Novembre 2024 | ||||||||||
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Je veux te raconter un plan que j'ai fait jeudi soir ; je traînais sur internet lorsque je vois un jeune mec que j'avais rencontré deux ou trois fois au début de l'été : la trentaine, assez mignon, se disant hétéro et désireux de faire des expériences; il habite à 10 mn de voiture de chez moi; j'étais allé le chercher, lui imposant une tenue (nu sous un sort) je l'avais dressé, attaché, godé.. A chaque fois sa réaction avait été très plaisante avec une belle queue raide, frémissant à tout ce que je lui faisais et notamment au travail du cul; il m'avait dit qu'une fois il aimerait inverser et évidemment cette idée m'excitait beaucoup. Mais à cause des vacances je ne l'avais plus revu. Tu imagines donc mon excitation de le revoir; je lui demande s'il est libre; il me dit oui; je lui rappelle sa proposition d'il y a quelques mois; il hésite puis me dit de l'appeler.
Au téléphone, il me donne ses ordres : venir le chercher en voiture, vêtu seulement d'une chemise et d'un short, un plug au cul et les couilles attachées; et sortir sur ma table une partie de mon matériel. Simplement entendre ces ordres me fait bander. Je vire rapidement mes fringues, tout excité, me lubrifie le cul et met le plug; un peu dur au début mais ça entre; puis une ficelle que j'attache à la base du sexe puis des couilles pour faire un paquet bien rond; je mets rapidement un short (pas très court car je n'en ai pas), une chemise et une vielle paire de baskets sur mes pieds nus. Et je saute dans ma voiture. Comme c'est encore l'été, pas de problème de température!
Conduire avec le plug me fait une drôle d'impression, je le sens qui ouvre bien mon cul et presse dans mon ventre; je débande un peu; arrivé près de chez lui je l'appelle pour qu'il descende. Je le vois arriver vêtu d'un jeans et d'un sweat shirt. Toujours aussi bandant! Ma queue se raidit et fait une bosse bien visible sous mon short; il monte et regarde l'effet produit en souriant. Nous revenons chez moi; ma queue est restée bandée tout le trajet et quand je sors de la voiture dans mon parking mon état est particulièrement visible : heureusement nous ne croisons personne jusqu'à mon appartement!
Nous voici donc dans mon living : "A poils!" j'obéis sans discuter, un peu fébrilement mais vite étant donné qu'il n'y a que peu de vêtements à enlever; et me voici devant lui, nu, la queue pointée vers l'avant, le plug dans le cul; il m'observe et souriant, lui toujours habillé.. J'aimerais voir s'il bande mais c'est impossible. Il ricane légèrement et prend dans mes affaires un cagoule de vynil noir; je la mets; cette cagoule n'a qu'une ouverture pour la bouche; on peut cependant voir un peu à travers le tissus tendu mais là comme la pièce est restée dans la pénombre je suis quasiment aveuglé.
" A quatre pattes!". Instantanément me voici dans la position d'un chien, le cul offert aux regards, avec ce plug qui l'emplit et ma queue qui pend entre mes cuisses. Il commence à caresser et à tâter; je frémis; il saisit le plug le sort légèrement et l'entre; il recommence; remuant le plug par petites saccades rapides; je suis parcouru de frissons qui partent de mes entrailles; je gémis. "Intéressant…"; j'entends ses commentaires qui parlent de moi comme d'un objet ou d'un animal. Il me fait me redresser à genoux; "Mains dans le dos". Une corde m'attache solidement mes poignets croisés dans mon dos. Génial! Ma queue est prête à exploser! Sa main saisit mon plug et l'enlève. Il me fait me pencher en avant, cul en l'air et soudain je sens la tête d'un gode lubrifié qui pousse contre ma rondelle; il passe sans trop de mal la barrière déjà distendue par le plug et s'enfonce à fond dans mes entrailles; mes sphincters se referment sur la tige et je sens soudain que le va et vient commence; sans brutalité mais avec dextérité; il varie le rythme, enfonce parfois à fond, par fois seulement à moitié. Je ne sens plus que ce qui se passe dans mon cul ; les sensations sont incroyables et envahissent tout mon corps; je gémis sans retenue, lui demandant tantôt d'arrêter, tantôt de continuer encore. Il a l'air d'aimer. Au bout d'un moment il arrête me laissant le gode enfoncé au maximum et me fait me redresser.
Il me laisse ainsi j'entends un bruit de vêtements; il s'assoit; "Viens ici". Il me dirige vers lui. "Lèche mes pieds!". Je crois avoir mal entendu; il répète l'ordre doucement mais fermement, le ponctuant de petits coups de martinet sur mes fesses. Je me penche en avant à la recherche de ses pieds, bouche ouverte, langue sortie, le cul en l'air. Je les trouve et commence à lécher; ils semblent propres avec cependant une légère odeur. Celle-ci en fait m'excite de plus en plus et je m'applique, embrassant, léchant consciencieusement les orteils. Je l'entends qui pousse des petits soupir de plaisir et m'encourage. J'y vais avec encore plus d'ardeur.. La seule chose qui me ralentit c'est qu'avec la cagoule je ne vois pas bien où va ma langue; mais bientôt ses pieds doivent être luisants de salive, avec toujours cette légère odeur.
Il se lève; me fait de nouveau pencher en avant et retire le gode.. J'ai un sentiment de vide; j'aurais envie qu'il mette sa queue à la place; Ce ne sera pas le cas. Il joue avec le martinet, me donnant une multitude de petits coups sur les fesses et les couilles; cela me fait d'autant plus bander. Soudain il trouve des pinces a linge :"Ecarte les jambes". Aie! Je crois que j'ai compris ses intentions; j'aime pas trop mais ce soir c'est moi qui dois obéir. Il saisit mes couilles et commence à mettre des pinces à leur base, entre le cul et le sac; ça fait mal mais à cet endroit pas trop; peut-être parce que je suis très excité; assez vite en fait j'oublie (ou je ne sens plus) la douleur. J'entends encore un bruit de vêtement; il s'assoit encore; me fait approcher : "Suce moi". J'ai un peu de mal à trouver la queue à cause de la cagoule mais enfin je trouve un gland bien décalotté que j'engloutis et je commence à pomper une queue bien raide. Un coup de martinet : "Tu ne suces pas bien". En fait c'est cette cagoule qui pose un peu problème. Il me l'enlève et détache mes mains; je peux enfin le voir; il a gardé son sweat shirt mais est jambes nues avec une queue magnifique, raide, enserrée dans un cockring; je m'y attaque goulûment, utilisant ma langue et mes lèvres; mes mains des deux côtés de ses cuisses je commence à bien sucer; il réagit et commence à gémir de plaisir; ça m'excite encore plus, je bande à mort et joue avec encore plus d'ardeur de ma langue. Sa queue est luisante de salive, je sens le liquide pré-spermatique. Il me dit d'arrêter. J'obéis; je ne sens plus du tout les pinces sur mes couilles tellement je suis excité. Il se lève et me montre ses pieds ; je me penche en avant langue pendante et je recommence à lécher et sucer goulûment ses orteils. Je ne sais combien de temps ça dure; je suis absorbé par ma tache de chien. Soudain je sens sur mon dos une goutte tiède; suivies d'autres qui s'écrasent lourdement en abondance sur ma peau. Le maître vient de jouir grâce à moi!