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Gérard est repassé par Paris; je lui ai ordonné de venir queue en cage, sans slip, et d'apporter sa tondeuse. Dès son arrivée je lui ai donc lié les mains et mis une corde au cou...

Et j'ai commencé à le raser, progressivement par zones, en interrompant ce rasage par diverses manipulations ou punitions

C'est peu de dire que ce rasage lui faisait de l'effet : le sentiment d'être dépouillé de sa virilité et l'humilaition que cela représentait pour lui fasait durcir sa queue qui emplissait complètement sa cage : on avait l'impression que celle-ci allait exploser! Et je pense qu'en lisant ce récit il va encore bander...

Pour le calmer je l'ai attaché autrement pour pouvoir encore le punir

Ensuite je le laissai me prouver sa reconnaissance de la meilleure des façons : je dois drie qu'il suce avec talent et beaucoup de bonne volonté

Cependant la soirée n'était pas finie; je lattachai de nouveau dans une posiiton me permettant de raser plus facilement ses aisselles

Je finis par le libérer momentanément, le renvoyant à son hôtel avec toujours sa queue en cage, avec l'odre de revenir plus tard lorsque je le convoquerais pour achever la séance.