il me fouettait avec une sorte de corde. Je poussai un cri à la fois de douleur et de surprise. Un autre coup s'abattit sur mes cuisses. "Allez, avance". Poussé par les coups qui brûlaient mes fesses je tournais en rond du mieux que je pouvais au bout de ma corde en poussant des cris.La corde s'enroulait sur elle-même et se racourcissait. Je perdis de nouveau l'équilibre et me trouvais suspendu par les poignets tandis que méthodiquement il cinglait mes fesses et mes cuisses. Je ne pouvais que gémir, incapable de retrouver mon équilibre et mes esprits. Subitement les coups cessèrent et une main ferme m'aida à me redresser. Mes cuisses me semblaient parcourues de zébrures brûlantes. Je profitai de cet instant de répit en me demandant ce qui allait m'arriver.

J'eus la surprise de sentir qu'il me détachait : "A la voiture, en rampant!" Je me mis à plat ventre sur le sol. je sentais à la fois le contact de l'herbe humide, d'un peu de boue et des pierres. Je ne savais pas trop comment avancer. Un coup de lanière sur les fesses me décida : je me trainais sur les coudes vers le véhicule. J'essayai d'éviter que les cailloux ne heurtent mes couilles et ma queue mais à chaque fois que je soulevais les fesses la lanière cinglait pour me contraindre à m'aplatir sur le sol. A un moment, il mit le pied sur mes reins, le fit passer sur mes cuisses et entre mes jambes: je sentis sa grosse chaussure contre mes couilles et ma queue : il appuya sans y aller trop fort cependant et je dois reconnaître que ce contact était particulièrement excitant.

Il me fit remonter en voiture et nous repartimes. Mon excitation retomba à la pensée que c'était fini ; je sentais seulement mes seins et mes cuisses endoloris. Mais au bout de quelques minutes il s'arrêta : "Descend devant les phares" J'obtempérai sans discuter. "Branle-toi" A cette seule idée mon excitation revint. Je me plaçais devant la Range, jambes bien écartées. Il éteignit la lumière de l'habitacle et je me retrouvais face à deux phares éclairés et une vitre noire: je l'imaginais se branlant en me regardant; je saisis ma queue de la main et commencais un mouvement d'avant en arrière de plus en plus rapide. Je sentis vite venir la jouissance ; je me raidis, un frisson me parcourut, je poussai un cri en grimaçant et le sperme jaillit dans la lumière des phares.

Je reprenais mes esprits et m'appretais à remonter en voiture quand il démarra. Interdit je m'écartais : la Range passa devant moi et poursuivit sa route. J'essayai de courir mais je trébuchais sur les pierres du chemin. Je fus saisi d'angoisse mais rapidement, je repris confiance : il me semblait que l'on n'était pas très loin de l'endroit où était ma voiture. J'avançais sur le chemin, à la lumière de la lune, partagé entre l'inquiétude et une irrépressible excitation : je me demandais ce que j'allais trouver au bout de la route ; l'idée de me trouver ainsi face à des inconnus me faisait peur et me faisait aussi vivement fantasmer. Et au fur et à mesure que j'avançais je sentais ma queue, pourtant déjà branlée à fond, se durcir de nouveau légèrement.

Mais après un tournant je vis ma voiture et sa Range garée à proximité. Un véhicule passa sur la route et me sembla encore ralentir. J'ouvris ma voiture et récupérais mes vêtements que je remis en hâte. Lorsque je fus vêtu, il me fit un signe et démarra. Je remontais dans ma voiture, les fesses meurtries, les seins douloureux, mais de nouveau excité.

 

 

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