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ravi

 

"A présent tourne à droite…Tu vois le petit bois… Il y a une Peugeot arrêtée ; c'est la mienne : range-toi en face" Inquiet et excité à la fois je suis les instructions qui me sont données sur mon téléphone portable. J'arrête ma voiture "A présent tu sors et tu fais ce que je t'ai dit : tu es à moi. Il est encore temps de renoncer ; ensuite plus la peine de réclamer". J'hésite un instant mais je suis trop excité. Je sors de ma voiture avec mon sac ; je la ferme à clé ; je me place devant la peugeot : Immédiatement il allume ses codes ; je suis ébloui, incapable de rien voir. Fébrilement j'enlève ma chemise, puis mes chaussures, mon jean's. Je fourre le tout dans le sac et j'en sors un bandeau de cuir que je mets sur mes yeux. A présent je suis debout vêtu d'un simple slip blanc, yeux bandés, mains dans le dos, dans la nature devant les phares de ce mec dont je ne connais pas le visage. Je sens que ma queue raidie pousse en avant le tissu du slip. Un certain temps se passe avant que je n'entende la porte s'ouvrir. Des pas : il a l'air de tourner autour de moi pour bien me détailler. Soudain une main ferme saisit mes poignets ; une corde les entoure ; il fait de multiples boucles puis serre les nœuds. Je frémis : cette fois je suis bien prisonnier ; j'ai beau avoir pris mes précautions et laissé son numéro de téléphone à des amis sûrs, je ne peux m'empêcher d'avoir légèrement peur. Mais sa main à présent parcourt délicatement mon corps, caresse mes seins, mes fesses, la bosse de mon slip : je commence à gémir doucement de plaisir en me balançant un peu. Tout à coup un contact froid contre ma cuisse : une lame ; elle soulève l'élastique du slip ; j'entends un bruit de déchirure et mon slip tombe mollement à mes pieds tandis que ma queue libérée jaillit raide. Il la caresse ; je vais jouir..Il s'arrête subitement. Je sens une ficelle qui passe autour de mes couilles, il serre brutalement m'arrachant un petit cri puis il ficelle ma queue serré : bander devient douloureux mais je suis toujours très excité et ma queue ne mollit pas. Une lueur de flash perceptible en dépit du bandeau ; il commence à me photographier ainsi. Il me passe un collier de cuir ; j'entends le déclic d'un cadenas puis je me sens tiré par le collier ; Je le suis ; mes pieds nus foulent les feuilles sur le sol et la boue j'ignore où il m'entraîne et c'est excitant. Il me plaque contre un arbre : une corde passe autour de ma poitrine, mon ventre, mes cuisses, mes chevilles : il serre ; me voici immobilisé contre l'arbre. Encore un flash puis une succession; Il a l'air de me photographier sous tous les angles ; je me sens humilié, traité comme un objet. Il s'approche ; je sens ses mains sur mes tétons ; il commence à me les travailler doucement puis plus sévèrement ; je gémis et me tortille dans mes liens pendant que ma queue prisonnière de ses entraves est prête à exploser. Les pointes de mes seins sont chaudes et sensibles, je ne sens plus qu'elles. Soudain une douleur irradie mon sexe et mes testicules : une brusque claque "tu bandes trop ! ". je débande provisoirement mais dès que sa main effleure de nouveau mes seins sensibles ça repart ! Je ne sais pas combien de temps dure ce jeu. En dépit de l'heure je n'ai pas sommeil.

Il s'arrête semble se reculer ; soudain je sens quelque chose de chaud qui coule sur mes cuisses : il me pisse dessus comme si j'étais simplement un arbre contre lequel se soulager. Je frémis de plaisir pendant que le liquide chaud et odorant coule longuement sur mes jambes et mes pieds avant de faire une petite flaque boueuse dans laquelle je m'enfonce légèrement.

J'entends ses pas qui s'éloignent ; j'ai un peu peur ; va-t-il me laisser ainsi, nu attaché à un arbre et les pieds dans sa pisse ? Je suis tendu ; j'écoute les pas pour essayer de percevoir où il va mais ma queue reste tendue. Les pas reviennent ; je suis un peu rassuré. Je sens qu'il défait la corde qui me lie à l'arbre ; il me tire en avant ; je fais quelques pas en détendant mes muscles. Je me sens tiré vers le bas d'une main ferme, je cède et m'agenouille ; il s'approche ; je sens une queue raide devant mes lèvres ; elle a encore l'odeur de sa pisse ; sans attendre j'ouvre la bouche et je la prends. Il me guide ; je le pompe de mon mieux ; Le goût de cette queue, avec son liquide pré-spermatique abondant et son reste d'urine, m'excite terriblement ; et bien qu'elle soit déjà dure, je la sens se raidir encore plus entre mes lèvres, j'utilise au mieux mes lèvres et ma langue pour lui donner du plaisir. Je sens qu'il aime ; il m'encourage en gémissant et en m'insultant. Soudain il se retire et je sens son sperme tiède jaillir sur mon visage et ma poitrine pendant qu'il grogne de plaisir.

Il me laisse là un instant ; des froissements : il a l'air de se nettoyer avant de refermer son pantalon ; je débande un peu ; je sens que j'ai envie de pisser. Je le lui dis : "Tu n'as qu'à pisser ici !". Comme ça ? A genoux devant lui ? Mains liées dans le dos ? Cette idée humiliante me fait de nouveau rebander : "je ne vais pas y arriver" "alors tant pis pour toi" "Non ! Attendez un peu". Je le sens qui s'écarte ; je me concentre, j'essaye de penser à autre chose, je force ; un jet jaillit ; il m'éclabousse les cuisses ; un flash ! Il en a profité ! A présent je suis soulagé.

"Ouvre la bouche" j'obéis ; je sens qu'il me fourre un tissu roulé en boule ; je sens que c'est mon slip ; puis un bruit de déchirure : il le fixe avec un adhésif : plusieurs tours serrés autour de ma tête. Je ne peux plus émettre que des grognements sourds ; mon slip se mouille vite de salive ; il me tire par le collier, me fait me lever, m'entraîne.. J'ai l'impression que ma queue montre le chemin. "Allez monte" Il m'aide à enjamber quelque chose : un sol moquetté : c'est son coffre ! Il me fait allonger en chien de fusil; Une corde pour m'entraver les pieds ; un flash encore puis un claquement et l'obscurité totale ; je sens cependant un peu d'air qui passe : sans doute une ouverture prévue pour que je ne m'étouffe pas et que je ne m'angoisse pas. J'entends la porte claquer, le moteur démarrer et la voiture avance. Dans ce coffre je ne peux que sentir les mouvements et les cahots ; j'ignore absolument combien de temps le voyage va durer ; aucune idée de la direction. C'est une sensation vraiment bandante : se sentir en quelque sorte kidnappé par un inconnu.

Enfin la voiture semble s'engager sur un chemin de terre puis s'arrête. des claquements de porte ; J'attends un moment puis le coffre s'ouvre ; une main me détache les chevilles puis m'aide à me mettre debout et sortir ; sous mes pieds un sol de ciment ; il me conduit en aveugle, m'indiquant les pièges : "attention des marches" ; on passe sur un sol carrelé, puis on descend un escalier ; encore du ciment nu ; un bruit de clé ; il me fait passer une porte qui semble étroite ; je sens qu'il fixe une chaîne à mon collier ; il me pousse et me fait asseoir sur quelque chose qui ressemble à un lit ; je sens des anneaux de métal froid à mes chevilles ; puis il délie mes poignets ; soulagé je les frotte et esquisse quelques mouvements ; il les ramène sur l'avant et les menotte ; Enfin il délie mes couilles et ma queue ; c'est un vrai soulagement ; je les frotte de mes mains menottées : "enlève tes mains ! Mets les sur ta nuque" ; j'obéis ; il prend mes couilles et passe ce qui semble un cockring de cuir ; puis il fait passer ma queue à demi débandée dans une série d'anneaux, comme une cage ; j'entends le déclic d'un cadenas. "Bon tu pourras enlever ton bandeau quand je serai sorti ; en cas de problème appelle ; il y a un Interphone". Encore deux flash puis j'entends la porte se refermer ; Deux tours de clé.

J'enlève mon bandeau : je suis dans une petite pièce, éclairée par une faible lumière ; les murs et le sol sont en ciment nu, pas de fenêtre, juste une porte en bois. Ce doit être une cave. J'enlève tant bien que mal mon baillon, arrachant l'adhésif qui tire ma peau et mes poils ; puis je sors de ma bouche mon slip baigné de salive. Je regarde mieux ; je suis sur un lit métallique avec un vieux matelas et une couverture ; mes pieds et mes mains sont enchaînés et mon collier est relié par une chaîne cadenassée à un anneau fixé au mur ; je descends du lit ; je comprends que la longueur de la chaîne ne me permet pas de m'éloigner de celui-ci ; il y a un lavabo à proximité ; je peux tout juste y parvenir ; j'ai soif, je fais couler de l'eau pour boire avidement. Quand je me redresse j'aperçois des anneaux fixés à divers endroits du mur et quelques chaînes fixées à certains d'entre eux. J'ai du mal à marcher avec mes entraves ; je me remets sur le lit, je m'allonge ne me disant que le mieux est d'essayer de m'endormir.

J'ai du mal à dormir tellement je suis excité et mes entraves n'aident pas mais finalement, épuisé, je m'endors. Je ne sais pas combien de temps j'ai pu dormir ; tout d'un coup je sens de s mains qui me secouent ; je me réveille en sursaut ; je mets un instant à réaliser où je suis et à me souvenir de ma situation ; dans mon demi-sommeil je vois deux ombres. Mon cœur bat mais en même temps je sens ma queue se raidir. Mes yeux s'habituent et je vois que j'ai devant moi deux mecs en jean's : leur visage est couvert d'une cagoule de laine noire, percée de trous à hauteur de la bouche et des yeux. "Debout, lope !" J'obéis sans discuter bien que je ne reconnaisse pas la voix de mon kidnappeur. L'un des deux défait la chaîne qui me reliait au mur, l'autre détache mes menottes pour me les rattacher immédiatement dans le dos. Je sentis que celui qui était derrière moi mettait quelque chose sur ma tête et je fus plongé dans l'obscurité : c'était une cagoule mais cette fois sans trou pour les yeux. Mon visage était entièrement recouvert ; j'eus subitement l'impression d'étouffer mais assez vite je me rendis compte que je pouvais respirer et me calmai. Je sentis des mains me guider par le bras ; j'entendis la porte s'ouvrir ; lorsque je fus sorti, on me fit tourner à plusieurs reprises sur moi-même ; j'eus un léger vertige et quand on m'entraîna encore je me rendis compte que j'étais incapable de me rendre compte de la direction. Je me laissai guider avançant à pas hésitants, à la fois inquiet et excité par la situation. Soudain j'entendis la voix de mon ravisseur : "installez-le". Une main me força à me pencher en avant ; je sentis que mon cou entrait en contact avec une surface incurvée, du bois apparemment ; on détacha mes menottes et guida mes mains là aussi contre une surface incurvée ; je sentis tout à coup une autre pièce de bois se refermer sur mon cou et mes poignets et je compris que je devais être sur une sorte de pilori. "Ecarte les jambes ! Mieux que ça !" Des anneaux métalliques enserrèrent mes chevilles et lorsque j'essayais de bouger les jambes je m'aperçus que les anneaux étaient fixés à une barre rigide qui les maintenait écartés ; J'étais entièrement immobilisé, incapable d'esquisser un mouvement, jambes écartées, le cul et le corps offerts à tous ceux qui pouvaient bien être là ; j'entendis des pas divers, plusieurs flashes…Puis tout à coup une main s'abattit sur mon cul dans un claquement sec ; je sursautai et poussai un grand cri : "Silence ! Bâillonnez-moi ça" ; je sentis que le bas de ma cagoule était soulevé, on m'obligea à ouvrir la bouche et mis entre mes dents un morceau de tissus avec un nœud au milieu que l'on attacha fermement derrière ma nuque. La cagoule fut rabattue : "OK on peut recommencer" Clac ! Clac ! La fessée reprit; Je ne pouvais plus qu'émettre de faibles gémissements, incapable d 'échapper aux coups qui s'abattaient ; la fessée ne dura pas très longtemps mais fut sévère ; je sentais mon cul en feu et j'imaginai sa rougeur. Lorsque la fessée eut cessé je me détendis un instant ; ce fut de courte durée ; je sentis des mains prendre mes seins et commencer à les malaxer ; à ce contact ma queue se raidit dans sa cage. Je sentis les anneaux qui serraient mon érection et cette contrainte le faisait encore plus bander ; Je grognais de plaisir et de douleur sous ces mains qui me trituraient. Soudain je sentis d'autres mains qui me palpaient vigoureusement le cul, elles se mirent à le malaxer, le claquer ; et pendant que mes seins continuaient à être manipulés fermement je sentis que l'on me défaisait la cage qui enserrait mon sexe. Ma queue jaillit, libre et dure, je sentais que je mouillais ; une main agrippa mes couilles et je sentis un contact chaud et humide sur mon gland : une bouche me pompait ! Je me raidis pour essayer de résister à la jouissance qui gagnait ; mais la bouche me pompait de plus belle tandis que la main qui manipulait mon cul y introduisait un doigt fouineur. Je gémissais à travers mon baillon ; celui-ci était empli de salive qui commençait à couler sur mon menton ; je n'en avais cure ! Toutes mes sensations étaient rassemblées dans ma queue, mes seins et mon cul.

Soudain je sentis que je ne pourrais plus tenir ; je pousse un grand grognement en dépit du bâillon ; instantanément les mains et la bouche cessèrent leur mouvement. Mais il était trop tard ; je fus secoué d'un spasme ; je sentis que ma queue tressaillait et le sperme jaillit entre mes jambes écartées ; les gouttes éclaboussaient mes chevilles ; je gueulais de plaisir dans le baillon ; soudain je sentis que des gouttes de liquide tiède et collant tombaient sur mon dos et mes fesses tandis que j'entendais des halètements autour de moi. Je n'étais pas seul à prendre mon pied! L'excitation retomba, je me sentais vidé et la position commença à devenir pénible ; au bout de quelques instants une main souleva la cagoule et enleva le bâillon ; je sentis qu'on soulevait ma tête et que l'on mettait un verre contre mes lèvres, je bus l'eau qui m'était offerte ; on détacha mes chevilles et je pus avec soulagement remuer mes jambes puis ce fut le tour du carcan ; Je pus enfin me relever ; j'avais un peu mal au dos ; je remuai légèrement mes membres pour me détendre. J'avais chaud, je portais la main à la tête pour soulever la cagoule "Non !". Je m'arrêtai dans mon mouvement ; une main me saisit les poignets et les ramena dans mon dos ; je sentis une corde qui m'attachait solidement ; une autre corde autour des bras et de la poitrine. Une main ferme m'obligea à me baisser puis m'allonger sur le sol et je sentis une corde enroulée puis serrée autour de mes chevilles "Que faites-vous ?" Je sentis des mains m'empoigner par les épaules et les jambes et je fus soulevé. Je fus transporté ainsi une courte distance puis je sentis que l'on montait une pente ; L'air extérieur vient subitement me rafraîchir. Un claquement de portière ; je fus déposé sur ce qui me semblait le siège arrière d'une voiture ; on me fit plier les jambes et on relia mes chevilles à mes poignets. Je sentis quelqu'un s'asseoir à côté de moi et poser ma tête sur ses genoux ; et la voiture démarra. Je sentais à travers le tissu une cuisse ferme tandis qu'une main se mit à me caresser puis à titiller mes seins ; alors que je me croyais vidé ma queue se mit à frémir puis grossir peu à peu. Je ne me rendis pas compte de la durée du trajet. Soudain la voiture stoppa ; des mains me prirent, me soulevèrent et je sentis que j'étais déposé sur l'herbe ; ma cagoule fut soulevée ; je sentis qu'on m'introduisait entre les dents une boule de tissus vaguement humide et un adhésif vint fermer le tout. Une main desserra le nœud de la corde à mes poignets ; j'entendis les pas s'éloigner, la voiture démarrer ; Au début la peur me tordit le ventre mais il ne me fallut que quelques minutes pour me libérer les mains ; j'arrachai la cagoule : le soleil se levait, j'étais à quelques mètres de ma voiture ! A côté de moi le sac avec mes vêtements. Soulagé j'enlevais le baillon : c'était mon slip ou du moins ce qui en restait. Je m'aperçus alors que je bandais de nouveau. Avant de me détacher les pieds je commençais à me branler doucement, bien décidé à faire durer le plaisir.

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