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Un soumis que j'ai rencontré il ya quelque temps m'a adressé un "récit à vivre", décrivant un de ses fantasmes et il m'a demandé si je pouvais le publier. Je le fais volontiers et vous le livre tel que je l'ai reçu.
Histoire à vivre : Exhibition SM
J’étais assez excite depuis un moment, je sentais mes couilles gonflées et comme à chaque fois je sens un manque au niveau du cul.
je décide d'appeler Gérard. C’est un maître très dominateur sachant très bien obtenir ce qu'il veut de moi.
Il me donne rendez-vous mais avec des conditions. cette fois me dit-il tu ne devras porter de slip et pas de chaussette, un tee shirt et un pantalon sans ceinture facile à enlever. Tu te rases les couilles et le cul. On se donne rendez-vous dans un parking sous terrain tu gares ta voiture et tu m'appelles.
je m'exécute. Mon cœur bas plus fort, je trouve une place dans un coin et j'appelle. Il m'ordonne de me mettre mon god ceinture. Je suis en peu paniqué, d'habitude je fais ça chez moi, là je crains d'être vu. J’enfile ma queue et mes couilles dans l'anneau de la ceinture ce qui ne se fait pas sans mal, elles sont gonflées, je mets la vaseline sur le god. je le présente devant mon cul mais ce n'est pas facile il ya peu de place et j'ai peur de me faire repérer. De plus ça met un peu de temps avant que la dilatation se fasse.je suis là dans la voiture le pantalon sur les chaussures le sexe pointé vers le plafond à monter et descendre sur mon god. Une fois arrivé presque au fond j'attache ma sangle derrière et je serre, ce qui m'enfonce le god et le maintien. je le rappelle, bon maintenant tu viens près de moi tu te gares dans mon garage et là je descends. en 15 minutes j'y suis. avec les trous sur la route et les vibrations de la voiture mon god s'est installé. Je me gare dans son garage il arrive vers moi, et m'ordonne de baisser ma vitre.
Soulève ton tee shirt, il m'attrape mes tétons et me m'y installe 2 pinces avec une chaine qui les relient et une troisième qui va vers le bas avec une espèce de nœud coulant au bout, je me demande bien ce qu'il va en faire. je grimace, elles serrent fort, ça lui fait plaisir il me donne une petite claque. Bon maintenant retire ton pantalon tout suite. je m'exécute avec un peu d'angoisse. Sors de la voiture me dit-il d'un ton sans concession. Soulève ton tee shirt que je vois tes pinces, il fait le tour d'inspection et resserre encore les sangles de ma ceinture, surtout la lanière arrière, la sangle me rentre au milieu des fesses ce qui les écartes et pousse le god encore plus loin. Sur l'avant l'anneau presse mon bas ventre en le tirant vers le bas. Ce qui me fait ressortir les couilles comme si elles étaient séparées de moi.il m'attrape à pleine main les couilles et les tournes dans tous les sens. c'est douloureux.il attrape le nœud coulant des pinces m'entoure les couilles et la mon sexe et serre, la douleur est assez forte , elles ne font plus partie de moi. Puis il tend les liens des pinces. je suis comme bloqué, mes tétons sont distendu vers les bas et le reste je ne sais plus vas bien me dit-il et les je vais faire une photo. il regarde de part et d'autre pour inspecter. Sors d'entre les voitures et mets-toi au milieu du parking, je me sens rougir de honte mais super excité. Il me prend en photo. Va remettre ton pantalon. Une fois fait il me met un collier en cuir avec une chaine, il l'a laissé pendre sous mon tee shirt.
on va pas rester là. On s'oriente vers la porte de sortie, il fait un signe vers une voiture proche. et un homme sort. Mon cœur bas à 100 à l'heure, il m'a vu!!!
Il s'en suit une discussion ou je me suis senti un objet..
Alors ça t'a plus?
ha ouais il a un beau cul, tu lui ajoute des talons aiguilles ça serait une vrai gonzesse ça promet pour la suite. En même temps il me malaxe les fesses, tire la chaine de mon collier vers lui, me dit d'ouvrir la bouche, m'enfourne un doigt dans la bouche pour que je suce.
ça a de la contenance ajoute-t-il. et il me colle une balle en mousse. il a une bouche à queue. on dirait une salope, Tu avais raison, il ne doit pas falloir le pousser beaucoup pour en être une.
Je reste sans bruit assez curieusement je me sens porter dans cette humiliation.
Bon on y va dit Gérard. en poussant la porte du garage vers les escaliers. On va monter à pied mets tes mains derrière ta tête. Gérard sort la chaine et me tire en montant. Derrière moi l'autre homme me flagelle avec quelque chose de très fin, au travers des vêtements ça fait comme des aiguilles mais je ne peux rien voir. ça fait mal!! Tout d'un coup Gérard me dit d'arrêter, il continue et revient 2 min après avec un sac et me dit
mets-toi à poils, mets tes affaires dans ce sac. Je tremble comme une feuille je m'embrouille, même les coups de fouet que l'homme continue à me donner sur tout ce qu'il peut ne sont plus rien. Et Gérard qui continue de prendre des photos et quelqu'un peut venir, je ne sais plus ou je suis.
Une fois nu comme un ver, l'homme me dit allez! Montes salope et il me donne une bon coup par dessous dans l'entre cuisse juste sur les couilles je sursaute ça pique mais je suis comme anesthésié. On monte, il ouvre la porte du couloir, j'y crois pas il tire la chaine et m'entraîne dans le couloir nu. Je ne sens plus mes mains c'est interminable, le couloir me semble très long, on s'arrêt devant une porte il cherche quelque chose dans sa poche, une clef peut être s'est interminable mon corps frémis avec des petits mouvements, l'angoisse que quelqu'un me voit là dans cette situation, d'objet je me sens d’une extrême fragilité, La porte s’ouvre il me tire dans l’appartement et ferme la porte. L’homme me donne des claques sur les fesses mais je me sens presque rassuré.
Gérard dit : là je crois qu'on la bien chauffé cette petite pute. On va pouvoir s'amuser maintenant. On lui met une cagoule dit l'homme avec la bouche accessible, elle m'a énervé cette salope avec son cul qui se dandinait devant moi. Un vrai cul de femme. Gérard dit : ta raison tu vas voir quand elle jouit, on va lui retirer sa ceinture et ces petites pinces, on va passer aux choses sérieuses, on va l'attacher serrée après on va lui montrer qui elle est....
En quelques secondes je me suis retrouvé avec les yeux bandés, les mains attachés dans le dos. J’ai senti des cordes dans tous les sens qui me serraient , me compressaient, j’ai senti deux cordes à un moment qui m’écartaient le cul, d’ailleurs après m’y avoir m’y des doigts ils m’ont enfoncé quelque chose de gros, puis je crois qu’il m’ont accroché un plateau aux tétons, avec deux verres posés dessus, les pinces me serraient vraiment très fort , et je devais me déplacer ainsi tout en serrant le cul pour ne pas faire tomber le god. Malheureusement un verre s’est renversé après un coup de fouet. Pour me punir ils m’ont fait assoir sur une chaise, j’étais content jusqu’à je me rende compte que la chaise était occupé par je n’ai pas quoi , un gros god peut être, ce qui m’a fait sursauter. Assied toi on te dit. Ils retirent le plateau et m’attachent des choses très lourdes à la queue. Ils m’attachent les bras en hauteur. Baisses toi maintenant. Je m’ajuste l’objet face à mon trou la lanière me retient, puis peu à peu se relâche.
Mes cuisses ne me tiennent plus. Je faibli alors ils ajoutent des poids à mes tétons. j’ai l’impression que l’objet me fend en deux. J’entends les photos qui crépitent autour de moi. Ça chuchote, je n’entends pas, mon imagination fait le reste, je sens mon excitation monter. Je bande j’ai envie de jouir, je m’active sur mon objet mystère je me sens une vrai salope je m’empale je voudrais que ça sorte mais rien ma chatte est tellement harnachée de corde pince et autre il ne sort rien ça me rend fou. Ils s’en aperçoivent ils tapent ils effleurent mon bout.
Je deviens fou…
D’un coup la corde me tire vers le haut.
Je dois me mettre à genoux en écartant les cuisses.je dois me pencher en avant, on me dit suces salope tes vraiment une pute en fait. Sa bite elle est grosse et encore un peu molle on m’ordonne de la durcir. Au même moment je sens une main me fouiller le cul.
La main se retire, un silence, là je sens son corps et son sexe me pénètre et s’agite l’autre me prend la tête et me la secoue sur son sexe. Je ne suis plus rien que des trous. Je ne sens plus mon sexe qui balance à chaque coup, la douleur devient plaisir. Je ne suis plus un homme. Juste un objet, je n’ai jamais été aussi proche de moi, je suis au paradis. Ensuite ils ont changé plusieurs fois.
Pour m’humilier ils m’ont imposé de me branler devant la caméra debout tout seul au milieu de la pièce, eux me regardaient. Ravies.
Je suis sorti de là, Je ne sentais plus rien, sur un nuage.
Je ne sais pas si ils ont voulu ajouter à mon humiliation mais en partant, Gérard me dit, tes vraiment une salope tu jouis comme une femme. L’homme me dit la prochaine fois on va te balader dehors en salope, on devrait bien se marrer. Je suis désormais dans un doute, je suis soumis ou soumise…