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jeu de piste

 

JEUX DE PISTE

 

J'arrivais à l'heure à l'endroit qu'il m'avait indiqué par téléphone : un emplacement à l'entrée d'un chemin qui s'enfonçait dans le bois. Je garai ma voiture et éteignis les phares ; la nuit était belle et la lune éclairait assez pour que je repère tout de suite la grosse pierre blanche sous laquelle devaient être les instructions.

Une enveloppe kraft. A l'intérieur un papier :"laisse ta voiture ; mets toi nu pieds et avance sur le chemin jusqu'au prochain message". Fébrilement je défis mes tennis, ôtai mes chaussettes et fourrai le tout dans ma voiture. Le coeur battant je m'engageai sur le chemin ; il avait plu et le chemin était parsemé de flaques de boue ; la lune qui s'y reflétait me permettait de les éviter. Soudain, … la branche d'un arbre, un papier blanc bien en évidence. Je m'en saisis :"A présent, tu peux encore tout arrêter. Sinon mets-toi en slip et continue d'avancer. Vite : je n'attendrai pas longtemps!"

J'hésitais un instant, regardant autour de moi : on entendait les voitures sur la route mais on ne les voyait pas. Pourtant quelqu'un pouvait venir. Mais j'étais trop excité : mon hésitation ne dura pas. J'enlevais ma chemise et mon jean's, ne gardant que mon slip blanc. Je les dissimulais au pieds de l'arbre et je repris le chemin. Mon coeur battait mais une bosse poussait sur le devant de mon slip. Je ne sentais pas la légère humidité de la nuit. J'étais brûlant d'excitation. Je ne prenais plus garde aux flaques et enfonçais mes pieds nus dans la boue comme dans l'herbe humide. J'arrivai très vite au message suivant. J'imaginais son contenu : c'était mon slip qui était en cause. Je ne me trompais pas : je devais accrocher mon slip à une des branches. J'obéis immédiatement et je repartis, nu comme un ver, queue dressée, après avoir jeté un dernier regard à la tache blanche de mon slip qui était là comme un repère dans ce jeu de piste bandant.

J'avançais dans l'obscurité : la lune éclairait à peine le sous-bois. Soudain à un détour du chemin j'entrevis la masse sombre d'une voiture. Mon cœur bondit ; en même temps la panique me paralysa : je restais planté là, cuisses serrées, les deux mains jointes sur mon bas-ventre, dans un geste instinctif de pudeur ; mais simultanément je sentais que mes mains avaient du mal à contenir ma queue rigide.

Un déclic : les phares s'allumèrent, m'éblouissant et un ordre fusa :"Avance devant la voiture, mains sur la nuque!". C'était bien lui. J'obéis et me campais devant les phares, jambes écartées, mains derrière la tête, le corps cambré, exhibant fièrement mon érection. Je ne voyais rien dans l'éblouissement des phares mais je l'imaginais à m'observer. Il devait savourer car il ne se passa rien pendant un long moment puis j'entendis ouvrir la portière et il descendit.

Je l'entrevis, grand, solide, vêtu d'un survêtement sombre. Il tenait une longue corde. Sans mot dire, il ramena mes bras en avant puis me lia solidement les poignets avec cette épaisse corde de chanvre. Il m'entraîna derrière la voiture et se mit à attacher une des extrémités de la corde au pare-chocs. Je me laissais faire tout excité d'être ainsi à sa merci. Toujours en silence il remonta dans la voiture et j'entendis le moteur démarrer. J'eus soudain peur : "Hé! Que fais-tu? Non!". mon érection tomba d'un coup. Il ne répondit rien et embraya : la voiture partit doucement sur le chemin ; la corde se tendit ; je dus avancer. Peu à peu il accéléra et je me retrouvais en train de courir derrière la voiture, mains liées, comme ces prisonniers dans les western qui courent derrière le cheval de leur vainqueur, attachés à la selle. Seulement, en plus, j'étais nu.

Il n'accélérait pas trop, juste assez pour que la corde soit assez tendue. Je n'étais pas trop essoufflé mais je ne pouvais éviter les flaques et de temps a autre la voiture m'aspergeait : j'avais les jambes , les cuisses, le ventre constellés de taches de boue humide. La course faisait ballotter mes couilles et ma queue contre mes cuisses et je sentais mon érection qui revenait peu à peu ; une sensation délicieuse émanait de mon bas ventre pour parcourir tout mon corps. Soudain je m'aperçus que le chemin sortait du bois ; nous étions entièrement à découvert ; les feux arrière de la voiture m'éclairaient d'une lueur rougeâtre ; quelqu'un pourrait-il me voir ? Cette seule pensée rigidifia ma queue et je courus quelques centaines de mètres ainsi, mon membre pointé droit devant moi. Soudain la voiture s'arrêta devant un grand arbre.

Je repris mon souffle quelques instants : juste le temps pour qu'il détache la corde de la voiture, la jette par-dessus une branche. Il tira sur la corde ; mes bras furent brutalement tirés vers le haut ; lorsqu'ils furent bien tendus, il amarra la corde à une racine ; puis avec une autre corde il me lia les chevilles. Il resta un instant … contempler son œuvre. Je frémissais sous ses regards le corps tendu par les liens et l'excitation.

Il ouvrit son coffre et je vis sortir une longue baguette flexible. Il en cingla l'air à plusieurs reprises pour en éprouver la souplesse : elle émit un sinistre sifflement. Il s'approcha et du bout de sa baguette parcourut mon dos et mes fesses ; je tremblais légèrement, queue raidie. Soudain il leva sa baguette et avant que je n'aie pu contracter mes muscles j'entendis un sifflement et mes fesses furent traversées d'une douleur fulgurante. Je poussais un grand cri et débandai légèrement. "Ta gueule !". Un nouveau coup s'abattit ; je serrais les dents mais ne pus réprimer un nouveau cri. C'est alors qu'il sortit une espèce de foulard, fit un gros nœud en son milieu et me le fourra entre les dents ; il attacha solidement les deux extrémités derrière ma nuque. Ainsi baillonné je pouvais tout juste gémir sans pouvoir articuler le moindre mot ; le baillon me faisait saliver et deux traînées de salive commençaient à couler le long de mon menton. Cette humiliation supplémentaire redressa ma queue.

La fessée reprit : les coups vifs alternaient avec d'autres plus retenus : il savait y faire ! Je gémissais à travers mon baillon tout en me tordant dans mes liens ; il m'était impossible d'échapper aux coups mais je tirais sur la corde à laquelle j'étais suspendu, j'essayais de bouger malgré mes pieds entravés, je trébuchais, perdais l'équilibre, essayais de le retrouver, me hissais sur la pointe des pieds. Cela n'avait d'autre résultat que de tirer sur mes bras tandis que la baguette continuait de cingler mes fesses et mes cuisses. Mon derrière était brûlant ; je l'imaginais tout zébré de traces rouges. Puis il s'arrêta un instant, contemplant le spectacle : je pendais à l'arbre, gémissant, vidé mais bandant.

Il sortit une trousse de la voiture, il passa derrière moi et me vaporisa un liquide sur mes fesses chaudes : je ressentis une sensation de fraîcheur qui momentanément atténua la brûlure des coups. Mais à peine étais-je soulagé que je sentis une morsure sur la pointe de mes seins : il me fixait des pinces métalliques. Je gémis à travers mon baillon, essayant de me débattre mais les pinces étaient bien fixées qui tiraient sur la pointe de mes seins. Je ne sentais plus mon cul brûlant, toutes mes sensations semblaient concentrées dans mes tétons. Peu à peu cependant je commençais à m'y habituer et arrêtais de gigoter dans mes entraves. C'est alors que la fessée recommença. Les pinces faisaient en quelque sorte concurrence aux coups de baguette et tout mon corps était parcouru d'étranges sensations ; j'étais incapable de me défendre, ni de réfléchir mais je bandais. C'est alors qu'il prit ma queue dans sa main. Ce contact m'excita au plus haut point. Il serra … peine ses doigts et se mit à me branler imperceptiblement. Il leva sa baguette et recommença à me fesser tout en tenant ainsi ma queue. tant tout près de moi, il donnait moins de force à ses coups et je ressentais, impuissant, mes seins douloureux, mon cul chaud et sa masturbation délicate. Je gémissais, mais de plaisir, la tête renversée. Je sentis la jouissance venir. "Ne jouis pas !" m'ordonna-t-il. Je voulus lui dire d'arrêter, que je ne pourrais tenir mais mon bâillon ne me permit qu'un grognement. Et soudain un flot irrépressible jaillit de ma queue. Mes reins se contractèrent et un frisson de plaisir m'irradia. D'un geste brusque, il dirigea ma queue vers le haut, des gouttelettes de liquide chaud et visqueux rejaillirent sur ma poitrine et mon visage. J'avais l'impression que le flot n'allait jamais s'arrêter, que je me vidais de toute mon énergie.

Je me laissais aller dans mes liens. "Je t'avais dit de ne pas jouir !". Il passa sa main pleine de mon foutre sur mon visage, me barbouillant bien de la crème encore tiède, il ôta mes pinces, puis s'écartant brusquement de moi, il remonta dans sa voiture et démarra. Immédiatement la panique me gagna : j'essayai de crier mais mon baillon étouffait mes cris. Je me débattis dans mes liens, gigotai, trépignai, sans autre résultat. Je voyais les feux arrière de la voiture s'éloigner tranquillement dans le chemin. Je tentais de me rassurer en pensant qu'il allait revenir, que ce n'était qu'une manœuvre pour me faire peur. Mais au bout de longues minutes, je ne voyais toujours rien venir, je n'entendais aucun bruit.

Je restais un bon moment prostré : le sperme séchait sur mon visage et mon ventre, tirant sur mes poils et ma peau, mes bras tendus et mes poignets liés étaient endoloris, mes fesses chaudes des coups qu'elles avaient reçus. Plus la moindre excitation pour me soutenir. Je ne savais pas l'heure qu'il était, et me demandais combien de temps il me faudrait attendre ainsi. J'imaginais au lever du jour, un paysan allant dans ses champs sur son tracteur découvrant un mec a poil suspendu par les poignets à un gros arbre. De quoi aurais-je l'air ? Que pourrais-je dire? Les traces de sperme sur mon visage parleraient assez. Et s'il allait me laisser là pour appeler ses copains afin qu'ils jouissent du spectacle... Je fantasmais ainsi un moment et ce fantasme à la fois me terrorisait et faisait renaître une certaine excitation en moi. Ma queue se gonflait de nouveau. Curieusement cela remit un peu d'ordre dans mes idées. Posément j'essayais de dégager mes poignets.

En fait, les nœuds étaient serrés par la tension de la corde : en tirant dessus je ne faisais que me blesser. Je me soulevais légèrement sur la pointe des pieds, et maintenant la corde d'une main, je m'efforçais de faire glisser un poignet. La corde m'écorcha au départ puis peu à peu se détendit. J'étais libre!

De ma main libérée, Je défis les nœuds puis arrachai mon baillon ; je respirais un grand coup et m'allongeais un instant sur le sol ; la fraîcheur de l'herbe encore humide vivifia mes muscles et apaisa la peau de mes fesses. Mais la panique me reprit : mes vêtements ! ma voiture ! Je me redressais brusquement et me mis à courir sur le chemin.

J'allais haletant, courant dans les flaques de boue, ma queue demi-bandée qui battait mes cuisses, partagé entre la peur et toujours l'excitation. Le chemin entra dans le bois : une tache blanche dans les arbres : mon slip ! Mon cœur bondit de joie comme si j'étais sauvé. Je m'en saisis et sans prendre le temps de l'enfiler, je repris ma course à la recherche de mes autres vêtements. Je les trouvais rapidement sur le chemin : il manquait mon jean's ; à sa place, une lettre :"Je garde ton jean's en souvenir : tu pourras mieux te branler dans ta voiture en rentrant." Mes papiers et mes clefs étaient là. Complètement rassuré, je remis le haut et délibérément fourrai mon slip dans une poche. C'est ainsi qu'excité je retrouvai ma voiture. Le contact du velours des sièges sur mes fesses nues était agréable ; je démarrai. En conduisant, partagé entre le souvenir des moments que j'avais vécus et la légère crainte d'un contrôle de police, je caressais doucement ma queue de nouveau raidie.

 

 

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